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Sahara : Malgré l’ouverture sur le Maroc, le Mexique défend le Polisario à l’ONU

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  • Sahara : Malgré l’ouverture sur le Maroc, le Mexique défend le Polisario à l’ONU

    Apparemment le chantage marocain de l'engrais n'a pas beaucoup d'emprise!

    - A la 4e Commission de l’ONU chargée des questions politiques et de la décolonisation, le Mexique a exprimé son appui aux positions défendues par le Polisario. Le représentant de Mexico a réaffirmé l'appui de son pays «aux efforts devant mener à une solution juste et durable au conflit, conformément aux résolutions pertinentes de l’Assemblée générale des Nations unies et du Conseil de sécurité».

    Le diplomate a appelé «à écouter la voix du peuple sahraoui et respecter son droit à l’autodétermination. Pour mon pays, une paix durable doit permettre l’exercice de ce droit. Nous réitérons que les voix des jeunes et des femmes du Sahara occidental doivent avoir une place significative dans le processus du dialogue entre les parties du conflit».
    (...).
    Cette intervention devrait rassurer le Polisario sur le maintien de la reconnaissance de la «République arabe sahraouie démocratique» par le Mexique, actée en 1979. La semaine dernière, le Polisario a envoyé à Mexico une délégation, conduite par son représentant en Amérique latine et aux Caraïbes, Mohamed Zrug. Elle a été reçue, mercredi au siège du ministère des Affaires étrangères, par la directrice générale de la division Afrique, Asie centrale et Moyen-Orient, Amparo Eréndira Anguiano Rodríguez, et a assisté, le lendemain, à une séance de la plénière de la Chambre basse.

    Ya..bi (extraits)

  • #2
    Saviez-vous que l'Equateur reconnaît aussi la RASD? Finalement, ils sont une majorité de pays sud-américains à reconnaître la RASD. C'est certainement en raison du'ils considèrent la dictature marocaine peuplée de nomades en voie de disparition et qu'il ne reste que 40 tentes!

    - Un autre itinérant, Saïd Ouhada, la quarantaine, a déjà mis un pied en ville en y installant sa femme et ses enfants pour leur scolarité. « Etre nomade, ce n’est plus comme avant. Je continue à l’être par contrainte car mes parents très âgés refusent de vivre en ville », témoigne M. Ouhada, dont le campement est aussi installé près d’Amellagou. Cette localité « comptait 460 tentes. Actuellement, on n’en dénombre qu’une quarantaine », précise Driss Skounti, élu communal représentant des nomades.

    le Monde.fr

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