Logique que le gouvernement algérien ignore les supplications marocaine à mendier continuellement le rétablissement des frontières terrestres entre les deux pays. Pour 8 milliards de dollars annuels, la dictature marocaine est prête à tout subir en dérision!
- Si l’appel du roi Mohammed VI pour tourner la page des différends n’a pas encore fait réagir le pouvoir en Algérie, la presse du voisin de l'Est a remis en doute les intentions du royaume et rappelé les derniers incidents, dont l’appel à l’autodétermination de la Kabylie et le Pegasus Gate.
Le dernier appel lancé par le roi à l'occasion de la fête du Trône n'a pas rencontrer d'écho au niveau de l'Algérie officielle. Ainsi, la présidence algérienne n’a pas encore réagi à la main tendue par Mohammed VI pour tourner la page des différends entre les deux pays. Même son de cloche de la part de la diplomatie algérienne. Son chef Ramtane Lamamra s’est envolé vers le Caire pour réitérer la détermination de son pays d’accueillir l’édition 2021 du Sommet de la Ligue arabe après que le report de la précédente rencontre, prévue à Alger en 2020, suite à la pandémie du nouveau coronavirus. Le ministre algérien des Affaires étrangères s’est ensuite rendu à Tunis pour rencontrer à nouveau le président Kaïs Saïd.
L'appel lancé cette année par le souverain semble suivre le même chemin que celui de 2018, à l’occasion du 43e anniversaire de la Marche verte. A l’époque, le souverain avait appelé à la création d’un «mécanisme conjoint de dialogue», en réitérant que le royaume est ouvert à toutes les initiatives «émanant de l’Algérie pour désamorcer le blocage». Même mutisme du côté des partis politiques algériens, de la majorité comme de l’opposition. Aucune formation politique n’a daigné saluer le nouvel appel ou même le commenter.
Ya...bi (extraits).
- Si l’appel du roi Mohammed VI pour tourner la page des différends n’a pas encore fait réagir le pouvoir en Algérie, la presse du voisin de l'Est a remis en doute les intentions du royaume et rappelé les derniers incidents, dont l’appel à l’autodétermination de la Kabylie et le Pegasus Gate.
Le dernier appel lancé par le roi à l'occasion de la fête du Trône n'a pas rencontrer d'écho au niveau de l'Algérie officielle. Ainsi, la présidence algérienne n’a pas encore réagi à la main tendue par Mohammed VI pour tourner la page des différends entre les deux pays. Même son de cloche de la part de la diplomatie algérienne. Son chef Ramtane Lamamra s’est envolé vers le Caire pour réitérer la détermination de son pays d’accueillir l’édition 2021 du Sommet de la Ligue arabe après que le report de la précédente rencontre, prévue à Alger en 2020, suite à la pandémie du nouveau coronavirus. Le ministre algérien des Affaires étrangères s’est ensuite rendu à Tunis pour rencontrer à nouveau le président Kaïs Saïd.
L'appel lancé cette année par le souverain semble suivre le même chemin que celui de 2018, à l’occasion du 43e anniversaire de la Marche verte. A l’époque, le souverain avait appelé à la création d’un «mécanisme conjoint de dialogue», en réitérant que le royaume est ouvert à toutes les initiatives «émanant de l’Algérie pour désamorcer le blocage». Même mutisme du côté des partis politiques algériens, de la majorité comme de l’opposition. Aucune formation politique n’a daigné saluer le nouvel appel ou même le commenter.
Ya...bi (extraits).
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