Sébastien Lecornu a remis sa démission suite à la composition de son gouvernement. Démission acceptée par Macron.

[Magnan]

France: le Premier ministre Sébastien Lecornu a remis sa démission à Emmanuel Macron qui l'a acceptée


Le Premier ministre français Sébastien Lecornu a remis sa démission au président Emmanuel Macron qui l'a acceptée, ce lundi 6 octobre. Nommé le 9 septembre, Sébastien Lecornu était sous le feu des critiques des opposants et de la droite après avoir dévoilé, dimanche 5 octobre, une partie de son gouvernement. Il devait prononcer ce mardi sa déclaration de politique générale à l'Assemblée nationale.


Publié le : 06/10/2025 - 09:46



rfi.fr/fr/

[galaxy]

Ne pas vouloir donner le pouvoir à ceux qui ont gagner les élections législatives la gauche la France tourne en rond.

[xenon]

normalement le gouvernement doit revenir ou aux escrocs du RN ,marine ,bardel'âne..etc car c'est le parti fondé par des collabos et des pétainistes qui a eu le plus de siége ou à la NFP par ce que c'est la coalition victorieuse ..sauf qu'une partie n'a la majorité ..

[zek]

Tourner en rond, c’est comme danser au bord d’un précipice — un faux pas, et c’est la chute.

[sako]

Il va y avoir une nouvelle dissolution de ́l’assemblée..

C’est la fin de la 5ème République

[hmida]

L'Algérie est sûrement derrière cette situation.
C'est à cause des accords de 1968.

[sako]

normalement le gouvernement doit revenir ou aux escrocs du RN ,marine ,bardel'âne

Absolument

Macron doit respecter la Constitution ..et appeller Bardella ou Marine ..à la barre.

Il faut confronter ces deux clowns et ce parti de fachos..à la dure réalité du pouvoir...d’ici 2027 ils seront définitivement neutralisés.

[scipio]

Macron doit respecter la Constitution ..et appeller Bardella ou Marine ..à la barre.

La Constitution ne l'impose pas.
L'esprit de la Constitution, conçue par le Général et Michel Debré, voudrait effectivement que Jordan Bardella ou Marine Le Pen soit nommé premier Ministre si il (elle) avait un groupe majoritaire à l'Assemblée à l'Assemblée.

C'était le pari de Macron pour la dissolution de 2024 : amener le RN au pouvoir pour qu'il se brûle les ailes d'ici 2027.
Le 'Front Républicain' initié par Gabriel Attal a empêché cette victoire du RN.

En cas de nouvelle dissolution, le Front Républicain ne fonctionnera plus, LFI étant devenu un véritable repoussoir.
Dans ce cas, le RN pourrait avoir, ou approcher, la majorité absolue et accéder à Matignon.

Si la nouvelle dissolution amenait encore une Assemblée fragmentée et une France ingouvernable comme celle d'aujourd'hui, l'intérêt de la France voudrait que Macron démissionne.

[Bachi]

Je pense qu'il faut appeler à de nouvelles élections législatives et espérer un groupe majoritaire.
Sinon, faut aller aux présidentielles

[scipio]

Je pense qu'il faut appeler à de nouvelles élections législatives

Ça parait inévitable.
Et le RN sera probablement le grand gagnant, la seule question étant de savoir si il aura une majorité absolue.

[zek]

On a l’impression que cette démission, c’est juste le symptôme d’un système à l’agonie. Macron joue encore les équilibristes pendant que le pays s’enfonce dans le chaos politique. Entre un Parlement ingouvernable, une gauche éclatée et un RN qui guette son heure, on assiste à la fin de la Ve République en direct.

[zek]

Il n’y a pas seulement le chaos politique, il y a aussi le chaos économique.
En 2030, la France croulera sous 5 222 milliards d’euros de dettes, soit 159 % du PIB.
On vit à crédit comme des flambeurs, et cette fois, ce ne sont pas nos enfants qui paieront, mais nous : salaires bloqués, impôts en hausse, services publics en ruine.
Gauche, droite, même fiasco : ils gaspillent des milliards sans savoir où va l’argent, puis osent parler de “bonne gestion”.
Quand les marchés lâcheront, eux garderont leurs retraites dorées pendant que les Français ordinaires trinqueront.
Notre “État-providence” est devenu un État-mirage : tout brille en façade, tout s’écroule dedans.
Et le jour où la bulle éclatera, on verra que la “sixième puissance mondiale” n’était qu’un château de cartes.

Dette actuelle (2025) :
3 429 566 745 209 €
Déficit constant : 5,5 % du PIB/an
Croissance nominale : 2,5 %/an
Taux moyen de la dette : 3,5 %/an
Et surtout : aucune réforme dans la dépense publique, aucun courage.

[sako]

C'était le pari de Macron pour la dissolution de 2024 : amener le RN au pouvoir pour qu'il se brûle les ailes d'ici 2027.

C’est toujours d’actualité, le RN est haut dans les sondage, Macron peut dissoudre l’assemblée et appeler Bardella au gouvernement.

le RN arrivera en 2027 avec un passif et un bilan qu’il devra défendre.

[zek]

C’est toujours d’actualité, le RN est haut dans les sondage, Macron peut dissoudre l’assemblée et appeler Bardella au gouvernement.

le RN arrivera en 2027 avec un passif et un bilan qu’il devra défendre.

Franchement, le scénario le plus probable, c’est Gérard Larcher à Matignon. Le mec est président du Sénat, donc officiellement le deuxième personnage de l’État après Macron… et soyons honnêtes, ça tombe bien pour le système qui préfère les vieux routiers aux vraies idées. Et avec les Républicains qui veulent imposer leur « contrat de gouvernement », on sait déjà qui tire les ficelles.

Olivier Faure à la tête du gouvernement ? Sérieusement ? Avec le rejet du vote de confiance par les députés, l’idée qu’un socialiste devienne Premier ministre, c’est presque de la science-fiction. La gauche peut toujours rêver… et pleurer.

Quant à Jordan Bardella, le président du RN, son parti domine largement les sondages pour 2027. Mais qu’on se le dise : le voir ministre dans un gouvernement dirigé par quelqu’un d’autre ? Autant espérer voir un poisson voler.

Les présidentielles de 2027 se tiendront au printemps : premier tour mi-avril, second tour fin avril ou début mai. Et les sondages ? Le RN est en tête, Bardella et Marine Le Pen à 33‑35 %. Les autres partis peuvent déjà commencer à se gratter la tête et à inventer des plans miracles.

Au final, le système politique français semble bien plus préoccupé par les apparences que par les choix des électeurs. Et pendant ce temps-là, Macron continue de jouer les spectateurs.