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Pour le SPLA et les FAR, il convient de différencier puissance militaire effective et capacité démontrée.
30 Janvier 2022
Ahmed Zain.
ECS. Mahbes. | Depuis la reprise de la guerre au Sahara Occidental le 13 novembre 2020 après la violation du cessez-le-feu commise par l'occupant ; Royaume du Maroc, les forces de la République sahraouie ont maintenu depuis lors des attaques intenses et sans interruption contre les positions des forces d'occupation marocaines malgré l'intervention de l'aviation marocaine.
S'il est vrai que le Maroc, force d'occupation au Sahara Occidental, dispose d'un arsenal militaire important, il convient de faire la distinction entre puissance militaire effective et capacité démontrée. Cette simple différence montre de manière fiable les fléaux de l'armée d'occupation marocaine et sa véritable situation sur le terrain. Après presque un an et demi de guerre, il y a eu plus de 1 600 attaques sahraouies dirigées contre des positions à l'intérieur du mur militaire marocain, comme l'a rapporté le régime marocain à l'ONU. Au vu du temps qui s'est écoulé, par logique linéaire, ces attentats ont entraîné (et continueront d'entraîner) des pertes matérielles et économiques considérables qui pèseront inévitablement sur la chétive économie marocaine, qui vogue dans une direction incertaine après avoir été emportée par COVID-19. Cependant, la guerre des coûts n'affecte en rien les capacités des combattants sahraouis, qui ont pu résister et vaincre l'armée de Hassan II lors de la première guerre de libération grâce à des tactiques de guerre non conventionnelles, malgré le fait que le Maroc avait des soutiens solides tels que le États-Unis, la France et l'Arabie saoudite, qui est également un exemple de son manque de préparation et d'expérience de combat sur le théâtre d'opérations du Sahara occidental, un extrême confirmé par le département d'État américain lui-même.UU dans une note divulguée qui a souligné son manque de formation et le moral au combat.
Depuis des mois, l'escalade de la guerre s'est poursuivie dans une phase incrémentale, l'Armée de libération sahraouie a promis activement et passivement qu'elle n'arrêterait pas la guerre jusqu'à la libération complète du Sahara Occidental, pour laquelle il convient de rappeler que c'est le Maroc qui a demandé l'arrêt feu en 1991 au Front POLISARIO bien qu'il ait été celui qui a initié l'agression et l'invasion qui a suivi. L'Armée de libération sahraouie a une longue histoire opérationnelle, est spécialement formée pour les opérations de guérilla à grande échelle dans le désert, les opérations conventionnelles, le contre-terrorisme et une riche connaissance stratégique du désert du Sahara ainsi qu'être adaptée au combat contre des éléments bien supérieurs à la leur. Son potentiel n'est limité que par les moyens matériels, puisqu'en appliquant le renseignement tactique à ses maigres moyens, il a pu imposer la dissuasion et changer les règles du jeu dans des conditions d'infériorité abyssale.
La même CIA a révélé que la guérilla sahraouie était sur le point de vaincre les forces d'occupation marocaines sans le soutien financier, logistique et militaire des monarchies arabes. L'un de ses avantages est qu'il dispose d'un système de mobilisation efficace, pouvant enrôler rapidement entre 20 000 et 30 000 hommes. De la même manière, l'armée sahraouie continue de maintenir l'initiative offensive, le lieu et l'heure de ses attaques, et les forces d'occupation marocaines se sont barricadées dans leurs fossés du mur militaire de manière statique, incapables de sortir et attendant l'impact des missiles sahraouis ou une certaine pénétration, qui ne sera qu'une question de temps comme l'expérience historique nous l'a appris.
30 Janvier 2022
Ahmed Zain.
ECS. Mahbes. | Depuis la reprise de la guerre au Sahara Occidental le 13 novembre 2020 après la violation du cessez-le-feu commise par l'occupant ; Royaume du Maroc, les forces de la République sahraouie ont maintenu depuis lors des attaques intenses et sans interruption contre les positions des forces d'occupation marocaines malgré l'intervention de l'aviation marocaine.
S'il est vrai que le Maroc, force d'occupation au Sahara Occidental, dispose d'un arsenal militaire important, il convient de faire la distinction entre puissance militaire effective et capacité démontrée. Cette simple différence montre de manière fiable les fléaux de l'armée d'occupation marocaine et sa véritable situation sur le terrain. Après presque un an et demi de guerre, il y a eu plus de 1 600 attaques sahraouies dirigées contre des positions à l'intérieur du mur militaire marocain, comme l'a rapporté le régime marocain à l'ONU. Au vu du temps qui s'est écoulé, par logique linéaire, ces attentats ont entraîné (et continueront d'entraîner) des pertes matérielles et économiques considérables qui pèseront inévitablement sur la chétive économie marocaine, qui vogue dans une direction incertaine après avoir été emportée par COVID-19. Cependant, la guerre des coûts n'affecte en rien les capacités des combattants sahraouis, qui ont pu résister et vaincre l'armée de Hassan II lors de la première guerre de libération grâce à des tactiques de guerre non conventionnelles, malgré le fait que le Maroc avait des soutiens solides tels que le États-Unis, la France et l'Arabie saoudite, qui est également un exemple de son manque de préparation et d'expérience de combat sur le théâtre d'opérations du Sahara occidental, un extrême confirmé par le département d'État américain lui-même.UU dans une note divulguée qui a souligné son manque de formation et le moral au combat.
Depuis des mois, l'escalade de la guerre s'est poursuivie dans une phase incrémentale, l'Armée de libération sahraouie a promis activement et passivement qu'elle n'arrêterait pas la guerre jusqu'à la libération complète du Sahara Occidental, pour laquelle il convient de rappeler que c'est le Maroc qui a demandé l'arrêt feu en 1991 au Front POLISARIO bien qu'il ait été celui qui a initié l'agression et l'invasion qui a suivi. L'Armée de libération sahraouie a une longue histoire opérationnelle, est spécialement formée pour les opérations de guérilla à grande échelle dans le désert, les opérations conventionnelles, le contre-terrorisme et une riche connaissance stratégique du désert du Sahara ainsi qu'être adaptée au combat contre des éléments bien supérieurs à la leur. Son potentiel n'est limité que par les moyens matériels, puisqu'en appliquant le renseignement tactique à ses maigres moyens, il a pu imposer la dissuasion et changer les règles du jeu dans des conditions d'infériorité abyssale.
La même CIA a révélé que la guérilla sahraouie était sur le point de vaincre les forces d'occupation marocaines sans le soutien financier, logistique et militaire des monarchies arabes. L'un de ses avantages est qu'il dispose d'un système de mobilisation efficace, pouvant enrôler rapidement entre 20 000 et 30 000 hommes. De la même manière, l'armée sahraouie continue de maintenir l'initiative offensive, le lieu et l'heure de ses attaques, et les forces d'occupation marocaines se sont barricadées dans leurs fossés du mur militaire de manière statique, incapables de sortir et attendant l'impact des missiles sahraouis ou une certaine pénétration, qui ne sera qu'une question de temps comme l'expérience historique nous l'a appris.
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