la violation de la convention sur Exploitation commune de Gara-Djebilet a rendu complétement caduque le traité frontalier entre l’Algérie et le Maroc.
en 1972, les deux chefs d'Etat, Boumedienne et Hassan II ont signé un traité frontalier , ce dernier n'a pas de statut légal, car il n'a pas été ratifié par le parlement marocain et n'a donc pas été enregistré auprès des Nations unies.
jusqu’à aujourd'hui, il n'est toujours pas appliqué sur le terrain , les frontières terrestres entre les deux pays sont indéfinies et souffre du vide un vide juridique.
depuis 1994, date à laquelle la frontière terrestre a été officiellement fermée. Des épisodes critiques, bien que contrôlés, se produisent régulièrement impliquant les habitants des villages frontaliers traversés par de véritables convois de contrebandiers. La situation s'est encore tendue, nIl y a un peu moins de deux ans, les habitants de Figuig, , ont fait l'objet de contrôles et d'expulsions de la part de l'algerie, pendant plus d'un mois une tension a été générée , ce qui aurait pu provoqué un mini conflit armé, jusqu'à ce que la situation revienne à la normale.
Cependant ,c'est surtout la convention dans le traité frontalier entre l'algerie et le Maroc en 1972 sur l'exploitation du gisement de minerai de fer de Gara-Djebilet qui se trouve dans la région de tindouf ,qui a continué a maintenir en vie le dit traité, elle fait l'objet d'une exploitation commune maroco-algérienne par l'intermédiaire d'une société mixte, constituée avec des organismes publics des deux pays.
l’annonce dernièrement de l'amorce de l'exploitation du dit gisement par un consortium chinois sous autorisation a donc bien porté le coup de grâce au traité frontalier signé entre l’Algérie et le Maroc en 1972
en 1972, les deux chefs d'Etat, Boumedienne et Hassan II ont signé un traité frontalier , ce dernier n'a pas de statut légal, car il n'a pas été ratifié par le parlement marocain et n'a donc pas été enregistré auprès des Nations unies.
jusqu’à aujourd'hui, il n'est toujours pas appliqué sur le terrain , les frontières terrestres entre les deux pays sont indéfinies et souffre du vide un vide juridique.
depuis 1994, date à laquelle la frontière terrestre a été officiellement fermée. Des épisodes critiques, bien que contrôlés, se produisent régulièrement impliquant les habitants des villages frontaliers traversés par de véritables convois de contrebandiers. La situation s'est encore tendue, nIl y a un peu moins de deux ans, les habitants de Figuig, , ont fait l'objet de contrôles et d'expulsions de la part de l'algerie, pendant plus d'un mois une tension a été générée , ce qui aurait pu provoqué un mini conflit armé, jusqu'à ce que la situation revienne à la normale.
Cependant ,c'est surtout la convention dans le traité frontalier entre l'algerie et le Maroc en 1972 sur l'exploitation du gisement de minerai de fer de Gara-Djebilet qui se trouve dans la région de tindouf ,qui a continué a maintenir en vie le dit traité, elle fait l'objet d'une exploitation commune maroco-algérienne par l'intermédiaire d'une société mixte, constituée avec des organismes publics des deux pays.
l’annonce dernièrement de l'amorce de l'exploitation du dit gisement par un consortium chinois sous autorisation a donc bien porté le coup de grâce au traité frontalier signé entre l’Algérie et le Maroc en 1972
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