Le candidat démocrate à la présidentielle américaine Barack Obama poursuit mercredi sa visite délicate en Cisjordanie et Israël.
Il s’est rapproché à cette occasion de l’Etat hébreu en affirmant qu'Israël était un "miracle" au Proche-Orient. S’il entre à la Maison Blanche, le sénateur de l’Illinois a promis d’œuvrer pour la paix. Tout en se montrant très prudent : "il n'est pas réaliste d'attendre qu'un président américain, seul, claque des doigts et apporte la paix à la région", a-t-il déclaré. Je vote :
Au cours des 60 ans (d'existence d'Israël), président Peres, vous avez été profondément impliqué dans ce miracle qui s'est produit et nous sommes extraordinairement reconnaissants, pas seulement en tant qu'Américains mais aussi en tant que citoyens du monde pour le service que vous avez rendu à votre pays" : en Israël mercredi, Barack Obama a signifié sa proximité avec l’Etat hébreu au cours d’une visite qualifiée de sensible par les observateurs. Le candidat démocrate à la présidentielle américaine a ainsi réaffirmé son "attachement constant à la sécurité d'Israël et son espoir d'être un partenaire efficace, que ce soit en tant que sénateur américain ou en tant que président, pour apporter une paix durable dans la région". Tout en se montrant très prudent.
"Il n'est pas réaliste d'attendre qu'un président américain, seul, claque des doigts et apporte la paix à la région" avait déclaré en Jordanie Barack Obama. Selon lui, sa visite en Israël est l’occasion de prendre le pouls de la région. "Je veux des informations et connaître les opinions des dirigeants israéliens, comment voient-ils la situation actuelle. Je veux partager certaines de mes idées", a-t-il insisté.
Sur le fond, le sénateur de l’Illinois, conseillé pour les questions au Proche-Orient par l'ancien envoyé spécial de Bill Clinton pour la région Denis Ross, s’est dit en faveur de deux Etats israélien et palestinien qui vivraient en paix et en voisins. Mais il avait provoqué la colère des Palestiniens il y a quelques semaines en parlant de Jérusalem comme capitale indivisible d’Israël.
Cette visite est suivie de très près dans tout le Proche-Orient mais aussi aux Etats-Unis. Barack Obama n'a pas encore réussi à rallier l’électorat juif américain, qui soutient pourtant traditionnellement le camp démocrate mais qui s'est massivement rallié derrière le républicain George W. Bush ces dernières années.
- Europe1
Il s’est rapproché à cette occasion de l’Etat hébreu en affirmant qu'Israël était un "miracle" au Proche-Orient. S’il entre à la Maison Blanche, le sénateur de l’Illinois a promis d’œuvrer pour la paix. Tout en se montrant très prudent : "il n'est pas réaliste d'attendre qu'un président américain, seul, claque des doigts et apporte la paix à la région", a-t-il déclaré. Je vote :
Au cours des 60 ans (d'existence d'Israël), président Peres, vous avez été profondément impliqué dans ce miracle qui s'est produit et nous sommes extraordinairement reconnaissants, pas seulement en tant qu'Américains mais aussi en tant que citoyens du monde pour le service que vous avez rendu à votre pays" : en Israël mercredi, Barack Obama a signifié sa proximité avec l’Etat hébreu au cours d’une visite qualifiée de sensible par les observateurs. Le candidat démocrate à la présidentielle américaine a ainsi réaffirmé son "attachement constant à la sécurité d'Israël et son espoir d'être un partenaire efficace, que ce soit en tant que sénateur américain ou en tant que président, pour apporter une paix durable dans la région". Tout en se montrant très prudent.
"Il n'est pas réaliste d'attendre qu'un président américain, seul, claque des doigts et apporte la paix à la région" avait déclaré en Jordanie Barack Obama. Selon lui, sa visite en Israël est l’occasion de prendre le pouls de la région. "Je veux des informations et connaître les opinions des dirigeants israéliens, comment voient-ils la situation actuelle. Je veux partager certaines de mes idées", a-t-il insisté.
Sur le fond, le sénateur de l’Illinois, conseillé pour les questions au Proche-Orient par l'ancien envoyé spécial de Bill Clinton pour la région Denis Ross, s’est dit en faveur de deux Etats israélien et palestinien qui vivraient en paix et en voisins. Mais il avait provoqué la colère des Palestiniens il y a quelques semaines en parlant de Jérusalem comme capitale indivisible d’Israël.
Cette visite est suivie de très près dans tout le Proche-Orient mais aussi aux Etats-Unis. Barack Obama n'a pas encore réussi à rallier l’électorat juif américain, qui soutient pourtant traditionnellement le camp démocrate mais qui s'est massivement rallié derrière le républicain George W. Bush ces dernières années.
- Europe1
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