D'après une information rapportée ce lundi par le média parisien Jeune Afrique, le roi Mohammed VI ne se rendra pas en Algérie pour assister ce 1er novembre au sommet de la Ligue arabe.
La décision a été communiquée par Nasser Bourita au secrétaire général de la Ligue arabe ce dimanche soir, fait-on savoir de même source.
JA affirme que cette décision par « le traitement peu diplomatique réservé à Bourita et à sa délégation, ce qui ne permettrait pas au roi d'effectuer un séjour serein et apaisé ».
« Le Maroc goûte également peu la persistance des attaques dont il fait l’objet dans les médias algériens. Enfin, selon nos sources, l’absence à ce sommet de chefs d’État que Rabat considère comme lui étant proches a également joué (Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Koweït, Jordanie, Égypte…) », poursuit-on.
Pour le média panafricain, Nasser Bourita estime que le Maroc participera activement aux travaux de ce sommet, même s'il n'a toujours pas eu d'entrevue avec son homologue algérien, Ramatane Lamamra, au contraire d'autres délégations étrangères.
Bourita avait a ce propos laissé entendre que le Souverain scrutait l’évolution des préparatifs pour prendre sa décision finale. L’absence du Roi fait aussi écho aux désistements en cascade des chefs d’États du Moyen-Orient, dont notamment le prince héritier Mohammed Ben Salman (MBS) d'Arabie saoudite, le roi Abdallah II de Jordanie ou plus récemment l'émir du Koweït.
Pour rappel, comme nous le rapportions précédemment, le chef de la diplomatie marocaine évoquait ce 29 octobre au soir, un risque d'échec du sommet, en raison de l'ambiance tendue qui a prévalu dès l'arrivée de la délégation du Maroc.
ledesk.ma
La décision a été communiquée par Nasser Bourita au secrétaire général de la Ligue arabe ce dimanche soir, fait-on savoir de même source.
JA affirme que cette décision par « le traitement peu diplomatique réservé à Bourita et à sa délégation, ce qui ne permettrait pas au roi d'effectuer un séjour serein et apaisé ».
« Le Maroc goûte également peu la persistance des attaques dont il fait l’objet dans les médias algériens. Enfin, selon nos sources, l’absence à ce sommet de chefs d’État que Rabat considère comme lui étant proches a également joué (Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Koweït, Jordanie, Égypte…) », poursuit-on.
Pour le média panafricain, Nasser Bourita estime que le Maroc participera activement aux travaux de ce sommet, même s'il n'a toujours pas eu d'entrevue avec son homologue algérien, Ramatane Lamamra, au contraire d'autres délégations étrangères.
Bourita avait a ce propos laissé entendre que le Souverain scrutait l’évolution des préparatifs pour prendre sa décision finale. L’absence du Roi fait aussi écho aux désistements en cascade des chefs d’États du Moyen-Orient, dont notamment le prince héritier Mohammed Ben Salman (MBS) d'Arabie saoudite, le roi Abdallah II de Jordanie ou plus récemment l'émir du Koweït.
Pour rappel, comme nous le rapportions précédemment, le chef de la diplomatie marocaine évoquait ce 29 octobre au soir, un risque d'échec du sommet, en raison de l'ambiance tendue qui a prévalu dès l'arrivée de la délégation du Maroc.
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