Un haut fonctionnaire du ministère de Bourita clarifie à EFE les déclarations faites dans la lettre envoyée au Conseil des droits de l'homme de l'ONU
Un haut fonctionnaire du ministère marocain des Affaires étrangères a affirmé aujourd'hui que la déclaration conjointe signée entre le Maroc et l'Espagne le 7 avril reconnaît qu'il existe également des "frontières terrestres" entre les deux pays.
Selon ce responsable marocain, la déclaration conjointe signée en avril avec l'Espagne souligne que "la normalisation complète de la circulation des personnes et des biens sera rétablie de manière ordonnée, y compris les mécanismes appropriés de contrôle des douanes et des personnes aux frontières terrestres et maritimes".
Le haut fonctionnaire fait ainsi allusion aux "frontières" terrestres avec l'Espagne, un mot qui a été omis dans la déclaration, qui parle seulement d'inclure les régimes douaniers "au niveau terrestre et maritime".
Une lettre du Royaume du Maroc adressée au Haut Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme a été rendue publique jeudi. Elle indique que le Maroc "n'a pas de frontières terrestres avec l'Espagne", mais seulement "de simples points d'accès", et que Melilla "continue d'être une prison occupée".
Selon la source du ministère marocain des Affaires étrangères consultée par EFE, la déclaration adoptée en avril après la rencontre entre Mohamed VI et Sánchez "contient les bases et les principes fondamentaux de la nouvelle phase d'association entre les deux pays voisins".
Cette déclaration, selon la source, énumère les domaines de coopération entre les deux pays et "différentes questions d'intérêt commun, dont le Sahara", question sur laquelle le gouvernement espagnol soutient la proposition marocaine d'autonomie sous souveraineté marocaine.
Un haut fonctionnaire du ministère marocain des Affaires étrangères a affirmé aujourd'hui que la déclaration conjointe signée entre le Maroc et l'Espagne le 7 avril reconnaît qu'il existe également des "frontières terrestres" entre les deux pays.
Selon ce responsable marocain, la déclaration conjointe signée en avril avec l'Espagne souligne que "la normalisation complète de la circulation des personnes et des biens sera rétablie de manière ordonnée, y compris les mécanismes appropriés de contrôle des douanes et des personnes aux frontières terrestres et maritimes".
Le haut fonctionnaire fait ainsi allusion aux "frontières" terrestres avec l'Espagne, un mot qui a été omis dans la déclaration, qui parle seulement d'inclure les régimes douaniers "au niveau terrestre et maritime".
Une lettre du Royaume du Maroc adressée au Haut Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme a été rendue publique jeudi. Elle indique que le Maroc "n'a pas de frontières terrestres avec l'Espagne", mais seulement "de simples points d'accès", et que Melilla "continue d'être une prison occupée".
Selon la source du ministère marocain des Affaires étrangères consultée par EFE, la déclaration adoptée en avril après la rencontre entre Mohamed VI et Sánchez "contient les bases et les principes fondamentaux de la nouvelle phase d'association entre les deux pays voisins".
Cette déclaration, selon la source, énumère les domaines de coopération entre les deux pays et "différentes questions d'intérêt commun, dont le Sahara", question sur laquelle le gouvernement espagnol soutient la proposition marocaine d'autonomie sous souveraineté marocaine.
Commentaire