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2024/12/14
Le Makhzen nourrit un maladif complexe vis-à-vis de son voisin algérien. Protectorat français grimé sous forme d’un royaume prétendument indépendant, mais de création très récente, grâce à la généreuse condescendance du maréchal Hubert Lyautey, il cherche par tous les moyens à accaparer et à nous disputer nos riches et nombreux acquis culturels et historiques.
A ce titre la cheffe Charazad est régulièrement prise pour cible par ses centaines de mouches électroniques à cause de ses recettes de cuisine et créations vestimentaires authentiquement algérienne. Ces mouches, téléguidées et financées par le sulfureux tandem Mansouri-Hammouchi, repectivements chefs de la DGED et de la DST-DGSN, cherchent à mobiliser des Baltaguiya payés par l’argent sale de la drogue afin de tenter perturber une exposition programmée par la cheffe Charazad à Paris, Porte de Versailles. Les Algériens de France, à la fibre patriotique exacerbée, grâce à notre héroïque histoire, que nous envient et nous jalousent nos voisins de l’ouest, se mobilisent à leur tour pour venir au secours de notre youtubeuse.
Les barbouzes marocains, corrompus par le Makhzen, se livrent très souvent à des actes violents pour perturber ou parasiter bon nombre d’activités menées par l’Algérie pu bien des militants du front Polisario. Le dernier grand incident en date, dont nous avions rendu compte, photos et vidéos à l’appui, avait consisté à perturber le déroulement du conseil municipal de la commune d’Ivry-sur-Seine, ce qui avait nécessité l’intervention des forces de l’ordre.
Les meneurs de ces attaques infâmes ont été identifiés par la suite comme étant des agents des services secrets marocains. Cette commune, qui a été soutenue par sa voisine Vitry-sur-Seine, est la commune de résidence de la grande militante Claude Mangin, épouse du prisonnier politique Naama Asfari, fait « citoyen d’honneur d’icelle. Ces pathétiques marocaines sont la traduction du désespoir du Makhzen face aux nombreux échecs diplomatiques, médiatiques, judicaires et juridiques.
lapatrienews
Le Makhzen nourrit un maladif complexe vis-à-vis de son voisin algérien. Protectorat français grimé sous forme d’un royaume prétendument indépendant, mais de création très récente, grâce à la généreuse condescendance du maréchal Hubert Lyautey, il cherche par tous les moyens à accaparer et à nous disputer nos riches et nombreux acquis culturels et historiques.
A ce titre la cheffe Charazad est régulièrement prise pour cible par ses centaines de mouches électroniques à cause de ses recettes de cuisine et créations vestimentaires authentiquement algérienne. Ces mouches, téléguidées et financées par le sulfureux tandem Mansouri-Hammouchi, repectivements chefs de la DGED et de la DST-DGSN, cherchent à mobiliser des Baltaguiya payés par l’argent sale de la drogue afin de tenter perturber une exposition programmée par la cheffe Charazad à Paris, Porte de Versailles. Les Algériens de France, à la fibre patriotique exacerbée, grâce à notre héroïque histoire, que nous envient et nous jalousent nos voisins de l’ouest, se mobilisent à leur tour pour venir au secours de notre youtubeuse.
Les barbouzes marocains, corrompus par le Makhzen, se livrent très souvent à des actes violents pour perturber ou parasiter bon nombre d’activités menées par l’Algérie pu bien des militants du front Polisario. Le dernier grand incident en date, dont nous avions rendu compte, photos et vidéos à l’appui, avait consisté à perturber le déroulement du conseil municipal de la commune d’Ivry-sur-Seine, ce qui avait nécessité l’intervention des forces de l’ordre.
Les meneurs de ces attaques infâmes ont été identifiés par la suite comme étant des agents des services secrets marocains. Cette commune, qui a été soutenue par sa voisine Vitry-sur-Seine, est la commune de résidence de la grande militante Claude Mangin, épouse du prisonnier politique Naama Asfari, fait « citoyen d’honneur d’icelle. Ces pathétiques marocaines sont la traduction du désespoir du Makhzen face aux nombreux échecs diplomatiques, médiatiques, judicaires et juridiques.
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