En moins de vingt-quatre heures, deux incidents d’envergure ont porté un coup dur aux infrastructures et au potentiel militaire du pays. Ils surviennent dans un contexte de tensions régionales fortes.
En moins de vingt-quatre heures, deux incidents d’envergure ont frappé l’Iran et porté un coup dur aux infrastructures et au potentiel militaire du pays. Dans la soirée de mercredi 2 juin, un feu s’est déclaré dans une raffinerie de pétrole située dans le sud de Téhéran, la capitale. Quelques heures plus tôt, dans la nuit de mardi à mercredi, le plus grand navire de guerre de la marine avait lui aussi pris feu avant de couler dans le golfe d’Oman dans des circonstances inexpliquées. Les deux incidents surviennent dans un contexte de tensions entre l’Iran et ses rivaux régionaux, notamment Israël, et en pleine campagne présidentielle.
Dans la raffinerie, l’incendie s’est déclaré « dans les réservoirs de gaz liquéfié », selon le gouverneur de Shahr-e-Rey (un département de la province de Téhéran), Hossein Tavakoli. Le chef de la cellule de crise de la capitale iranienne, Mansour Darajati, a rejeté l’hypothèse qu’une « explosion » soit à l’origine de l’incident. Les responsables de la raffinerie ont également écarté la piste d’un « sabotage ». Jeudi matin, l’incendie n’avait toujours pas été maîtrisé.
Le monde
En moins de vingt-quatre heures, deux incidents d’envergure ont frappé l’Iran et porté un coup dur aux infrastructures et au potentiel militaire du pays. Dans la soirée de mercredi 2 juin, un feu s’est déclaré dans une raffinerie de pétrole située dans le sud de Téhéran, la capitale. Quelques heures plus tôt, dans la nuit de mardi à mercredi, le plus grand navire de guerre de la marine avait lui aussi pris feu avant de couler dans le golfe d’Oman dans des circonstances inexpliquées. Les deux incidents surviennent dans un contexte de tensions entre l’Iran et ses rivaux régionaux, notamment Israël, et en pleine campagne présidentielle.
Dans la raffinerie, l’incendie s’est déclaré « dans les réservoirs de gaz liquéfié », selon le gouverneur de Shahr-e-Rey (un département de la province de Téhéran), Hossein Tavakoli. Le chef de la cellule de crise de la capitale iranienne, Mansour Darajati, a rejeté l’hypothèse qu’une « explosion » soit à l’origine de l’incident. Les responsables de la raffinerie ont également écarté la piste d’un « sabotage ». Jeudi matin, l’incendie n’avait toujours pas été maîtrisé.
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