C'est un bureau d'etude qui pilote les travaux
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Grosse opération pour sauver l'enfant rayan tombé dans un puit prés de chefchaouen
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Prières pour le Garçon et pensées pour ses parents. Dieu Faites en sorte qu'il s'en sort sain et sauf.
Satanés puits artésiens! Véritables pièges!"Citizens of Iraq, Libya, Afghanistan, and Yugoslavia have seen how "peaceful" NATO is."
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L’opération de forage se poursuivra en présence d’un ingénieur et de techniciens topographes jusqu’à une profondeur de 32 mètres, avant de creuser une brèche horizontale entre le trou et le puits pour récupérer l’enfant. Les efforts se poursuivent activement, depuis mercredi matin, pour secourir Rayan, à travers la mobilisation des dizaines d’éléments de la protection civile, des autorités locales, des forces auxiliaires et de la Gendarmerie royale, sous la supervision des autorités provinciales, appuyés d’engins lourds de forage.
Les équipements de forage déployés ont été renforcés par un sixième bulldozer pour accélérer l’opération d’excavation et d’affaissement de terrain, en plus de la mobilisation d’un hélicoptère médical de la Gendarmerie royale et d’une ambulance avec un staff médical spécialisé en réanimation, afin de transporter l’enfant vers l’hôpital.
Rayan est tombé mardi après-midi dans un puits non couvert et non clôturé près de la maison de sa famille.
Un comité de suivi et de coordination de l’opération de sauvetage de Rayan a été créé à cet effet.
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Des mineurs chiliens avaient été sauvés au fond d'une mine après 69 jours
- Le 13 octobre 2010, les employés d'une mine de cuivre au Chili retrouvaient l'air libre après 69 jours passés sous terre. Un événement suivi en direct sur les télévisions du monde entier.
D'abord les plus «habiles», ensuite les plus faibles puis les plus solides. C'est dans cet ordre que le 13 octobre 2010, les 33 mineurs chiliens coincés sous terre depuis plus de deux mois recouvrent leur liberté. Extraits de leur petite nacelle métallique de 52 cm de diamètre, les yeux protégés par des lunettes de soleil, ces miraculés se trouvent alors projetés dans le grand barnum médiatique formé autour du camp où se sont regroupées leurs familles.
Le 5 août, l'enfer débutait pour ces hommes venus de tout le pays pour travailler à Copiapo dans le désert d'Atacama dans le nord du Chili. Ce jour-là, un effondrement survenu dans les galeries de la mine de cuivre et d'or de San José bloque les 33 mineurs. À 688 mètres de profondeur, dans la poussière, les hommes se dirigent alors vers la cheminée d'évacuation mais il manque l'échelle. Deux jours plus tard un second éboulement les enferme totalement. Pendant 17 jours, alors que le pays est sans nouvelle d'eux, ils organisent alors leur survie…
Le figaro.fr
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