Source: ecsaharaui (média polisarien qui publie en espagnol)
Marlaska, le ministre espagnol de l'Intérieur, a refusé d'accueillir Ghali tandis que Arancha González Laya, la ministre des Affaires étrangères, a donné son accord.
Le secrétaire général du Front Polisario, Brahim Ghali, a été admis dimanche dernier dans le complexe hospitalier de San Pedro de Logroño (La Rioja) après avoir contracté Covid. Il souffre en plus d'un cancer.
L'Espagne l'a accueilli "pour des raisons strictement humanitaires", selon la ministre des Affaires étrangères Arancha González Laya. Les Sahraouis, aussi bien ceux des camps de réfugiés que ceux résidant dans les territoires occupés de l'ancienne colonie espagnole, ont d'abord découvert le sort de leur chef par la presse ennemie. "Le 360", a été le premier à annoncer la nouvelle qui a été rapidement reprise par les médias français, comme Jeune Afrique, puis par une partie de la presse espagnole, comme 20Minutos, La Razón, La Rioja ... entre autres.
Comme l'a révélé hier Ignacio Cembrero dans un article publié dans El Confidencial: "au sein du gouvernement espagnol, il y avait des divergences sur l'acceptation ou non de la demande de soins médicaux du chef du Front Polisario".
Selon la même source, le ministre de l'Intérieur espagnol, Fernando Grande-Marlaska, a refusé, craignant que cela n'ait des répercussions négatives sur les relations avec le Maroc. Sa collègue des Affaires étrangères, Arancha González Laya, était en revanche favorable, mais a pris la précaution d'en informer Rabat par courtoisie. Selon la ministre, cette question n'empêche ni ne perturbe en rien les excellentes relations que l'Espagne entretient avec le Maroc ",
Marlaska, le ministre espagnol de l'Intérieur, a refusé d'accueillir Ghali tandis que Arancha González Laya, la ministre des Affaires étrangères, a donné son accord.
Le secrétaire général du Front Polisario, Brahim Ghali, a été admis dimanche dernier dans le complexe hospitalier de San Pedro de Logroño (La Rioja) après avoir contracté Covid. Il souffre en plus d'un cancer.
L'Espagne l'a accueilli "pour des raisons strictement humanitaires", selon la ministre des Affaires étrangères Arancha González Laya. Les Sahraouis, aussi bien ceux des camps de réfugiés que ceux résidant dans les territoires occupés de l'ancienne colonie espagnole, ont d'abord découvert le sort de leur chef par la presse ennemie. "Le 360", a été le premier à annoncer la nouvelle qui a été rapidement reprise par les médias français, comme Jeune Afrique, puis par une partie de la presse espagnole, comme 20Minutos, La Razón, La Rioja ... entre autres.
Comme l'a révélé hier Ignacio Cembrero dans un article publié dans El Confidencial: "au sein du gouvernement espagnol, il y avait des divergences sur l'acceptation ou non de la demande de soins médicaux du chef du Front Polisario".
Selon la même source, le ministre de l'Intérieur espagnol, Fernando Grande-Marlaska, a refusé, craignant que cela n'ait des répercussions négatives sur les relations avec le Maroc. Sa collègue des Affaires étrangères, Arancha González Laya, était en revanche favorable, mais a pris la précaution d'en informer Rabat par courtoisie. Selon la ministre, cette question n'empêche ni ne perturbe en rien les excellentes relations que l'Espagne entretient avec le Maroc ",
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