Azul
Ce n'est pas mes habitudes d'intervenir dans ce topic car je ne connais pas grand chose en religion sauf les grand principes.
Je voudrais discuter sur le système bancaire en islam surtout en Algérie. Généralement une partie des algériens sont réticents a prendre des prêts à la banque parce que la pratique des intérêts dans les transactions financières est proscris en islam, en tout cas c'est l'avis de la majeur partie des érudits de la religion.
Ayant fait une petite recherche, j'ai constaté que le mot arabe d'origine "RIBA" ne faisait pas la distinction comme en français entre intérêts et usure.
la société pré-islamique a cette époque souffrait de l'usure. ce qui a poussé le législateur a proscrire cette pratique , mais qu 'est ce qui proscrit en fait l'usure ou les intérêts ?
la banque de France par exemple proscrit l'usure et publie chaque 15 jours le seuil à ne pas dépasser pour les banques
voici un extrait du code de consommation :
Aux termes de l'article L.313-3, est déclaré usuraire « tout prêt conventionnel consenti à un taux effectif global (TEG) qui excède, au moment où il est consenti, de plus du tiers, le taux effectif moyen pratiqué au cours du trimestre précédent par les établissements de crédit pour des opérations de même nature comportant des risques analogues ».
Pour plus d'infos reportez vous au chapitre "seuil de l'usure" sur le site de la banque de France :
http://www.banque-france.fr/fr/info/credit/2.htm
Revenons à l'Algérie. Les crédits de consommations qui commencent à fleurir sont tous assujettis à des Agios (Intérêts et commissions qui peuvent être perçus par une banque lors d'une opération de crédit).
Que ce soit les attributions des maison ADDL, les voitures, les biens de consomation . Tout notre vie est régit par cette mécanisme. Je ne dis pas que c'est la pancé mais on a pas trouvé mieux.
Alors comment faire pour fructifier son argent ? reste le commerce la aussi on ne peut se defaire des agios ou bien investir mais la risque est grand ?
Si quelqu'un possède une vision plus éclairée de la question je suis preneur.
Comment concilier vie moderne et les pratiques bancaires standards tout en gardant ces traditions ?
Ce n'est pas mes habitudes d'intervenir dans ce topic car je ne connais pas grand chose en religion sauf les grand principes.
Je voudrais discuter sur le système bancaire en islam surtout en Algérie. Généralement une partie des algériens sont réticents a prendre des prêts à la banque parce que la pratique des intérêts dans les transactions financières est proscris en islam, en tout cas c'est l'avis de la majeur partie des érudits de la religion.
Ayant fait une petite recherche, j'ai constaté que le mot arabe d'origine "RIBA" ne faisait pas la distinction comme en français entre intérêts et usure.
la société pré-islamique a cette époque souffrait de l'usure. ce qui a poussé le législateur a proscrire cette pratique , mais qu 'est ce qui proscrit en fait l'usure ou les intérêts ?
la banque de France par exemple proscrit l'usure et publie chaque 15 jours le seuil à ne pas dépasser pour les banques
voici un extrait du code de consommation :
Aux termes de l'article L.313-3, est déclaré usuraire « tout prêt conventionnel consenti à un taux effectif global (TEG) qui excède, au moment où il est consenti, de plus du tiers, le taux effectif moyen pratiqué au cours du trimestre précédent par les établissements de crédit pour des opérations de même nature comportant des risques analogues ».
Pour plus d'infos reportez vous au chapitre "seuil de l'usure" sur le site de la banque de France :
http://www.banque-france.fr/fr/info/credit/2.htm
Revenons à l'Algérie. Les crédits de consommations qui commencent à fleurir sont tous assujettis à des Agios (Intérêts et commissions qui peuvent être perçus par une banque lors d'une opération de crédit).
Que ce soit les attributions des maison ADDL, les voitures, les biens de consomation . Tout notre vie est régit par cette mécanisme. Je ne dis pas que c'est la pancé mais on a pas trouvé mieux.
Alors comment faire pour fructifier son argent ? reste le commerce la aussi on ne peut se defaire des agios ou bien investir mais la risque est grand ?
Si quelqu'un possède une vision plus éclairée de la question je suis preneur.
Comment concilier vie moderne et les pratiques bancaires standards tout en gardant ces traditions ?
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