Mais que dire d'un bébé marocain de quelques mois candidat à l'exil? N'est-ce pas là la preuve d'une faillite de la dictature marocaine?
Donc retour au constat indéniable: Maroc: pourquoi partent-ils tous?
- Le Maroc, terre de soleil, de traditions et d’histoire millénaire, pleure ses enfants tombés dans les ténèbres. Littéralement. Les drames se répètent, les puits avalent les plus jeunes, les plus innocents, et les réponses officielles se font attendre ou se noient dans un flot de promesses creuses. Le souvenir douloureux de Rayan, ce petit garçon de 5 ans décédé au fond d’un puits en février 2022, aurait dû constituer un électrochoc national. Il n’en fut rien. Deux ans plus tard, l’histoire se répète, presque à l’identique, et le silence du roi Mohammed VI, souverain au pouvoir absolu, est devenu aussi assourdissant qu’absent.
(...).
Mohammed VI et ses propres priorités
Alors que fait le roi Mohammed VI ? Où est le souverain lorsque les enfants de son peuple meurent dans des conditions aussi évitables ? Son silence n’est pas une absence fortuite. Il est le symbole d’un désengagement profond envers les priorités sociales du pays. Ce même roi, prompt à parader dans ses palais, à signer des contrats d’armement de plusieurs milliards de dirhams, reste invisible quand il s’agit de mettre en place des infrastructures de base dans les zones rurales. Il est toujours plus aisé de bomber le torse face à l’Algérie voisine que de se pencher sur les réalités accablantes de son propre peuple.
Afrik.com (extraits)
Donc retour au constat indéniable: Maroc: pourquoi partent-ils tous?
- Le Maroc, terre de soleil, de traditions et d’histoire millénaire, pleure ses enfants tombés dans les ténèbres. Littéralement. Les drames se répètent, les puits avalent les plus jeunes, les plus innocents, et les réponses officielles se font attendre ou se noient dans un flot de promesses creuses. Le souvenir douloureux de Rayan, ce petit garçon de 5 ans décédé au fond d’un puits en février 2022, aurait dû constituer un électrochoc national. Il n’en fut rien. Deux ans plus tard, l’histoire se répète, presque à l’identique, et le silence du roi Mohammed VI, souverain au pouvoir absolu, est devenu aussi assourdissant qu’absent.
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Mohammed VI et ses propres priorités
Alors que fait le roi Mohammed VI ? Où est le souverain lorsque les enfants de son peuple meurent dans des conditions aussi évitables ? Son silence n’est pas une absence fortuite. Il est le symbole d’un désengagement profond envers les priorités sociales du pays. Ce même roi, prompt à parader dans ses palais, à signer des contrats d’armement de plusieurs milliards de dirhams, reste invisible quand il s’agit de mettre en place des infrastructures de base dans les zones rurales. Il est toujours plus aisé de bomber le torse face à l’Algérie voisine que de se pencher sur les réalités accablantes de son propre peuple.
Afrik.com (extraits)