Le Maroc avait menacé p, par l'intermédiaire de son ambassadeur aux Nations Unies, Omar Hilal, qu'il pourrait être contraint de reprendre le contrôle des terres à l'est du mur défensif dans le désert, si les harkis continuaient d'imposer des obstacles à certains des sites de la mission MINURSO.
des éléments armés de la milice séparatiste des harkis embrigadée par l'algérie ont empêché un convoi de véhicules de la Mission des Nations Unies dans le désert, MINURSO, d'atteindre les sites de la mission situés à l'est du mur de Sahara marocain.
La mission de la MINURSO, partie en début de semaine dernière, est rentrée dans la ville de Smara, au sud du Maroc.
Yabiladi a cité une source officielle disant : « Les Casques bleus n'ont pas pu accomplir leur mission. Des éléments armés du Polisario leur ont refusé l'accès à la zone et ils ont dû rebrousser chemin.
La source a confirmé que la mission de la MINURSO avait préparé un rapport sur cet incident afin de le remettre au Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres.
Ce nouvel incident a poussé les États-Unis à intervenir.
mais voilà qu'après la rencontre du 23 mars entre Belani, et l'ambassadrice us en algérie, la situation a changé, et les harkis ont donné le feu vert à la mission pour rejoindre ses positions derrière le mur.
Dans la balance avec une forte probabilité de l'intention du Maroc d'intervenir pour sécuriser la partie du Sahara a l'est du mur jusqu'a la frontière dz.
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