Le dictateur russe Vladimir Poutine a sali la Russie et a détruit le monde russe à travers son invasion barbare de l'Ukraine.
En décidant de lancer son invasion barbare et génocidaire russe de l'Ukraine, le dictateur terroriste et néo-nazi Poutine a notamment voulu renforcer le monde russe et reconstituer l'empire russe. Mais c'est le contraire qui s'est passé : non seulement la majorité des Ukrainiens détestent désormais la Russie, la langue russe et le peuple russe, mais en plus, la majorité des pays de l'ex URSS détestent désormais tout ce qui est russe. D'ailleurs, plusieurs pays de l'ex URSS ont détruit plusieurs monuments historiques en hommage à l'URSS depuis l'invasion barbare russe de l'Ukraine (voir vidéo 1).
La Russie est devenue tellement toxique dans les pays de l'ex URSS à cause du dictateur sanguinaire Poutine, que parler la langue russe dans certains pays de l'ex URSS est perçu comme un signe de trahison.
Le quotidien anglais The Guardian a publié le samedi un article sur le sujet sous le titre : In Ukraine, I saw the greatest threat to the Russian world isn’t the west – it’s Putin.
L'article a rapporté les témoignages de citoyens de plusieurs pays de l'ex URSS et ils ont tous un point commun : le rejet de la Russie et de tout ce qui est russe (langue, culture et peuple).
Le journaliste kazakh Alexey Borodavkin a aussi été cité dans l'article en décrivant les Russes de fascistes, de nazis et de cannibales et en prevenant le dictateur sanguinaire Poutine contre toute tentative d'invasion russe du Kazakhstan en disant que les soldats russes seraient tous tués. Le journaliste kazakh Alexey Borodavkin a aussi exprimé son souhait de voir l'effondrement de la Russie pourrie (voir vidéo 2).
Le journaliste kazakh Alexey Borodavkin a aussi souligné que le dictateur néo-nazi Poutine n'a réussi qu'une chose : faire exploser la russophobie.
En décidant de lancer son invasion barbare et génocidaire russe de l'Ukraine, le dictateur terroriste et néo-nazi Poutine a notamment voulu renforcer le monde russe et reconstituer l'empire russe. Mais c'est le contraire qui s'est passé : non seulement la majorité des Ukrainiens détestent désormais la Russie, la langue russe et le peuple russe, mais en plus, la majorité des pays de l'ex URSS détestent désormais tout ce qui est russe. D'ailleurs, plusieurs pays de l'ex URSS ont détruit plusieurs monuments historiques en hommage à l'URSS depuis l'invasion barbare russe de l'Ukraine (voir vidéo 1).
La Russie est devenue tellement toxique dans les pays de l'ex URSS à cause du dictateur sanguinaire Poutine, que parler la langue russe dans certains pays de l'ex URSS est perçu comme un signe de trahison.
Le quotidien anglais The Guardian a publié le samedi un article sur le sujet sous le titre : In Ukraine, I saw the greatest threat to the Russian world isn’t the west – it’s Putin.
L'article a rapporté les témoignages de citoyens de plusieurs pays de l'ex URSS et ils ont tous un point commun : le rejet de la Russie et de tout ce qui est russe (langue, culture et peuple).
Le journaliste kazakh Alexey Borodavkin a aussi été cité dans l'article en décrivant les Russes de fascistes, de nazis et de cannibales et en prevenant le dictateur sanguinaire Poutine contre toute tentative d'invasion russe du Kazakhstan en disant que les soldats russes seraient tous tués. Le journaliste kazakh Alexey Borodavkin a aussi exprimé son souhait de voir l'effondrement de la Russie pourrie (voir vidéo 2).
Le journaliste kazakh Alexey Borodavkin a aussi souligné que le dictateur néo-nazi Poutine n'a réussi qu'une chose : faire exploser la russophobie.
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