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Affaire Ghali : Arancha Gonzalez évoque «la collaboration» de son gouvernement avec la justice ...

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  • Affaire Ghali : Arancha Gonzalez évoque «la collaboration» de son gouvernement avec la justice ...

    L’hospitalisation de Brahim Ghali dans l’hôpital San Pedro de Logroño, s’est invitée, ce mardi 27 avril, à la traditionnelle conférence de presse qui suit chaque réunion hebdomadaire du conseil du gouvernement espagnol. Un journaliste a demandé à la ministre des Affaires étrangères si elle a abordé cette affaire avec son homologue marocain, Nasser Bourita.

    Arancha Gonzalez a ainsi réitéré son discours du vendredi 23 avril sur «l’excellence» des relations entre l’Espagne et le Maroc, qualifiant Rabat de «partenaires stratégique» et «non seulement un voisin». Néanmoins, la cheffe de diplomatie a affirmé que dans ses explications présentées à la partie marocaine, le gouvernement de coalition de gauche a tenu à préciser son respect de la loi «y compris l’obligation de collaborer avec la justice espagnole». «C’est une question que le gouvernement prend très au sérieux», a-t-elle ajouté.

    Par rapport à ces précédentes déclarations, ces propos constituent une nouveauté. Est-ce le signe d’une «révision» de la position de Madrid, après la colère officielle du Maroc ? Pour l’heure, il est encore prématuré d’apporter une réponse claire à cette question. Il faut attendre les prochains jours pour voir si l'Audience nationale entreprendra une action visant à relancer la convocation de Brahim Ghali pour l’interroger sur la plainte déposée en 2008 contre lui, et autres responsables du Polisario et de l’Algérie, par l’Association sahraouie des droits de l’homme. Pour rappel, Brahim Ghali a déjà été convoqué, en novembre 2016, pour témoigner par le juge qui instruit ce dossier mais il ne s’y est pas présenté.

    Pour rappel, Jeune Afrique a révélé que l’hospitalisation de Brahim Ghali «a fait l’objet de négociations menées au plus haut sommet de l’Etat algérien». Suite au refus de l’Allemagne d’accueillir le chef du Polisario, «c’est finalement l’Espagne qui a été choisie après que le président Abdelmadjid Tebboune ait obtenu l’assurance du Premier ministre Pedro Sanchez que Ghali ne serait pas inquiété par la justice espagnole».

    ya,,,,bil







  • #2
    Pour l’heure, il est encore prématuré d’apporter une réponse claire à cette question. Il faut attendre les prochains jours pour voir si l'Audience nationale entreprendra une action visant à relancer la convocation de Brahim Ghali pour l’interroger sur la plainte déposée en 2008 contre lui, et autres responsables du Polisario et de l’Algérie, par l’Association sahraouie des droits de l’homme.
    le fugitif quittera l'Espagne comme il l'a fait auparavant rabaissé, un accueil triomphale lui sera réservé en algerie

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    • #3
      Pour éviter que certains pollueurs de topics viennent dire que c'est un torchon makhzéniste, voici ce qu'on peut lire dans la presse espagnole à propos de cette conférence de presse qui suit la réunion hebdomadaire du conseil du gouvernement espagnol:

      Source: eldiario.es

      González Laya ha subrayado que la relación entre España y Marruecos es "profunda y estrecha", como lo es el diálogo a todos los niveles: "yo, con mi homólogo; el embajador en Rabat, con las autoridades marroquíes, y la embajadora marroquí, con las autoridades españolas".

      En estas conversaciones se ha abordado la cuestión de Ghali y España ha explicado "las razones de estricto cumplimiento con nuestro compromiso humanitario", como también "que somos cumplidores de la ley, incluida la obligación de colaborar con la Justicia española".

      .../...

      Se refería a la petición de la Asociación Canaria de Víctimas del Terrorismo (Acavite), que pidió este sábado a las autoridades de España "que detengan de inmediato" a Ghali por "asesinatos de trabajadores canarios" en el antiguo Sáhara español, así como de ser "autor material e intelectual y quien ordenaba los ametrallamientos, asesinatos, secuestros masivos y desapariciones de tripulaciones en alta mar de los marineros canarios" entre 1973 y 1986.

      González Laya a reconnu dans cette conférence de presse l'obligation de son gouvernement de collaborer avec la Justice espagnole.


      L'Acavite est une association espagnole. Elle n'est ni sahraouie ni marocaine. Elle a porté plainte contre ce violeur et a demandé aux autorités espagnoles de l'arrêter pour l'assassinat de travailleurs des Iles Canaries dans ce qui était le Sahara espagnol et pour les enlèvements massifs et les disparitions des équipages en haute mer des marins des Iles Canaries entre 1973 et 1986.

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      • #4
        Néanmoins, la cheffe de diplomatie a affirmé que dans ses explications présentées à la partie marocaine, le gouvernement de coalition de gauche a tenu à préciser son respect de la loi «y compris l’obligation de collaborer avec la justice espagnole». «C’est une question que le gouvernement prend très au sérieux», a-t-elle ajouté.
        Si le harki en chef n'apparaît pas après sa sortie de l'hôpital devant le juge, c'est que la ministre raconte des bobards.

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