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​​​​​​​Cette étrange ressemblance de l'Afrique du Sud avec l'Algérie?

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  • ​​​​​​​Cette étrange ressemblance de l'Afrique du Sud avec l'Algérie?

    On peut se demander si la presse marocaine connaît vraiment les histoires de l'Afrique du Sud et de l'Algérie? Quant au passage relatif à Nelson Mandela, il s'agit d'une honte que de travestir son épopée par jalousie qu'il avait nargué l'ivrogne, trafiquant et addictif à la coke l'empereur M6 lors de leur duel pour l'acquisition de l'organisation de la coupe du monde de foot de 2010.

    In fine Madiba avait reconnu la RASD en 1994 dès son avènement à la présidence sud-africaine et soutenir l'inverse est de l'esbroufe.

    - L'Afrique du Sud se retrouve du mauvais côté de l'Histoire". La sentence, en guise de commentaire de l’accueil réservé par le président sud-africain Cyril Ramaphosa au chef de la milice du Polisario, est du ministre des Affaires étrangères marocain à l’issue de son entretien avec son homologue belge Hadja Lahbib. Qui ajoute aussitôt : ‘’Qu'un torchon ou un tapis rouge ait été dressé n’altère en rien le dossier mais exprime plutôt l’incapacité [de Pretoria] d’influer" sur l’évolution de l’affaire du Sahara à l’international.

    En souvenir de Madiba


    N’empêche. Dans les accents du ministre des AE il y a comme un relent de regret, notamment lorsqu’il fait remarquer que le comportement de Pretoria "nuit aux relations bilatérales et à tout ce qui a été construit, notamment dans les milieux économiques". Nasser Bourita avait fort probablement en tête la fameuse rencontre entre le Roi Mohammed VI et l’ancien président sud-africain Jacob Zuma en novembre 2017 à Abidjan en marge du Sommet UE-UA. Rabat, passant outre l’a priori sud-africain, s’est, depuis, investi dans cette relation, nourrissant l’espoir de voir le pays de Nelson Mandala, qui connaissait et témoignait publiquement de l’apport marocain au renforcement del’African National Congress (ANC), rejoindre la dynamique de soutien africain à la sortie honorable proposée par Rabat pour en finir avec un conflit qui n’a que trop duré.

    Nelson Mandela au pouvoir faisait barrage aux velléités de reconnaitre une entité, la RASD, qui n’a ni droits historiques ni les fondements d’un Etat selon les termes du droit international. Mais lui parti, les militants de l’ANC biberonnés au sein boumédienniste et formatés FLN algérien ont franchi le Rubicon pour reconnaitre en 2005 la maquette d’une république-.

    Quid.ma (extraits)



  • #2
    La gifle d'hier donnée par l'ONU est à la mesure de ton silence à ce sujet

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    • #3
      A lire la menteuse presse marocaine, l'Afrique du Sud était mieux sous l'apartheid- que le Maroc avait soutenu- qu'actuellement! Et pourtant, une grave erreur découle de l'ivrogne trafiquant et addictif à la coke l'empereur M6. En effet, sa rencontre avec Zuma allait condamner ce dernier et l'ANC exigera une politique plus dure envers la dictature alaouite.

      - L’ADN partagé

      Comme dans l’Algérie du FLN, probablement en moins vulgaire, l’ANC s’est accaparé l’Etat et ses richesses, réduisant les élections à de faux-semblants. La libération dans l’un, la fin de l’apartheid dans l’autre n’ont finalement servi qu’à une caste clientéliste et réseautée. L’affranchissement de l’Afrique du Sud de l’abomination de la ségrégation raciale n’aura servi in fine qu’à substituer des noirs à des blancs tandis que la majorité de la population qui a payé de sa lutte le démantèlement de l’apartheid pouvait continuer à croupir dans de vastes townships miséreux et misérables, livrée aux violences, aux viols et au Sida.

      Ce partage avéré d’ADN entre le FLN et l’ANC une fois établi, y compris leur présomption commune à faire accroire avoir été élu pour une mission unique dans l’histoire de l’univers, trouve sa résonnance dans la bravacherie de Cyril Ramphosa déclarant assumer ’sans état d’âme’’ le soutien du Polisario, dévoilant dans le même temps sa qualité de sous-traitant pour le compte d’autrui."

      Ibidem


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      • #4
        L'Afrique du Sud, le pays le moins pauvre d'Afrique et unique démocratie du continent africain est la seule nation qui peut jouer dans la cour des grands au grand dam de la dictature marocaine. Bien que je désapprouve la position sud-africaine d'égard à ce yacht russe il en reste pas moins que l'on doit se demander pourquoi ce yacht n'a pas été réquisitionné par la Chine lorsqu'il mouillait à Hong-Konk?

        - L’Afrique du Sud n’a « aucune raison d’empêcher » l’arrivée d’un mégayacht russe

        Le « Nord » est la propriété d’Alexeï Mordachov, un oligarque proche de Vladimir Poutine et visé par les sanctions occidentales prises après l’invasion de l’Ukraine.

        L’Afrique du Sud n’a « aucune raison d’empêcher » un mégayacht de luxe qui appartiendrait à l’un des plus riches oligarques russes d’accoster dans ses eaux territoriales, a déclaré Vincent Magwenya, un porte-parole présidentiel, jeudi 27 octobre en réponse à une mise en garde de l’opposition. « L’Afrique du Sud n’a aucune obligation légale de respecter les sanctions imposées par les Etats-Unis et l’Union européenne », a-t-il affirmé lors d’un point de presse. En application de ces sanctions, plusieurs autorités, notamment espagnoles, italiennes, françaises et fidjiennes, ont saisi des yachts liés à des oligarques russes afin de faire pression sur le président Vladimir Poutine et son entourage.

        Le mégayacht Nord, dont la valeur est estimée à 500 millions de dollars, serait la propriété d’Alexeï Mordachov, un magnat de l’acier proche de M. Poutine. Comme d’autres oligarques russes, M. Mordachov est visé par les sanctions occidentales prises après l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Le Nord a quitté Hongkong la semaine dernière, où il est resté trois semaines, et pourrait atteindre l’Afrique du Sud le 8 ou le 9 novembre. L’opposition sud-africaine a averti mercredi que le gouvernement s’exposait à des sanctions s’il autorisait ce bateau à accoster.

        Le Monde.fr

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        • #5
          La dictature marocaine doit être le seul pays au monde à regretter la fin de la Guerre froide car à cette époque, elle (dictature marocaine) s'entendait à merveille avec l'Afrique du Sud sous apartheid.

          - Histoire : Quand le Maroc livrait des armes à l’ANC de Mandela

          En 1962, la première livraison d’armes aux combattants de l’ANC a été marocaine. Nelson Mandela avait même séjourné quelques mois au royaume. Abdelkrim El Khatib avait joué un rôle très important dans le rapprochement entre Hassan II et Mandela. Les deux hommes allaient se rencontrer, une deuxième fois, en 1994 à Rabat, mais cette fois-ci plutôt par courtoisie. Durant les longues années d’incarcération de Mandela, le Maroc s’est éloigné de l’ANC et s’est rapproché du régime sud-africain.
          (...).
          Le fil de la relation entre Mandela et le Maroc allait être brutalement interrompu un certain 12 juillet 1963, jour de l’arrestation du leader de l’ANC. Durant les 27 longues années de détention, l'ANC se rapprochera sensiblement des pays communistes alors que le Maroc flirtera avec le régime sud-africain au sein du Club Safari

          Ya...bi



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          • #6
            Si la dictature marocaine n'avait pas soutenu l'apartheid sud-africain et acheté des armes à ce pays alors qu'il était sous boycott onusien, Nelson Mandela aurait-il reconnu la RASD illico?

            Pas sûr?

            A votre avis?

            - En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n’a pas la mémoire courte, s’engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l’entité sahraouie.

            Jeune Afrique

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            • #7
              Il n'y a aucun pays en Afrique qui atteint la maturité démocratique de l'Afrique du Sud. Sinon quel pays africain oserait-il poursuivre en justice son président en exercice? Même pas la France.

              - La saga Phala Phala

              Pour rappel, la présidente de l'Assemblée nationale, Nosiviwe Mapisa-Nqakula, a nommé une Commission d'enquête conformément à l'article 89 de la Constitution, à la suite d'une motion déposée par le chef du parti «ATM», Vuyolwethu Zungula, pour la destitution de Ramaphosa au motif "d'une violation grave de la Constitution, de la loi et d'une «faute grave".

              La Commission devra déterminer si Ramaphosa a violé la Constitution en s'exposant au risque d'un conflit entre ses responsabilités officielles et ses intérêts privés.

              La saga Phala Phala est devenue un problème brûlant en juin dernier après que l'ancien chef des Services de renseignement, Arthur Fraser, a ouvert une affaire d'enlèvement et de blanchiment d'argent contre Ramaphosa et le chef de l'unité de protection présidentielle, le général de division Wally Rhoode, ainsi que contre des membres du Crime Intelligence pour avoir prétendument dissimulé un cambriolage perpétré en 2020 à la ferme privée du Président.

              Quid.ma

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