Il est absolument exact que le sémitisme et le sionisme sont totalement antagonistes et, ce faisant il est totalement légitime d'être opposé au sionisme.
- L’écrivain et saxophoniste israélien Gilad Atzmon a déclaré : « Les nazis m’ont fait peur d’être juif, et les Israéliens me font honte d’être juif. » Cette phrase est particulièrement pertinente aujourd’hui que le régime israélien est en train de perpétrer un génocide « au nom du peuple juif ». Une catastrophe que nous ne pouvons tolérer parce que ni la cause palestinienne n’est une question religieuse, ni parce qu’Israël ne représente pas les Juifs du monde.
Le sionisme est une idéologie suprématiste née il y a plus d’un siècle dont la principale revendication politique est la création d’un État juif pour « le peuple élu », même si cela implique l’élimination physique des communautés autochtones de la région.
C’est la matrice idéologique qui façonne l’actuel gouvernement israélien et qui instrumentalise vilement le judaïsme pour camoufler ses désirs expansionnistes, en essayant de justifier sa politique de nettoyage ethnique et d’apartheid, qui n’a pas commencé le 7 octobre mais il y a plus d’un siècle, comme une sorte de dessein divin.
Une stratégie très efficace, car en agitant le spectre de l’antisémitisme et en appelant au respect religieux, ils cherchent à faire taire toute voix critique.
Manu Pineda in L'Indépendant.es (extraits)
- L’écrivain et saxophoniste israélien Gilad Atzmon a déclaré : « Les nazis m’ont fait peur d’être juif, et les Israéliens me font honte d’être juif. » Cette phrase est particulièrement pertinente aujourd’hui que le régime israélien est en train de perpétrer un génocide « au nom du peuple juif ». Une catastrophe que nous ne pouvons tolérer parce que ni la cause palestinienne n’est une question religieuse, ni parce qu’Israël ne représente pas les Juifs du monde.
Le sionisme est une idéologie suprématiste née il y a plus d’un siècle dont la principale revendication politique est la création d’un État juif pour « le peuple élu », même si cela implique l’élimination physique des communautés autochtones de la région.
C’est la matrice idéologique qui façonne l’actuel gouvernement israélien et qui instrumentalise vilement le judaïsme pour camoufler ses désirs expansionnistes, en essayant de justifier sa politique de nettoyage ethnique et d’apartheid, qui n’a pas commencé le 7 octobre mais il y a plus d’un siècle, comme une sorte de dessein divin.
Une stratégie très efficace, car en agitant le spectre de l’antisémitisme et en appelant au respect religieux, ils cherchent à faire taire toute voix critique.
Manu Pineda in L'Indépendant.es (extraits)
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