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Une offensive de l’armée malienne et de paramilitaires russes a viré au fiasco dans le nord du Mali
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Quand la propagande et l'endoctrinement de l'Est convaint ses concitoyens que la bicylette a été inventée du temps de l'empire chérifien, il faut fermer boutique et mettre les clés sous la porte et ériger une statue pour la Cigogne Martyre.
Et ce n'est pas une insulte
Voila ce que tu ne pourras jamais nous montrer, ni en termes d'état, ni en terme de civilisation endogène, ni en terme de conquête, ni en terme d'aura international...
Dernière modification par ayoub7, 29 juillet 2024, 12h11.
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ce qui se passe au mali concerne les maliens, c'est une guerre civile inter malienne qui dure depuis l'indépendance du mali entre le nord dissident et Bamako .
l'algérie a toujours soutenu les maliens dans leurs efforts d'une solution politique afin d'apaiser les tensions , mais comme la junte au pouvoir a déchiré souverainement les accords d'Alger et préféré écouter les sirénes des va t'en guerre , l'Algérie n'est plus concernée par ce qui se passe labas.ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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Le nord du Mali a longtemps été un terrain de jeu pour Alger, qui pensait répéter le meme scenario que le Polisario afin d'affaiblir son voisin du Sud. Seulement voila, les Russes, supposé unique allié d'Alger géopolitiquement, ont rappliqué et se sont mis du cote du Mali.
Et là, on arrive au point ou les interets des uns et des autres rentrent en collision frontale.
Le role de l'Algerie est connu et a été longuement discuté sur ce forum a plusieurs reprises...
Dire que ce qui se passe au nord du mali est du ressort des maliens et que l'algerie n'a rien a voir dedans, c'est prendre les maliens pour des c... comme vous pensez prendre les marocains pour des c... avec la "neutralité" sur le Sahara.
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Le nord du Mali a longtemps été un terrain de jeu pour Alger, qui pensait répéter le meme scenario que le Polisario afin d'affaiblir son voisin du Sud. Seulement voila, les Russes, supposé unique allié d'Alger géopolitiquement, ont rappliqué et se sont mis du cote du Mali.
l'accord d'Alger soutenu et par le conseil de sécurité et par les américains est venu justement pour empêcher une dislocation de l'Etat Malien ,notamment aprés l'offensive des groupes de l'azawad suite à la chute de la Libye .
ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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"Ils ne comprennent RIEN ces makhzanis."
Tu parles à des gens qui ne savent même pas diviser un chiffre par 10...
Sans Mama França qui leur rattaché le Rif et le Souss , et qui les soutiens sans limites pour le Sahara Occidental occupé, leur pays ne serait pas plus grand que la Wilaya d'Oran
Les Accords d'Alger ont été signés sous l'égide de l'ONU et l'Union Africaine.
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Il y a de nouvelles images qui sont sortis...et elles sont d'une humiliation incroyable pour les Russes et les Maliens (il semble que le chef de Wagner au Mali ait été tué)
Les Russes vont certainement demandés l'appui des Algériens pour faire libérer leurs compatriotes capturés.
Goita ne va pas tarder à sauter ..
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bof, un tissu d'âneries pour analphabêtes .
Lassant de devoir toujours instruire les analphabètes, à partir de leurs propres sources.
Ressortons les Khouchaybates.
Assises politiques maliennes : le jeu fourbe d'Alger
A quel jeu fourbe se prête Alger dans le traitement de la crise malienne? Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, vient d'annoncer dimanche une rencontre avec "toutes les parties concernées entre Maliens" au Mali que celles-ci "soient au nord ou au sud, rebelles ou au pouvoir" relevant que "si une des parties concernées demandait à discuter avec l’Algérie pour impulser la solution politique et le dialogue, l’Algérie est ouverte au dialogue avec les frères maliens depuis 20 ans". Que signifie ce revirement spectaculaire pour un dialogue de "foire d’empoigne" au moment où Alger semblait donner des signes favorables à l'intervention armée, même si l'option du dialogue restait de mise. Mourad Medelci en annonçant cette rencontre au Mali veut-il parler des assises sur les concertations nationales maliennes prévues initialement au Mali du 26 au 28 décembre 2012 et reportées début décembre du 10 au 12. Ces assises, qui portent sur la crise politique de Bamako, devraient se prononcer sur le maintien ou non des institutions constitutionnelles actuelles et la création d'un Haut comité d'Etat doté de pouvoirs consultatifs et dirigé par le président de la transition, secondé par un militaire et un civil. Régler la crise constitutionnelle, tel est l'objectif principal de ces assises sur lesquelles, selon les observateurs, pèse d'ores et déjà, les vélleités d'une reprise des armes de la junte militaire, par la confrontation entre pro-putsch et anti-putsch ?
A quel rôle malsain s'apprêterait Alger en s'immisçant dans la tenue de ces assises ? Abdelaziz Bouteflika n’hésiterait pas à soutenir le retour de la junte militaire au Mali qui serait ainsi confortée de ne plus se voir cantonnée dans les casernes et, en même temps, soustraite d’une intervention militaire qui lui ferait de l’ombre avec les contingents des troupes ouest africaines qui stationneraient à Bamako. Et pas seulement. Un retour de la junte militaire au Mali conforterait Alger puisque les puissances occidentales, la France et Washington, assortissent leur appui logistique à l’intervention armée, par la nécessité impérieuse que celle-ci soit légitimée et soutenue par des institutions démocratiquement élues ou, du moins, par des institutions de transition issues d'une Coalition à prérogatives constitutionnelles. Ce qui contrarie, dans un continent sujet à des coups d’Etat militaire, l’option d’une "solution politique négociée" dans une situation politique en crise que cherche, par ces assises mêmes, à régler Bamako, en vue de donner une crédibilité politique par l’installation d’un Haut comité d’Etat qui se chargerait de régler les conflits politiques internes et de mener l’intervention à son terme.
Dans un entretien à TSA , samedi 24 novembre, Tiébilé Dramé, Premier vice-président de la Coalition pour le Mali qui soutient l'intervention armée au Nord-Mali, considère que le report de ces assises est "une sage décision" dans la mesure où "une bonne partie de la classe politique et des forces vives n’y auraient pas participé. Les conclusions auraient conduit à la division du pays. On ne va pas faire des assises pour approfondir ces divisions. Le Mali donne de lui?même au monde l’image d’un pays divisé alors qu’il y a une mobilisation extraordinaire autour du Mali, l’image d’un pays qui ne prend pas la mesure de la gravité de la situation." S'exprimant sur le rapport qu'il y aurait entre ces assises et les négociations avec le MNLA et Ansar Eddine pour lesquelles Alger est en ligne, le Vice-président de la Coalition malienne écarte toute participation de ces deux groupes, encore moins d'officiels d'Alger : "Il n’était pas prévu qu’ils participent. Ils ne figuraient pas sur la liste des participants et je n’ai entendu personne au Mali dire qu’il faut les inviter. En fait, le président avait proposé que les assises mettent en place une Commission nationale de négociations avec le MNLA et Ansar Dine. Et je pense qu’avant les négociations, le Mali doit mettre en place une structure de gestion de la crise au nord."
Pour Tiébilé Dramé "La majorité des Maliens sont pour l’intervention militaire. Plus grave, on sent une radicalisation de l’opinion vis?à?vis du MNLA et d’Ansar Dine. La classe politique et la société civile malienne sont favorables à une intervention militaire pour permettre au Mali de se libérer des groupes armés étrangers. Je pense que l’assistance militaire et diplomatique étrangère doit permettre au Mali d’exercer sa souveraineté sur chaque centimètre carré du territoire malien. Nous avons œuvré pour que la communauté internationale adopte cette résolution. Nous avons fait du lobbying pour obtenir la résolution 2071 du Conseil de sécurité de l’ONU."
L'Algérie, en menant des négociations avec ces deux groupes, veut-elle bloquer l'intervention? A cette question, le chef de la Coalition répond sans mâcher ses propos : "L’Algérie doit sortir des ambigüités dans la gestion de la présente crise. Il faut éviter que les négociations apparaissent aux yeux des Maliens comme des manœuvres dilatoires pour empêcher l’action militaire. Tous les gens au Mali se demandent si l’Algérie souhaite réellement que l’État malien exerce sa souveraineté dans le nord. Il faut que les Algériens sachent qu’il y a beaucoup de récriminations dans ce pays vis?à?vis de l’Algérie. Ce n’était pas le cas il y a quelques mois. Elle doit dissiper vraiment les malentendus. L’Algérie devrait être claire et ferme en ce qui concerne la souveraineté et l’intégrité du Mali. Les divers accords de paix signés sous l’égide de l’Algérie en 1991, en 1992 et en 2006 ont un dénominateur commun : l’allègement du dispositif sécuritaire, le cantonnement des troupes. La mise en application de ces accords a créé un vide au nord du Mali et des zones grises où l’État n’existait plus. Ça a commencé avec les trafiquants de cigarettes, les trafiquants de drogue et puis l’installation du GSPC et d’Aqmi. Ce que le Mali a accepté sous médiation algérienne, l’Algérie ne l’acceptera jamais. Elle n’acceptera jamais de renoncer à exercer son autorité militaire sur une région de son territoire. À ce qu’il n’y ait pas de militaires à Tamanrasset, à Reggane."
Ainsi tout le martèlement médiatique d'Alger sur la souveraineté et l'intégrité du Mali ne serait qu'une "manoeuvre dilatoire" dans la mesure où les premières négociations menées avec Ansar Eddine en juin dernier par Abdelaziz Bouteflika ont été faites sans en référer à Bamako.
Les propos du vice-président de la Coalition sont clairs. Les assises sur la crise politique malienne pour aboutir à la formation d'un Haut Comité d'Etat avec des prérogatives constitutionnelles, ne concerne nullement le dialogue au Nord-Mali et, de ce fait, Alger n'est pas invité à ces assises. Dans la mise au point faite par le ministère des Affaires étrangères algérien aux propos de Tiébilé Dramé, Alger semble détourner, corrompre la tenue de ces assises qu'il veut transformer en tribune de son "option politique négociée": "Il est attendu de la tenue des assises nationales de doter le pays d’une feuille de route comportant un échéancier électoral et de mettre sur pied la structure nationale chargée d’engager un dialogue inclusif avec les représentants des populations du nord du Mali qui renoncent, sans ambiguïté, au terrorisme et au séparatisme et qui ont des revendications légitimes à faire valoir par des moyens exclusivement pacifiques".
Or, pour le responsable de la Coalition malienne, la tenue de ces assises politiques conforte la décision de l'intervention au Nord-Mali par la création d'une structure de gestion chargée d'en suivre l'évolution. En annonçant ces assises comme devant permettre un dialogue avec "toutes les parties" en conflit, Mourad Medelci sème encore et toujours le trouble dans les choix politiques du Mali qui contrarie en vérité le dialogue d'Alger. En définitive, Alger ne veut pas de ces assises de la Coalition malienne.
R. N.
Le Matin d'Algérie
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C'est bon ou je continue la leçon?
Le double jeu d'Alger face à la crise au Sahel
France 24
Le gouvernement algérien a géré la prise d’otages sur le site gazier d’In Amenas en optant pour la manière forte. Une ligne dure qui tranche avec la stratégie de dialogue adoptée jusqu’alors par Alger dans la crise au Sahel. Décryptage.
Par :Charlotte BOITIAUX
En attaquant, mercredi 16 janvier, un complexe gazier à In Amenas, dans le sud-est algérien, les djihadistes de Mokhtar Belmokhtar - un groupe dissident d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) - ont précipité, malgré elle, l’Algérie en première ligne dans la crise malienne.
"Ce coup porté [à In Amenas] est une épreuve politique très grave pour le pays", affirme ainsi Benjamin Stora, spécialiste de l'Algérie et professeur à l'université Paris-XIII, à FRANCE 24. Une grave épreuve, en effet, car jamais les islamistes n’avaient jusqu'ici réussi à s’emparer d’une installation pétrogazière algérienne, même pendant la guerre civile (1991-2001).
La réponse algérienne a donc été brutale. L’intervention des forces spéciales sur le site s’est soldée par un bain de sang. Une méthode dure qui n’étonne pas Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique. "L’Algérie a toujours adopté une ligne qui consiste à dire qu’elle ne négocie en aucun cas avec les preneurs d’otages, souligne-t-il dans une interview à Atlantico. L’Algérie est partisane de la manière forte et choisit d’intervenir systématiquement en dépit du coût humain que cela provoque."
Jacobinisme algérien
Un avis partagé par Ahmed Rouadjia, docteur en histoire et en sociologie politique. "L’intransigeance qui caractérise le gouvernement algérien procède d’une sorte de culture jacobine (…) à la manière de Robespierre (…) qui n’admet ni contradiction, ni contradicteur. Une posture qui répugne au dialogue", analyse l’expert dans une interview dans le même journal Atlantico.
Il est vrai que, depuis la décennie noire qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts, Alger n’a jamais "dialogué" avec les terroristes. Même sous la récente pression des Britanniques et des Japonais qui ont appelé les autorités algériennes à mettre un terme "immédiat" à leur assaut contre le site gazier, jeudi.
Attentisme algérien
Pourtant, jusqu’à la prise d'otages d'In Amenas, la position algérienne face à la crise au Sahel était toute autre. L’Algérie a, jusque là, toujours prôné un "règlement politique" du conflit malien. Autrement dit plus diplomatique. "Le gouvernement de Bouteflika n’a jamais voulu s’impliquer dans la crise au Sahel, il voulait garder sa position attentiste", explique Jean-Yves Moisseron, chercheur à l’Institut de recherche pour le développement (IRD), interrogé par FRANCE 24. Longtemps, Alger a donc joué la carte de la prudence, souvent incomprise par la communauté internationale. Pourquoi le pays le plus riche et le mieux armé de la région n’agit-il pas pour aider ses voisins à repousser l’offensive islamiste ?
L'Algérie a toujours craint d’être entraînée dans un bourbier saharien - un "Sahelistan" - alors qu'elle peine déjà à combattre les islamistes implantés sur son territoire, principalement en Kabylie. "Si l’Algérie n’a pas réussi à éradiquer le terrorisme sur son propre sol durant les deux dernières décennies, comment pourrait-elle y parvenir dans la région ?", peut-on lire dans le rapport de février 2012 du Centre d’études stratégiques de l’Afrique (Cesa), un think-tank basé à Washington. À ce titre, Alger a longtemps tenté de négocier avec le mouvement touareg islamiste Ansar Dine. "Son chef, le Touareg Iyad Ag Ghali, a souvent été un interlocuteur de l’Algérie. Il [était] d’ailleurs surnommé dans la région 'l’homme des Algériens’", expliquait en octobre dernier Mathieu Guidère, spécialiste de l’islam radical, à FRANCE 24.
"Une attitude difficile à décrypter"
Pour Pierre Boilley, responsable du Centre d’études des mondes africains (Cemaf), la "retenue" algérienne dans le dossier malien est également liée à l’histoire passionnelle entre l’Algérie et AQMI.
D’une part, "Aqmi est un monstre créé par l’Algérie car le groupe est constitué d’anciens membres du Groupe islamique armé [le GIA, impliqué dans la guerre civile des années 1990, NDLR]". Mokhtar Belmokhtar, qui a commandité la prise d’otages, est d’ailleurs un Algérien et un ancien chef d’Aqmi (qui a pris ses distances avec la nébuleuse terroriste en décembre 2012). D’autre part, Alger est suspecté d’entretenir des liens avec Aqmi dans le nord du Mali, théâtre d’importants trafics d’armes et de drogues.
Le double jeu d’Alger face au terrorisme brouille donc les cartes sur l’échiquier sahélien. "L’attitude d’Alger est parfois un peu difficile à décrypter. Il y a eu un état-major commun [entre le Niger, le Mali, la Mauritanie et l'Algérie en 2010, NDLR] mais qui a fait peu de choses en vérité", a récemment confié Alain Juppé, ancien ministre français des Affaires étrangères, sur FRANCE 24. Reste à savoir désormais si l’attaque d’In Amenas est de nature à changer la donne...
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l'Empereur Chérifien en question :
Pour nier cet état de fait sur l'empire chérifien qui date de plusieurs siècles avant la pénétration français en Afrique du nord ou l''ex province ottomane en fût la porte royale d'entrée du colonialisme français
Il nous sert une photo d'un sultan avec une bicyclette comme guise de preuve de leur réécriture de l'histoire car l'histoire du Maroc fait de l'ombre là où il y a des longues pages blanche dans l'histoire de l'Algérie .
Au lieu de l'assumer,
Vous en faite un Complexe
Et
En guise d'excuse,
Une insulteDernière modification par manneke, 29 juillet 2024, 13h44.
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hakimcasa
xenon le couple sur la photo que tu as posté n'est pas algérien mais turc ottoman (des colons).
Nb: j'ai une photo du frére au grand pére allah irahmou, qui date des années 30 habillé de la même maniére , veston en broderies d'or, chéchia ,,pantalon seroual algérien..etc, la grande classe ,beaucoup et de loin mieux habillé et plus citadin que votre "empereur"...
par contre, oui, la photo que tu as posté sont également des algériens , Qachabiiya , burnous ..etc ,font aussi partie du vaste et riche patrimoine des DZ..Dernière modification par xenon, 29 juillet 2024, 13h53.ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
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L'espagne a cédé des regions au maroc sans passer par la case autodetermination. La region de sidi ifni, le Rif aussi veulent quitter le maroc.
L'autodetermination des peuples nous sommes pour.
Le jour où tu verras les Marocains voter oui dans un référendum pour donner le référendum clés en main a votre junte comme de Gaulle l'a donné aux français,
Alors tu pourras nous sortir ce genre d'inepties.
En attendant,
Les espagnoles ont été éjecté de tout le sud du Maroc
De Ifni au Sahara en passant par Tarfaya
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