Le nombre des détenus politiques s’est aggravé jusqu’à 283 personnes qui ont été incarcérées dans diverses prisons algériennes uniquement en raison de leurs opinions politiques divergentes avec le pouvoir en place à Alger, a pu confirmer Algérie Part auprès de plusieurs sources judiciaires et sécuritaires.
Rien que depuis le début de ce mois de décembre, au moins 7 activistes et militants algériens ont été arrêtés et placés en détention en raison de leur proximité ou appartenance à des mouvements politiques jugées hostiles au pouvoir algérien et à ses conceptions de l’unité territoriale ou de la sécurité nationale. Au cours du mois de novembre passé, pas moins de 24 détenus politiques ont été recensés à travers le territoire national. Par ailleurs, plus de 44 autres algériens ont été placés sous contrôle judiciaire.
Les mois d’octobre et septembre derniers ont été particulièrement durs et répressifs. Plus de 44 algériennes et algériens ont été placés en détention au mois d’octobre dernier pour leurs activités politiques alors qu’au mois de septembre dernier, au moins 63 détenus politiques ont été déplorés par diverses sources judiciaires.
D’autre part, plus de 157 algériennes et algériens ont été poursuivis devant divers tribunaux et ils ont été placés sous contrôle judiciaire après avoir fait de la garde-à-vue au niveau de nombreux commissariats et brigades de la Gendarmerie Nationale.
L’Algérie s’apprête à terminer l’année 2021 avec un bilan lourd et navrant concernant les violations des Droits de l’homme et les libertés publiques ou civiles. Et aucune perspective positive n’est pour le moment envisageable en 2022 concernant le sort des détenus politiques algériens.
Algeripartplus
Rien que depuis le début de ce mois de décembre, au moins 7 activistes et militants algériens ont été arrêtés et placés en détention en raison de leur proximité ou appartenance à des mouvements politiques jugées hostiles au pouvoir algérien et à ses conceptions de l’unité territoriale ou de la sécurité nationale. Au cours du mois de novembre passé, pas moins de 24 détenus politiques ont été recensés à travers le territoire national. Par ailleurs, plus de 44 autres algériens ont été placés sous contrôle judiciaire.
Les mois d’octobre et septembre derniers ont été particulièrement durs et répressifs. Plus de 44 algériennes et algériens ont été placés en détention au mois d’octobre dernier pour leurs activités politiques alors qu’au mois de septembre dernier, au moins 63 détenus politiques ont été déplorés par diverses sources judiciaires.
D’autre part, plus de 157 algériennes et algériens ont été poursuivis devant divers tribunaux et ils ont été placés sous contrôle judiciaire après avoir fait de la garde-à-vue au niveau de nombreux commissariats et brigades de la Gendarmerie Nationale.
L’Algérie s’apprête à terminer l’année 2021 avec un bilan lourd et navrant concernant les violations des Droits de l’homme et les libertés publiques ou civiles. Et aucune perspective positive n’est pour le moment envisageable en 2022 concernant le sort des détenus politiques algériens.
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