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Le croyant est-il forcément "quelqu'un de bien"?

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  • Le croyant est-il forcément "quelqu'un de bien"?

    est que un croyant est forcement quelqu'un de bien ?
    Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

  • #2
    normalement il est censé l etre si il croit reelement en dieu et que il a la crainte de dieu
    Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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    • #3
      conficius avait demandé "qui est l'homme bien?"
      "celui qui est aimé par tous!!" repondirent ces disciples
      "non ..ça c'est le faible : il ne derange personne..il est amorphe"
      "alors celui qui est detesté par tous" repo,dirent ces disciples
      "non..ça c'est le tyran...personne n'est a labris de ce qu'il fait"

      "alors qui est ce ?"demanderent les disciples
      "l'homme bien est celui que les bons aiment et que les mauvais detestent"
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #4
        Mais comment definir en soi le bien et le mal, car le mal peut-être un bien comme le mauvais peut-être bon.

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        • #5
          @alya
          la tu parles de la genealogie de la morale....cela depend ou on se palace..on peut declaré les droits de l'homme en 1789..et laissé toussaint louverture mourir en 1803

          pour nous musulmans (puisqu'on est sur islam et spiritualités) nous avons la notion de"la voie" "essirat" qui revien dans le coran ..qui dit voie dit lieu a atteindre..notre morale est inspirée de la definition que nous avons du "que sommes nous??ou sommes nous?? ou allons nous???"
          « Puis-je rendre ma vie
          Semblable à une flûte de roseau
          Simple et droite
          Et toute remplie de musique »

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          • #6
            Heureusement pour la philisophie, Nietzsche n'a pas été le seul à mettre en place cette problématique du bien et du mal..La question est que pris dans l'ambivalence de son libre arbritre un croyant peut très bien prendre pour lui la notion du bien et l'imposer aux autres qu'il pense être pendant du mal.
            ( Le terrorisme et l'intégrisme en sont, je pense, un parfait exemple)

            Deplus, les plus grand philisophes étaient croyants, Tamerlan, donc oui nous sommes dans islam et spiritualités et l'on peut parler religion philisophique...ou philosophie théologique.
            Dernière modification par Absente5, 12 janvier 2007, 16h30.

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            • #7
              Partons de la conscience commune et de la manière dont elle envisage la question du bien et du mal.
              La morale est présente dans la conscience commune dans les mœurs, les comportements mesurés par des normes morales, tels qu’on les considère à l’intérieur d’une culture donnée.
              Les mœurs ne sont pas une morale. Ils supposent pourtant des règles de ce qui est « bien» ou de ce qui est « mal ».

              Pour la plupart des hommes, quand se pose le problème de savoir ce qui est bien ou mal, c’est auprès de la tradition qu’il faut chercher refuge. Ou encore, nous nous rapportons aux mœurs tels qu’ils existent en les considérant comme des normes. On se fie d’abord à « ce qui se fait » et « ce qui ne se fait pas ». Il y a des comportements socialement admissibles et ils indiquent le « bien » et des comportement inadmissibles et ils indiquent le "mal". Nous nous servons en cela du jugement commun, du jugement des autres pour décider du bien et du mal
              Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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              • #8
                est que un croyant est forcement quelqu'un de bien ?
                beh normalement oui puisque un croyant doit en aucun cas faire du mal a personne une personne qui a la crainte de dieu ne vole pas ne tue pas ne ment pas
                Chaque pétales de cette rose correspond à tout l'amour qui nous unit depuis le premier jour . Donc il ne pourra à jamais se fâner.

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                • #9
                  Pendant le séjour d’Adam sur terre, la philosophie des lois universelles pour l’humanité future est mise en relief par le conflit opposant ses fils : Abel et Caïn. On rapporte qu’Adam et Eve avaient à chaque naissance un garçon et une fille. Adam interdit le mariage des jumeaux. Il permit au frère d’épouser sa sœur non jumelle. Or ses deux premiers fils avaient des sœurs d’inégale beauté. Celui dont la sœur jumelle était la plus belle voulut l’épouser. Pour se départager ils décidèrent de faire alors une offrande à Dieu. Celle qui serait agréée de Dieu et consumée par le feu du Ciel désignerait le vainqueur. Celui dont l’offrande n’a pas été agréée (Caïn) tua son frère (Abel) par jalousie :
                  « Récite-leur la nouvelle des deux fils d’Adam en toute rectitude quand ils firent une offrande(à Dieu). Elle fut agréée de l’un d’eux et ne fut pas agréée de l’autre.
                  Il dit : « Je te tuerai pour sûr ! »
                  Il dit : « Dieu n’agrée que de la part des gens pieux.
                  - Si tu tends la main vers moi pour me tuer, je ne suis pas disposé à tendre la main vers toi pour te tuer.
                  Je crains Dieu, Seigneur-et-Maître des Univers.
                  - Je veux que tu rapportes mon péché et le tien et que tu sois ainsi parmi les gens du Feu. C’est là la récompense des Injustes. »
                  - Son âme bestiale lui minimisa le meurtre de son frère et il le tua
                  Il se trouva de ce fait parmi les perdants.
                  - Dieu envoya alors un corbeau fouillant dans la terre pour lui montrer comment cacher le spectacle indécent de son frère. Il dit :
                  « Malheur à moi ! Ai-je donc été incapable d’être comme ce corbeau et de cacher le spectacle indécent de mon frère ? »
                  Il se trouva donc parmi les repentants. » (5, 29 à 33)
                  On raconte que Caïn prit son frère mort sur ses épaules. Ne sachant quoi en faire, il parcourut le monde mal dans sa peau en butte au désespoir. C’est alors qu’il vit deux corbeaux s’entre-tuer. Il vit le vainqueur enterrer l’autre sous terre. Comme il a tué par orgueil et par jalousie, Dieu a voulu l’humilier en lui faisant donner une leçon de morale par un corbeau. Cette histoire implique toutes les significations morales et civiques possibles. « Je crains Dieu, Seigneur-et-Maître des Univers » implique le sens de justice et d’injustice, de Paradis et d’enfer, du remords et du repentir, de l’agression et de la non-agression, tous les concepts profonds et absolus qui ont pris naissance pour dessiner la voie de l’humanité.
                  Par la suite et au fur et à mesure de l’évolution de l’humanité, la mission de l’être humain se précisait. Dans ce cadre, Dieu l’a choisi comme Son lieutenant sur Terre : « Lorsque ton Seigneur dit aux anges : "Je vais établir un lieutenant sur la Terre » (2 : 29). L’être humain est le vicaire de Dieu sur terre pour y répandre la guidance divine. Il ne doit se comporter que dans les limites des lois universelles et choisir un mode de vie approprié en conséquence. Il ne peut prétendre être le propriétaire de la terre ( Propriété de Dieu ), sauf dans les limites de son vicariat. En d’autres termes, Il lui a délégué le pouvoir de gérer l’existence sur terre conformément aux lois divines. Il l’encourage aussi à s’y établir : « … Il vous a créés de la Terre et Il vous y a établis… » (11 : 60) et à utiliser toutes les forces cachées dans les montagnes et dans les plaines : « C’est Lui qui a fait pour vous la Terre très soumise. Parcourez donc ses vastes étendues et mangez ce qu’Allah a produit ». (67 : 15).
                  L’expansion de la descendance d’Adam sur Terre et par mer constituent l’une des conséquences de sa dignité : « Nous avons ennobli les fils d’Adam. Nous les avons portés sur la terre ferme et sur la mer… » (17 : 70). Bien plus, l’être humain peut élargir encore plus ses horizons en explorant même l’espace : « Ne voyez-vous pas qu’Allah a mis à votre service ce qui est dans les Cieux et ce qui est sur la Terre ? … » (31 : 19).
                  Au début de sa genèse, il a appris ainsi des sciences que les Anges ignoraient :
                  « Il apprit à Adam le nom de tous les êtres ; puis Il les présenta aux anges et dit : "Faites-moi connaître leurs noms, si vous êtes véridiques." Ils répondirent : "Gloire à Toi ! Nous ne savons rien en dehors de ce que Tu nous as enseigné ; Tu es, en vérité, Celui qui sait tout, le Sage." Puis Il dit : "O Adam ! Fais-leur connaître leurs noms", et lorsqu’Adam leur eut dit leurs noms, Allah dit : "Ne vous ai-Je pas dit que Je connais le mystère des Cieux et de la Terre ?"… » (2 : 30 à 32).
                  Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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