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Le nombre de personnes testées positives au Covid-19 se tasse au Maroc depuis deux semaines. Le pic de la troisième vague, semble déjà dépassé, mais le plateau atteint demeure élevé
Le Maroc a-t-il vu (enfin) le bout du tunnel de la troisième vague ? Sur sa page Lindekin, le Coordinateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé, Mouad Merabet a estimé que Oui. « Le pire a été évité » après des jours de panique, a-t-il admis, précisant que plusieurs provinces « ont dépassé le pic des contaminations et actuellement en pic de cas graves et de décès. D’autres en pic et rares provinces en phase ascendante ».
Selon les données nationales de Santé publique, la phase ascendante des contaminations s’est estompée. Le pic de cette troisième vague, résultante du variant Delta, a duré deux semaines contrairement à la première vague de transmission du virus où il n’a duré qu’une semaine. « Se déclenchant en général deux semaines après les contaminations, le nombre des cas graves a connu son pic ces deux dernières semaines, et nous vivons aujourd’hui, malheureusement, le pic des décès », a-t-il fait savoir.
Toutefois, le spécialiste appelle à plus de vigilance et espère que les tendances vont se confirmer et que les autres provinces « en souffrance » suivront la même courbe
Bl. Adi
Le Maroc a-t-il vu (enfin) le bout du tunnel de la troisième vague ? Sur sa page Lindekin, le Coordinateur du Centre national des opérations d’urgence de santé publique au ministère de la Santé, Mouad Merabet a estimé que Oui. « Le pire a été évité » après des jours de panique, a-t-il admis, précisant que plusieurs provinces « ont dépassé le pic des contaminations et actuellement en pic de cas graves et de décès. D’autres en pic et rares provinces en phase ascendante ».
Selon les données nationales de Santé publique, la phase ascendante des contaminations s’est estompée. Le pic de cette troisième vague, résultante du variant Delta, a duré deux semaines contrairement à la première vague de transmission du virus où il n’a duré qu’une semaine. « Se déclenchant en général deux semaines après les contaminations, le nombre des cas graves a connu son pic ces deux dernières semaines, et nous vivons aujourd’hui, malheureusement, le pic des décès », a-t-il fait savoir.
Toutefois, le spécialiste appelle à plus de vigilance et espère que les tendances vont se confirmer et que les autres provinces « en souffrance » suivront la même courbe
Bl. Adi