Tant qu'il n'y a as de bruits de bottes, c'est as très grave. Cependant, pour ma part, je crains une agression marocaine de l'Algérie comme les FARces- en 2002- avaient agressé l'Espagne à l'ilot à chèvres ibérique de Persil.
A votre avis?
- La rivalité entre Rabat et Alger s’intensifie depuis des années. Mais il y a des risques croissants que la concurrence politique et économique entre les deux voisins nord-africains s’accélère dans des directions nouvelles et plus difficiles, estime le think tank basé à Washington ´The Middle East Institute’ (MEI) .
La principale question sous-jacente au différend n’est pas nouvelle. Le Maroc affirme depuis longtemps que le Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole, fait partie de son propre territoire. Rabat a fait de l’obtention de la reconnaissance internationale de sa souveraineté sur le territoire son principal objectif diplomatique. L’Algérie, en revanche, a continué à soutenir le Front Polisario, qui s’est battu pour l’indépendance de ce qu’elle appelle la République arabe sahraouie depuis le début des années 1970.
Les dangers croissants découlent d’une confluence de facteurs. Tout d’abord, l’accumulation militaire des deux côtés a continué à faire monter les tensions.
Deuxièmement, l’affirmation diplomatique croissante de l’Algérie augmentera sa voix dans les affaires internationales.
Troisièmement, sur le terrain, la volonté du Maroc d’utiliser des frappes de drones pour éliminer les membres du Front Polisario a le potentiel de précipiter une escalade, selon le think tank américain.
Le conflit continue de dégrader les relations entre Rabat et Alger
Bien que le désaccord soit centré sur la question de savoir comment résoudre un différend territorial – qui est la clé de l’idée du Maroc lui-même, mais aussi en partie de la légitimité de sa monarchie -, ce désaccord a empoisonné les relations entre les deux pays dans la plupart des autres régions, ajoute la même source.
Au fil des ans, la portée du désaccord s’est élargie, réduisant la coopération bilatérale. Après une escarmouche avec les forces marocaines au poste frontalier de Guerguerat – qui relie le Sahara occidental contrôlé par le Maroc à la Mauritanie et est régulièrement utilisé pour transporter les exportations du royaume vers l’Afrique de l’Ouest – en novembre 2020, le Front Polisario a mis fin unilatéralement à un accord de cessez-le-feu supervisé par les Nations Unies qui avait duré près de 30 ans. Depuis lors, les forces marocaines et les combattants Polisario ont régulièrement échangé des tirs d’artillerie.
Article19.ma (extraits)
A suivre
A votre avis?
- La rivalité entre Rabat et Alger s’intensifie depuis des années. Mais il y a des risques croissants que la concurrence politique et économique entre les deux voisins nord-africains s’accélère dans des directions nouvelles et plus difficiles, estime le think tank basé à Washington ´The Middle East Institute’ (MEI) .
La principale question sous-jacente au différend n’est pas nouvelle. Le Maroc affirme depuis longtemps que le Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole, fait partie de son propre territoire. Rabat a fait de l’obtention de la reconnaissance internationale de sa souveraineté sur le territoire son principal objectif diplomatique. L’Algérie, en revanche, a continué à soutenir le Front Polisario, qui s’est battu pour l’indépendance de ce qu’elle appelle la République arabe sahraouie depuis le début des années 1970.
Les dangers croissants découlent d’une confluence de facteurs. Tout d’abord, l’accumulation militaire des deux côtés a continué à faire monter les tensions.
Deuxièmement, l’affirmation diplomatique croissante de l’Algérie augmentera sa voix dans les affaires internationales.
Troisièmement, sur le terrain, la volonté du Maroc d’utiliser des frappes de drones pour éliminer les membres du Front Polisario a le potentiel de précipiter une escalade, selon le think tank américain.
Le conflit continue de dégrader les relations entre Rabat et Alger
Bien que le désaccord soit centré sur la question de savoir comment résoudre un différend territorial – qui est la clé de l’idée du Maroc lui-même, mais aussi en partie de la légitimité de sa monarchie -, ce désaccord a empoisonné les relations entre les deux pays dans la plupart des autres régions, ajoute la même source.
Au fil des ans, la portée du désaccord s’est élargie, réduisant la coopération bilatérale. Après une escarmouche avec les forces marocaines au poste frontalier de Guerguerat – qui relie le Sahara occidental contrôlé par le Maroc à la Mauritanie et est régulièrement utilisé pour transporter les exportations du royaume vers l’Afrique de l’Ouest – en novembre 2020, le Front Polisario a mis fin unilatéralement à un accord de cessez-le-feu supervisé par les Nations Unies qui avait duré près de 30 ans. Depuis lors, les forces marocaines et les combattants Polisario ont régulièrement échangé des tirs d’artillerie.
Article19.ma (extraits)
A suivre