il n'est mentionné que le Prophète avait demandé à nouveau de quoi écrire entre le jeudi, jour où il l'avait fait, et le lundi, jour où il a quitté ce monde.
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Le complot d'Omar contre le Prophète avant sa mort
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Il ne l'a jamais jamais fait pour la révélation du Coran, pourquoi voulez-vous qu'il le fasse pour une chose de moindre importance.
Mon ami, tout le monde sait que le Coran a été prêché dans son ensemble du vivant du Prophète béni, paix et salut sur lui, et il a été en ce sens écrit sur parchemin devant lui. Le Coran a été révélé au prophète Mohammed, paix et salut sur lui, par l’intermédiaire de l’archange Gabriel durant 23 années, cela a tellement facilité la transcription par étapes étant donné le temps offert. Le Prophète a récité au fur et à mesure ce qui lui était révélé du Livre aux hommes. En raison de l’inexistence du papier, les versets coraniques étaient portés à l’écrit sur des objets disparates (planches, omoplates de chameaux, feuilles de palmiers, pierres).. Le Coran dans son intégralité a donc été porté à l’écrit du vivant de l’Envoyé d’Allah de la même façon et déjà selon les sept caractères inspirés par la Révélation, resté seulement son assemblage. Le Compagnon Zeyd disait: "Nous étions auprès du Prophète et rassemblions le Coran qui était écrit sur les feuilles fraîches
mahssoub Ali ou ses fils auraient pu changer la dictature islamique en démocratie?!!
Dans l'embryon de l'état musulman la solidité du pouvoir ne reposait a un certain moment que sur la légitimité religieuse du prophète, c'est a dire sa personne-même, paix et salut sur lui.. Les structures sociales traditionnelles que sont la famille et la tribu ont été bel et bien relégués au deuxième plan par le prophète lui-même concernant bien sur seulement l'exercice du pouvoir temporel. La division des élites pour la constitution d'un Etat fort pouvant a merveille concrétiser les préceptes du plus grand des prophètes ne peuvent causer du tort.. L'histoire nous révèle qu'absolument tous les compagnons prêtèrent serment aux califes. Les compagnons étaient unanimes au sujet de la légitimité de leur califat. Ali avait également prêté serment d’allégeance et donc contrairement a ce que vous le présentez souvent il s'agissait toujours d'un vrai pacte démocratique fait par les plus grands compagnons. La désignation de Ali fut également par les mouhajirounes et Ansars ceux-la mêmes qui avaient désigné précédemment les autres califes. Ce sont bien les croyants qui avaient désigné comme calife ces personnes qui justement sont a même de le faire ayant un très haut degré dans le cours des choses en Islam.A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
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Ce hadith est faux n'a jamais existé c'est une invention des rawafid
ce n'est pas un hadith déjà,c'est dit et répeter dans les livres des musulmans qui parle des "mana9ib de omar"et on la entendu bien avant de savoir cette histoire de chiite, rawafid bla bla,,,
aprés avoir connu ces derniers, on a aussi compri que omar et plus sacré que le prophete chez les nawasib
qui peuvent défendre omar et insulter le porophetepar raconter et inventer des hadiths et surtout les rendre "sahiha"malgré que ses hadith raconte des mensonges sur le prophète
voila de ce qui est des nawassib "la3anahom allah"المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي
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Omar par son infini amour proposa a l'assistance qu'on ne dérange pas le prophète en état de maladie et ce jusqu'à ce qu'il se rétablisse. Une fois rétabli le messager fera bien sur ce que Dieu lui enseignera mais il furent surpris de son départ vers le Seigneur des mondes. D'ailleurs la surprise était tellement grande que c'est bien là que s'écria Omar "Certains hypocrites disent que le prophète est mort. Le prophète n'est point mort. Il est seulement allé voir son Seigneur comme Moise l'avait fait et il reviendra. Je trancherai et couperai les mains a quiconque dira que le prophète est mort".A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
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ce n'est pas un hadith déjà,c'est dit et répeter dans les livres des musulmans
Pourquoi le calife Omar n’a-t-il pas enterré vivante sa fille Hafsa, elle qui justement est à l’origine de sa Kounya (surnom) Abou Hafs. Porter avec un très grand honneur le nom de sa fille junior pour tuer sa fille cadette, c'est vraiment de la dérision.A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
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Paleem,
Lorsque le corps sans tête de Hussein était trainé aux sol pendant plusieurs jours par les imposteurs Omeyades, ils étaient ou les chiites ?
Bah je vais te le dire, ils étaient planqués dans leurs maisons
mort de peur.
Puis par la suite ils ont dit "oh oui en effet nous n'avons pas assisté Hussein, alors prenons des fouets et fouettons nous.
Vous n'êtes certainement pas les partisans de Ali et de Hussein et Hassan.Dernière modification par hmida, 23 décembre 2018, 18h13.J'aime surfer sur la vague du chaos.
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Lorsque le corps sans tête de Hussein était trainé aux sol pendant plusieurs jours par les batards Omeyades, ils étaient ou les chiites ?
L'Histoire est là et nous prouve qu'absolument dans tous les cas les chiites ont été a chaque fois la cause de la perte de Ahl El Beyt. Nous savons que quand la nouvelle de la venue de Hussein à La Mecque arrive à la ville irakienne de Kufa, des centaines de lettres des chiites commencent à affluer de cette ville. Leurs auteurs invitent Hussein à venir à Kufa pour qu'ils fassent de lui leur dirigeant. « Nous n'avons pas d'Imam ! Viens vers nous !» ou « Les gens t'attendent. Ils n'ont que toi. Viens vite, viens vite ! » . Connaissant leurs fourberies Al-Hussein doute de la sincérité des gens de Kufa qui étaient absolument tous des chiites. Il décide d'y envoyer son cousin Mouslim Ibn Aqil pour qu'il constate la réalité de la situation. C'est alors a l'issue d'une histoire écœurante pour les sunnites que seuls les chiites sont capables de narrer en feignant d’être victimes avec des larmes de crocodiles, qu'un ancien partisan d'Ali, un dénommé Shamr Ibn Al Jawshan, tue Hussein et lui coupe la tête. Hussein tombe en martyr dans la plaine de Kerbala le 10 muharram de l'an 61. Que Dieu lui fasse miséricorde. Comme vous le constatez les sunnites n'y sont pour absolument rien.
Il est également notoirement connu que quatre ans après le massacre de Kerbala, ce sont les Chiites de Kufa qui entamèrent un processus de repentance pour alléger leur fardeau psychologique tant ils se sentaient les seuls coupables de la mort de la plus noble des créatures. Ils se sont surnommés "At-Tawabun" qui signifie "Ceux qui se repentent". Un groupe de Chiites s'est rendu à Kerbala, et c'est là que pour la première fois, ils ont commencé à se frapper, se lamenter à haute voix, se flageller le corps et a pleurer leurs actes. Se punir pour la lâcheté qu'ils ont fait preuve quatre ans plus tôt et qui a conduit à la mort de Hussein. C'est de là que vient l'origine de leur Achoura, qu'ils pratiquent encore de nos jours.A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
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merci pour le fou rire !
Si vous etes choqué c'est que vous venez surement de comprendre que ce qui importe dans tout cela, ce n'est pas la démocratie dans ses formes institutionnelles et juridiques, qui peuvent changer selon les temps et le développement des nations, mais bien le processus de démocratisation populaire dans le choix des dirigeants. L’esprit démocratique en Islam bouscule vraiment l'imaginaire occidental qui présente souvent l'islam comme une vision dictatoriale. Je ne peut rien faire pour vous, car nul progrès démocratique n'est possible si les processus ne s'accompagnent pas d'une éducation profonde contre l'asservissement des hommes, et l'éducation des gouvernants au respect de la dignité de tous les citoyens, éducation à la fraternité humaine.A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs.
Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
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