Bien que le salaire horaire de 5 euros soit trois (3) fois supérieur au SMIG marocain, il n'empêche que cet esclavagiste n'a pas de solidarité avec ses concitoyens.
Lamentable!
- Citant des sources des agents de l’inspection du travail, plusieurs médias locaux ont rapporté que l’interpellation a été ordonnée par le juge d’instruction de Vérone, pour les besoins d’enquêtes ouvertes depuis octobre 2021 et coordonnées par la procureure Maria Beatrice Zanotti, dans le cadre de l’opération dite «ramassage des poulets». De lourdes accusations sont retenues contre le ressortissant marocain, qui aurait opéré sous couvert de sa propre entreprise pour «recruter des citoyens non-européens, de nationalité marocaine généralement et sans permis de séjour». Les travailleurs ont été employés «dans des conditions d’exploitation», selon les investigations, dans des champs et des fermes avicoles dans les provinces de Vérone, Vicence et Trente.
Les enquêtes, à partir des plaintes des intéressés, ont établi que l’homme faisait travailler les immigrés «sous la pluie et dans la boue, en les payant cinq euros l’heure, pendant 10 à 15 heures par jour». Les travailleurs «n’avaient ni lieu pour se changer, ni pour manger, ni de sanitaires accessibles», ont indiqué les éléments réunis par les carabiniers.
Ya...bi
Lamentable!
- Citant des sources des agents de l’inspection du travail, plusieurs médias locaux ont rapporté que l’interpellation a été ordonnée par le juge d’instruction de Vérone, pour les besoins d’enquêtes ouvertes depuis octobre 2021 et coordonnées par la procureure Maria Beatrice Zanotti, dans le cadre de l’opération dite «ramassage des poulets». De lourdes accusations sont retenues contre le ressortissant marocain, qui aurait opéré sous couvert de sa propre entreprise pour «recruter des citoyens non-européens, de nationalité marocaine généralement et sans permis de séjour». Les travailleurs ont été employés «dans des conditions d’exploitation», selon les investigations, dans des champs et des fermes avicoles dans les provinces de Vérone, Vicence et Trente.
Les enquêtes, à partir des plaintes des intéressés, ont établi que l’homme faisait travailler les immigrés «sous la pluie et dans la boue, en les payant cinq euros l’heure, pendant 10 à 15 heures par jour». Les travailleurs «n’avaient ni lieu pour se changer, ni pour manger, ni de sanitaires accessibles», ont indiqué les éléments réunis par les carabiniers.
Ya...bi
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