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Sabri Boukadoum, patron de la diplomatie algérienne, a annoncé ce 29 avril avoir eu un entretien avec son homologue américain, Antony Blinken . La conversation téléphonique a porté « sur les moyens de relancer et renforcer le partenariat stratégie entre l’Algérie et les États-Unis dans divers domaines ».
Il a également été l’occasion « d’échanger des points de vue sur des questions régionales d’intérêt commun, souligne-t-on, mentionnant la situation au Sahara occidental, en Libye et au Mali », indique Boukadoum.
Cet appel téléphonique intervient à un moment où les relations entre Rabat et Washington connaissent des tumultes : aucun contact officiel n’a été noué au niveau des chefs de la diplomatie des deux pays, depuis l’installation de l’administration Biden. Plus récemment, des contrariétés se sont faites ressentir au niveau du Conseil de sécurité… ( Le Maroc a été très déçu de l’attitude des États-Unis qui a échoué à faire adopter une déclaration commune même minime lors la réunion trimestrielle de consultations sur le Sahara tenue le 21 avril devant le Conseil de sécurité, alors même que le chef de la Minurso avait insisté sur les risques d’escalade dans la région. Rabat y voit un signe de neutralité négative du Département d’Etat nuisible à ses intérêts. )
Sabri Boukadoum, patron de la diplomatie algérienne, a annoncé ce 29 avril avoir eu un entretien avec son homologue américain, Antony Blinken . La conversation téléphonique a porté « sur les moyens de relancer et renforcer le partenariat stratégie entre l’Algérie et les États-Unis dans divers domaines ».
Il a également été l’occasion « d’échanger des points de vue sur des questions régionales d’intérêt commun, souligne-t-on, mentionnant la situation au Sahara occidental, en Libye et au Mali », indique Boukadoum.
Cet appel téléphonique intervient à un moment où les relations entre Rabat et Washington connaissent des tumultes : aucun contact officiel n’a été noué au niveau des chefs de la diplomatie des deux pays, depuis l’installation de l’administration Biden. Plus récemment, des contrariétés se sont faites ressentir au niveau du Conseil de sécurité… ( Le Maroc a été très déçu de l’attitude des États-Unis qui a échoué à faire adopter une déclaration commune même minime lors la réunion trimestrielle de consultations sur le Sahara tenue le 21 avril devant le Conseil de sécurité, alors même que le chef de la Minurso avait insisté sur les risques d’escalade dans la région. Rabat y voit un signe de neutralité négative du Département d’Etat nuisible à ses intérêts. )
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