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Y aurait-il une interprétation spirituelle du coup de foudre ?

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  • Y aurait-il une interprétation spirituelle du coup de foudre ?

    Interprétation spirituelle du coup de foudre,
    Je relance ce sujet depuis le début .



    Leyla et Majnûn l’amour fou à l’orientale


    L’histoire de Leyla et Majnûn, (en persan, Leili-o Majnûn) compte parmi les plus célèbres du Proche et du Moyen Orient, de l’Asie centrale au Maroc et en passant par le Pakistan. Elle proviendrait de la Perse de Babylone et aurait été transmise oralement par les Bédouins au cours de leurs déplacements et de leurs différentes conquêtes, jusqu’à sa versification en langue persane par Nezâmi au XIIe siècle . Cette première version devint l’un des monuments de la littérature persane : l’histoire qu’elle raconte n’est en effet pas seulement celle d’un amour hors du commun, mais elle aborde également certains sujets très présents au sein de la littérature persane tels que la vanité du monde, la mort, et l’ascétisme. Elle comprend de nombreuses et différentes versions, dont le début, les événements, et la fin diffèrent sensiblement d’un récit à l’autre en fonction des écrivains et des contextes dans lesquels elles ont été rédigées. Ainsi, au XIIIe siècle, Amir Khosrow Dehlavi en écrivit une autre version et Jâmi apporta également sa pierre à l’édifice au XVe siècle. Elle fut également traduite en turc, en arabe, en russe… cependant, la version de Nezâmi demeure la plus connue et la plus citée.




    L’histoire d’un amour fou




    A l’époque des Omeyyades, un beau jeune homme appelé Qays et issu d’une grande famille de Bédouins tombe éperdument amoureux de sa cousine Leyla. Ne pouvant dissimuler son émotion, il écrit de nombreux poèmes dans lesquels il clame et chante son amour brûlant à qui voudra bien l’entendre, tout en exprimant son désir d’épouser sa bien-aimée. Cependant, il se heurte bien vite aux traditions bédouines bien ancrées qui veulent que le mariage soit une affaire réglée par les pères de chaque famille. Dans certaines versions, il est également indiqué que le père de Leyla a déjà promis sa main à quelqu’un d’autre. Remettant en cause l’autorité patriarcale et allant contre les traditions établies, la passion de Qays est condamnée. L’ardeur de ce dernier n’en est que redoublée et il se met à utiliser la poésie comme un moyen lui permettant l’expression de ses sentiments les plus intimes ; compositions qui se muent finalement en armes contre un système lui ayant refusé la main de sa bien-aimée. Insurgée contre l’ardeur du jeune amoureux, la famille de Leyla réussit à obtenir du calife le droit de tuer Qays. Interpellé par ces événements, le calife exprime son souhait de voir la beauté qui tourmente si vivement ce cœur, et est très surpris de voir qu’il ne s’agit que d’une jeune fille banale, de constitution maigre et à la peau brûlée par le soleil. Le calife convoque alors Qays et l’interroge sur les raisons de sa passion pour celle qui, selon lui, est moins belle que la moins belle de ses femmes. Qays répond alors : "Ô grand prince, c’est avec les yeux de Majnûn qu’il fallait voir la beauté de Leyla !" Malgré les efforts de la famille de Qays, le père de Leyla refuse de lui donner la main de sa fille. Commence alors pour Qays une longue descente dans le royaume de la folie : on le surnomme désormais le "fou" (majnûn, c’est-à-dire possédé par les démons ou les " jinn ") de Leyla. Il erre désormais en guenilles et refuse de s’alimenter. Son père décide de l’emmener à un temple sacré (dans certaines versions, il s’agit d’un pèlerinage à la Mecque) afin qu’il retrouve ses esprits ; cependant, même là-bas, au plus profond de ses prières, ce dernier entend inlassablement une voix qui prononce le prénom de "Leyla ". Désormais, rien d’autre n’existe pour lui que son amour qui se mue peu à peu en obsession et remplit tout son univers. Cette passion qui le dévore est à l’origine d’une création poétique foisonnante dans laquelle il revit son amour et nous communique le feu qui l’embrase sans fin. Alors qu’il était en train de rêver de son amour, un de ses compagnons l’avertit un jour que Leyla se tenait sur le pas de sa porte. Majnûn refuse de la voir et dit à son ami : "Dis-lui de passer son chemin car Leyla m’empêcherait un instant de penser à l’amour de Leyla". Par la suite, cette dernière se maria et partit vivre dans une autre contrée. Quant à Majnûn, il demeura dans le désert avec pour seuls compagnons les bêtes sauvages, passant ses journées à adorer l’Aimée. Un jour, son corps sans vie fut retrouvé dans le désert, avec contre lui un dernier poème dédié à son amour.


    Nezâmî et les interprétations iraniennes
    Cette passion légendaire a été intégrée à toute une tradition littéraire et artistique arabo-musulmane traitant d’un amour absolu et de son expression au-delà de toutes les règles sociales et valeurs dominantes. Il marque une césure en donnant forme à la conception d’un amour choisi qui n’appartient plus au domaine privé réglé par la famille, mais qui est désormais déterminé par les sentiments personnels et clamé en public. Les interprétations de cette histoire mythique se déclinent à l’infini et chaque lecteur devient en quelque sorte l’auteur de sa propre interprétation. Cependant, dans la tradition iranienne marquée par l’influence du chiisme, Majnûn a souvent eu tendance à incarner une sorte de héros mystique dont l’élan passionnel aurait pour but ultime de se rapprocher du divin. L’amour humain serait donc une première étape initiant à l’amour spirituel. A cette étape de l’amour, les catégories de l’entendement ne peuvent raisonner ou "expliquer " cette passion brûlante qui est alors qualifiée de " jonûn " (folie). Cette tradition a notamment été abondamment reprise et explicitée par un grand mystique iranien, Rûzbehân Baqlî Shîrâzî. Son interprétation se base sur une conception de la beauté selon laquelle la belle apparence extérieure d’une personne conduit à la vision de la beauté de l’ensemble des créatures puis à l’amour de la beauté pure, qui est l’Idée même de la beauté ou Dieu lui-même . Leyla se transforme ainsi en un intermédiaire qui sert à la révélation de cette beauté absolue. Chez Rûzbehân, la beauté humaine a donc un rôle éminemment initiatique en tant qu’étape et voie permettant d’accéder à l’amour divin. Cependant, cet amour, comme l’est celui qui habite Majnûn, doit demeurer un amour chaste et rester étranger aux tentations charnelles. La beauté humaine doit davantage être perçue comme un "miroir " dans laquelle se reflète - sans pour autant s’y incarner- la beauté divine. La beauté a donc un rôle primordial dans l’émergence de cet amour et dans la construction de l’idéal amoureux : son cœur reflète la beauté de Leyla jusqu’à ce qu’il en prenne la nature et la forme même. Dans ce sens, Majnûn incarne aussi une puissance transfiguratrice : le monde devient et est Leyla. Cet amour doit finalement être dépassé pour aboutir à l’union mystique de l’aimée, de l’amant, et de l’amour qui ne forment désormais plus qu’une seule et même réalité.




    On assiste donc à une véritable sublimation intérieure de ses sentiments pour Leyla au point que ce dernier en arrive à oublier la Leyla terrestre qui était l’objet même de son amour. L’amour est totalement intériorisé et se passe désormais de la vision de la bien aimée. Cette étape symbolise le passage de l’amour humain à l’amour mystique. Il s’est élevé au-delà de toutes les contingences de l’amour humain : il n’est plus l’esclave des sens ou dévoré par un désir charnel, mais s’est métamorphosé en chantre de l’amour pur qui est l’amour mystique. Son sentiment compose désormais l’essence de son être, " l’amour est feu et je suis le bois dévoré par sa flamme, l’Amour s’est installé en ma demeure tandis que le Moi l’a déserté. Vous imaginez me voir, alors que je n’existe plus. Seul, l’aimée demeure ". Majnûn est son amour, et l’amour devient Majnûn. Il n’existe désormais que par et pour lui. La fin de son amour est donc au-delà de ce monde, et Majnûn se convertit, dans la tradition persane et turque, en l’archétype même de l’amant mystique :


    " Je ne l’aime pas pour son enveloppe extérieure… elle n’est pas enveloppe extérieure


    Elle est comme une coupe que je tiens et dans laquelle je bois du vin.


    Je suis amoureux du vin auquel je m’y abreuve


    Tu ne vois que la coupe sans percevoir le vin


    Mais à quoi me servirait une coupe d’or si elle était remplie


    De vinaigre ou de quelque chose d’autre que le vin ?


    Pour moi une vieille gourde cassée remplit de vin est mieux


    Que cent de ces coupes. "


    C’est son amour qui devient le plus important au monde, davantage que l’aimée : "Si l’amour meure, alors je mourrai aussi". Il est ivre du vin de l’amour, mais non de la coupe qui n’est que son support. En outre, le regard ou les " yeux " de Majnûn par lequel ce dernier voit Leyla est un élément central de cette passion : il est ici un transfigurateur de la réalité et est doté d’un fort pouvoir idéalisant. Majnûn affirme ainsi qu’en réalité personne n’a vu Leyla ; c’est-à-dire que personne ne l’a regardée avec ses yeux pour percevoir sa beauté et sa puissance évocatrice :


    Tous mes amis me blâment, parce que je l’aime ;


    Mais aucun ne l’a vue, et, pour cette raison,
    Aucun ne veut me pardonner...
    Puissent, ô Leyla, tous ceux qui me condamnent voir ton charmant visage !
    Leur extase alors serait mon excuse, et, de même que les femmes d’Egypte à la vue de Joseph,
    Ils ne seraient plus maîtres de leurs mouvements."
    Ainsi, lorsque Leyla apparaît devant le calife et qu’il est surpris de son apparence, cette dernière lui rétorque : "Silence ! Tu n’es pas Majnûn ! Si tu avais ses yeux, tu pourrais contempler les deux mondes. Tu me regardes avec l’organe des sens, alors que Majnûn est au-delà de lui-même. " Un des autres éléments important de cet amour est sa puissance créatrice qui se confond avec la louange de l’aimée : Majnûn est le poète qui crée un véritable sanctuaire au sein de son âme et revit chaque jour son amour et sa douleur au travers des poèmes qu’il récite. Il faut également entendre la poésie au sens de la " poesis " des grecs anciens, qui devient alors sa propre "création " et le garde en vie en lui permettant de re-créer perpétuellement son amour jusqu’à l’oubli même de soi :

    " Je ne t’ai pas seulement perdue, désormais je ne me connais plus moi-même. Qui suis-je ? Je me tourne et tourne encore sur moi-même en me disant : " Quel est ton nom ? Aimes-tu ? Qui est l’objet de ton amour ? Es-tu aimé ? Par qui ? Une flamme est en train d’embraser mon cœur ; une vaste, incommensurable flamme, qui a réduit en cendre tout mon être. Sais-je encore où je vis ? Puis-je encore goûter ce que je mange ? Je suis perdu dans mon propre désert ".
    L’amour est désormais ce qu’il est et ce qu’il veut rester ; il est le sens même d’une existence qui le dépasse.
    Majnûn est donc un visionnaire, il voit et est l’amour absolu.
    Dernière modification par abdelhamid31, 31 août 2018, 02h35. Motif: Orientation du sujet par un texte explicatif .

  • #2
    Salam abdelhami31
    Est ce une question ? cherches tu une explication spirituelle du coup de foude ?
    La lumière propre du visage vient de la chandelle de l'esprit.

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    • #3
      peut etre ca peut t'aider
      "Les Juifs vinrent au Messager d’Allah صلى الله عليه و سلم et lui dirent : "Ô Abal Qassim ! Informe-nous sur le tonnerre, qu’est-ce ?

      Il صلى الله عليه و سلم répondit : "C’est un ange parmi les anges. Il est chargé des nuages. Il a avec lui des sabres de feu avec lesquels il dirige les nuages là où il veut."

      Puis ils dirent : "Qu’en est-il du bruit que nous entendons ?"

      Il صلى الله عليه و سلم répondit : "C’est lui qui les réprimande pour les diriger, afin de les amener à l’endroit voulu (pour eux)."

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      • #4
        momo
        c un hadith da3if
        abu horeira était out ce jour là

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        • #5
          abdelhamid,


          le coup de foudre répond à un besoin, une envie
          la personne concernée a eu la chance ou le malheur d'être là où il faut qd il faut. bref c sur la pyramide de Moslow

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          • #6
            a sa parlez de se genre de coup de foudre je croyait que cestait le phenomene meteorologique autant pour moi

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            • #7
              tawenza

              tawenza, je vais m'abaisser à ton niveau et te parler comme tu mérites sans même soigner mes mots
              Tu connais hezget el slat ? tu es absolument pareil ,
              Tu te manifestes juste pour emmerder , tu n'apportes rien , grew up un peu petit!! en plus zaama tu es fasciné par les européens et tu les prends comme exemple ,pff ta3 wetchek , eux ils sont respectueux et savent parler aux gens , ils respectent les avis des autres et contrarient civiquement ,machi AGHYOULEMENT !! tu n'as rien pris d'eux, ni savoir ni éducation ,sauf peut-être ton esprit laïque que tu utilises pour te démarquer ; tu appliques le principe de KHALEF TOU3RAF , car sans ton insolence tu ne vaux rien !!
              Conseil : Lorsque tu as quelque chose de bénéfique à ajouter interviens, sinon du balai !! j'ai réouvert ce sujet pas pour entendre tes idioties , tu m'as assez pollué le mien alors oust ..
              La lumière propre du visage vient de la chandelle de l'esprit.

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              • #8
                je vais m'abaisser à ton niveau et te parler comme tu mérites sans même soigner mes mots
                Tu connais hezget el slat ? tu es absolument pareil ,
                Tu te manifestes juste pour emmerder , tu n'apportes rien , grew up un peu petit!! en plus zaama tu es fasciné par les européens et tu les prends comme exemple ,pff ta3 wetchek , eux ils sont respectueux et savent parler aux gens , ils respectent les avis des autres et contrarient civiquement ,machi AGHYOULEMENT !! tu n'as rien pris d'eux, ni savoir ni éducation ,sauf peut-être ton esprit laïque que tu utilises pour te démarquer ; tu appliques le principe de KHALEF TOU3RAF , car sans ton insolence tu ne vaux rien !!
                Conseil : Lorsque tu as quelque chose de bénéfique à ajouter interviens, sinon du balai !! j'ai réouvert ce sujet pas pour entendre tes idioties , tu m'as assez pollué le mien alors oust ..
                le principe d'un forum est public.
                c une application de la notion de démocratie qui n'est pas arrivée en bas de chez toi
                khalef to3ref ne marche pas avec des pseudos
                alors épargne moi ton charabia de fawdhamentale et évite de parler de coup de foudre car vraisemblablement tu n'en verras jamais les prémices.
                occupe-toi du dou3a automatiquement exaucé selon t dires ou t délires


                dernier élément : je suis autant laïc que toi t mystique ma pauvre

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                • #9
                  occupe-toi du dou3a automatiquement exaucé selon t dires ou t délires
                  aww où est ce que j'ai dis ca ???? t'es sûr que tu sais lire 3wirou ??

                  khalef to3ref ne marche pas avec des pseudos
                  ah bon ? c'est la meilleure ? tu l'as décidé toi ? explique moi car je te suis pas là !! newerni

                  le principe d'un forum est public.
                  Mais tu admets que t'es mal poli , irrespectueux et brut dans tes contributions , tu manques de civisme ? vrai ou pas ? sois honnête
                  Dernière modification par Mystique, 12 août 2018, 15h31.
                  La lumière propre du visage vient de la chandelle de l'esprit.

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                  • #10
                    Franchement c'est illogique ce que tu dis la !! comment ça il pense pas aux autres ?? c'est un raisonnement d'un petit gamin ça khalina Tawenza , sérieux , argumente logiquement ,
                    le dou3aa est permis à tout le monde à tout moment ,d'ailleurs c'est ce qui fait la différence entre l'islam et la religion que tu flagornes autant , ils ont besoin d'un intermédiaire entre eux et Dieu , confession et machin truc
                    pour nous , les portes sont ouvertes tu prie quand tu veux et ta prière est écoutée et prise en charge , bien sur que lorsque tu prie t'es écouté exclusivement oui et c'est un honneur
                    Allah est omniprésent dans notre vie, à chaque mouvement et acte
                    ادعوني استجب لكم
                    le déni est une amnésie organisée

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                    • #11
                      Et alors ? est ce que j’ai mentionné dans ce que j’ai dit que nos prières seront automatiquement exaucés ??

                      Prendre en charge et écouter veut dire exaucer ???
                      Lorsque j'ai dit "écouté" ce n'était pas dans le sens satisfait ou exaucé mais plutôt tenir compte et accueillir .

                      Prendre en charge : Prendre la responsabilité de quelque chose. , se charger , yatakafal ...

                      ALlah nous dit ادعوني استجب لكم , donc il assume et prend en compte toutes nos prières et dou3a sans pour autant les exaucés immédiatement.

                      J’ai pourtant éclairci ce point dans l’ancien poste mais bon on a un tawenza hamrenza en face .. que veux tu !!

                      En prenant la peine de relire mon poste ,relis en le hadith qui appuie ce que je dis pendant que tu y es.

                      tawenza sérieux , arrêtons nous ici , on va pas polluer un autre poste j'y tiens pas à le faire stp !!
                      merci de respecter
                      La lumière propre du visage vient de la chandelle de l'esprit.

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                      • #12
                        pour nous , les portes sont ouvertes tu prie quand tu veux et ta prière est écoutée et prise en charge , bien sur que lorsque tu prie t'es écouté exclusivement oui et c'est un honneur
                        Allah est omniprésent dans notre vie, à chaque mouvement et acte
                        ادعوني استجب لكم
                        la fawdhamentale

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                        • #13
                          J’ai pourtant éclairci ce point dans l’ancien poste mais bon on a un tawenza hamrenza en face .. que veux tu !!
                          a fait des études très poussées pour ...conjuguer à l'impératif ... la première personne du singulier pour le besoin de la cause !




                          ...................
                          Dernière modification par etudiant, 13 août 2018, 00h32.

                          Commentaire


                          • #14
                            a fait des études très poussées pour ...conjuguer l'impératif à la première personne du singulier pour le besoin de la cause !
                            hé oui , on est loin d'atteindre ce niveau hélas
                            La lumière propre du visage vient de la chandelle de l'esprit.

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                            • #15
                              Bonjour à toutes et à tous,

                              C'est un sujet que j'ai supprimé en effaçant le premier texte d'introduction, mais si le sujet est relancé, il concernera ceux qui y posteront leurs messages.
                              cordialement.

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