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Avoir confiance en allah ! De quoi s’agit-il ?

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  • Avoir confiance en allah ! De quoi s’agit-il ?

    AVOIR CONFIANCE EN ALLAH ! DE QUOI S’AGIT-IL ?

    Rédigé par imam Abdallah et publié depuis Overblog


    Mon frère, ma sœur, ouvre bien les oreilles de ton cœur et écoute moi,


    َAvoir confiance en Dieu commence par sentir sa présence dans ta vie, Dieu est avec toi, Il sait ce que tu fais, il t’observe et t’accompagne.


    Ne penses pas à Dieu uniquement pendant les prières ou quand tu veux lui demander quelques chose. Sa présence est un sentiment qui doit t’accompagner en permanence et par tout.


    Ce n’est pas simple, cela ne vient pas du jour au lendemain, nous sommes oublieux, oui il nous arrive de passer deux, trois heures sans même penser une seconde à Dieu. Mais si tu travailles la présence de Dieu dans ton cœur cela devient une habitude et Dieu sera ton compagnon.


    Ce n’est pas une présence qui t’empêchera de vivre, Non c’est le contraire, une présence qui te permettra de vivre ta vie pleinement et en ayant une connexion avec lui, une observance de sa part sur ce que tu dis et ce que tu fais et ce que tu ressens.


    Faire confiance en Dieu c’est aussi se positionner par rapport à son présent, son passé et son avenir.


    Pour le présent : faire au mieux ce que Dieu te demande, fournir les efforts nécessaires et ensuite lui abandonner les résultats de tes actions et de tes efforts. (Abandonner signifie, être satisfait quelques soient les résultats)


    Pour le passé : Si tu as fait du mal regrette-le sincèrement et espère qu’Allah te le pardonne. Si tu as fait le bien, sois content, sans vanité, attribut le bien à Dieu et espère qu’Il l’accepte. Le passé ne doit pas te chagriner mais il doit t’aider à avancer sans faire les mêmes erreurs.


    L’avenir : Prépares ton avenir sereinement, prévois les choses méthodiquement mais n’en fais pas un objet de préoccupation inutiles.
    Avoir confiance en Dieu c’est choisir de souscrire à une garantie tout-risque et d’être pris en charge intégralement par le Seigneur des cieux et de la terre.


    Sans vouloir comparer mais imagine mon frère qu’on ton patron te dise : Tu dois réaliser ce projet mais sache que tu as ma confiance, mon soutien, mon appui et ma protection.


    Tu vas agir pour la réalisation de ce projet en ayant en tête les paroles de ton patron, en sentant son soutien et en évoquant son appui et sa protection.


    Tu dois faire mieux que cela avec Dieu qui t’a chargé de mener le projet de ta vie.







    [IMG]http://khadijamine.k.h.pic.**********.net/jesus369.jpg[/IMG]











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  • #2
    Le « tawakkoul »

    Le « tawakkoul »


    Nous allons parler aujourd’hui d’une nouvelle station d’épuration spirituelle, à savoir, le « tawakkoul ». Le « tawakkoul » constitue l’une des branches de la foi. Le « tawakkoul » signifie le fait de placer ta confiance en Dieu, de t’en remettre à Lui dans tout ce que tu entreprends ; de Lui déléguer toutes tes affaires. Le « tawakkoul » est une action du cœur ; une qualité fondamentale de la foi ; l’une des plus importantes dimensions de la religion, au point où l’imam Ibn al-Qayyim l’ait qualifié de la moitié de la religion ; la deuxième moitié étant « al-inaba », c’est-à-dire, le repentir ; et ce, conformément au verset coranique : « En Lui, je place ma confiance, et c’est vers Lui que je reviens repentant » (Coran 11 :88). En effet, la religion est constituée de l’adoration « ‘ibada » et de l’imploration du secours de Dieu « isti’ana » comme le signifie le verset « C’est Toi Seul que nous adorons, et c’est Toi Seul dont nous implorons secours » (Coran 1 :5), or, revenir repentant à Dieu est un acte d’adoration et le « tawakkoul » est une imploration du secours de Dieu.


    Le « tawakkoul » est donc une imploration du soutien divin ; un refuge vers Dieu pour faire face aux différentes adversités que peut connaître l’homme.


    Le « tawakkoul » consiste à déléguer à Dieu le soin de gérer tes affaires, de la même façon que l’enfant qui n’a pas atteint l’âge du discernement s’en remet à ses parents pour gérer ses affaires partant du fait qu’il est convaincu qu’ils sont plus compétents que lui, plus prévoyants, plus attentifs à son intérêt que lui-même.


    Dieu ordonne à Son Messager de faire preuve de « tawakkoul » à Son égard. Il dit : « Et place ta confiance en Dieu et Dieu suffit comme protecteur » (Coran 33 :48), « Place ta confiance en Dieu, car tu es de toute évidence dans la vérité et le bon droit » (Coran 27 :79), « Le Seigneur du levant et du couchant. Il n’y a point de divinité à part Lui. Prends-le donc comme protecteur « wakil » » (Coran 73 :9) …


    Le « tawakkoul » est une qualité des prophètes. En effet, ils ont fait face aux persécutions de leurs détracteurs en plaçant leur confiance en Dieu et en se remettant à Lui. Dieu dit : « Raconte leur l’histoire de Noé, quand il dit à son peuple « Ô mon peuple, si mon séjour parmi vous et mon rappel des signes de Dieu vous pèsent trop, alors c’est en Dieu que je place ma confiance. Concertez-vous avec vos associés et ne cachez pas vos plans. Puis, décidez de moi et ne me donnez pas de répit » » (Coran 10 :71).



    Quand à Ibrahim, que la Paix soit sur lui, lorsqu’il fut jeté au feu, ses derniers mots furent : « Dieu me suffit et c’est le meilleur des garants et protecteurs ». L’Ange Gabriel vint alors le voir alors qu’il était dans les airs (avant d’atterrir dans le feu) et lui dit : « As-tu besoin de quelque chose ? ». Ibrahim, que la Paix soit sur lui, répondit : « Venant de toi, non ! ». Le résultat fut tel que Dieu ordonna au feu : « Ô feu, sois, pour Abraham une fraicheur salutaire » (Coran 21 :69).


    Le « tawakkoul » fait également partie des qualités des croyants. Dieu nous parle dans le Coran de l’après-Ouhoud, Il dit : « Certes, ceux auxquels l’on disait : « Les gens se sont rassemblés contre vous ; craignez-les, cela accrut leur foi et ils dirent : « Dieu nous suffit, Il est notre meilleur garant » » (Coran 3 :176). Quel était la conséquence ? « Ils revinrent donc avec un bienfait de la part de Dieu et une grâce. Nul mal ne les toucha » (3 : 177).


    Ibrahim, que la Paix soit sur lui, prit son épouse Hajar et son fils Ismaïl, les laissa dans ou oued sans végétation, puis, commença à partir. C’est alors que Hajar le suivit et lui dit : « Où pars-tu en nous laissant dans un oued sans eau, ni végétation ni compagnie ? ». Ibrahim que la Paix soit sur lui continua sa route sans se retourner. Elle lui réitéra la question plusieurs fois mais celui-ci ne répondit pas. Hajar dit alors : « Est-ce Dieu qui te l’ait ordonné ? » « Oui » dit-il. Hajar répondit alors telle une croyante dont l’âme est imprégnée par le sens du « tawakkoul » : « Alors, Il nous abandonnera jamais ». Puis, apaisée, elle retourna auprès de son fils.


    En vérité, le « tawakkoul » est une caractéristique indissociable de la foi. Dieu dit : « Les vrais croyants sont ceux dont les cœurs frémissent quand on mentionne Dieu. Et quand Ses versets leur sont récités, cela fait augmenter leur foi. Et ils placent leur confiance (tawakkoul) en leur Seigneur » (Coran 8 :2). Il dit également : « Et c’est en Dieu qu’il faut placer la confiance, si vous êtes croyants » (Coran 5 :23). Cela signifie que si le « tawakkoul » est inexistant, la foi est inexistante, et point de foi sans placer totalement sa confiance en Dieu et sans se remettre entièrement à Lui.


    De plus, le « tawakkoul » est à même de garantir le sentiment de quiétude et de sérénité. En effet, les gens ont l’habitude de s’inquiéter pour deux choses : les biens matériels et la durée de vie. Or, la subsistance est écrite, et le terme de la vie est déterminé. Nul ne peut te retirer une partie de ta subsistance, aussi minime qu’elle soit, de même que tu ne sauras retirer une partie de la subsistance destinée à une tierce personne. Quant au terme de la vie, il ne peut être ni précipité ni retardé. Ainsi, quiconque place sa confiance en Dieu et se remet totalement à Lui, ne s’inquiètera ni pour sa subsistance ni pour sa vie.


    Par conséquent, le « tawakkoul » est une source de force pour le croyant, car celui qui n’a peur ni pour sa subsistance ni pour la durée de sa vie ne saurait s’humilier. Il fournit certes des efforts, mais sans s’humilier pour autant, sans se rabaisser. Il est dit dans un hadith : « Celui qui aime être le plus noble parmi les gens qu’il craigne Dieu. Celui qui aime être le plus fort, qu’il place sa confiance en Dieu, et celui qui désire être celui qui se passe le plus des autres, qu’il place sa certitude en ce que Dieu possède plus qu’il ne la place en ce qu’il détient entre ses deux mains ».


    Il importe de préciser qu’il ne faut pas comprendre que le « tawakkoul » est un appel à la négligence des causes. Voulant rentrer dans la mosquée, un homme demanda au Prophète (saws) : « Dois-je laisser ma chamelle en liberté et placer ma confiance en Dieu, ou dois-je l’attacher et faire preuve de « tawakkoul » ? ». Le Prophète (saws) répondit : « Attache-la, plutôt, et fais preuve de « tawakkoul » » (at-Tirmidhi). Nous avons là un texte explicite quant à l’obligation de la prise en considération des causes. C’est ainsi que le « tawakkoul » est défini comme étant le fait de fournir l’effort pour la réalisation des causes, puis s’en remettre à Dieu, contrairement à ce que pensent certains soufis (non orthodoxes), à savoir, que le « tawakkoul » ne peut se réaliser qu’en faisant abstraction totale des causes, au point de s’aventurer dans le désert sans eau ! Certaines personnes, influencées par cette compréhension erronée, n’équipent pas leurs voitures de roue de secours sous prétexte que ceci contredirait le « tawakkoul » !!!


    Les pieux prédécesseurs disaient : « L’abandon des causes est un péché, mais s’en remettre aux causes est de l’idolâtrie ». Ainsi, le croyant qui fait preuve de « tawakkoul » tient compte des causes sans s’en remettre pas à celles-ci. Il s’en remet à Celui qui est à l’origine des causes. Ce n’est pas les causes qui te garantissent le succès. Seul Dieu peut de te l’accorder. Tu ne réussis pas grâce à ton effort, même si celui-ci est nécessaire. Tu réussis grâce à Dieu. Ainsi, les causes sont nécessaires mais pas suffisantes !


    Parmi les compagnons, il y avait des agriculteurs, des commerçants, des artisans, le Prophète (saws) n’a jamais exigé d’eux de renoncer à leurs métiers. ‘Omar trouva un jour des gens à la mosquée après la Prière du vendredi, il leur demanda : « Qui êtes-vous ? ». « Des gens qui placent leur confiance en Dieu (moutawakkiloun) » répondirent-ils. Il leur dit : « Vous êtes plutôt des gens qui se laissent aller. Que l’un de vous ne cesse de faire des efforts pour rechercher sa subsistance, d’autant plus que le ciel ne fait tomber ni or ni argent ! Dieu pourvoit à la subsistance des gens en faisant en sorte qu’ils le sollicitent les uns des autres. N’avez-vous pas entendu la parole de Dieu : « Puis quand la salat est achevée, dispersez-vous sur terre, et recherchez quelque effet de la grâce de Dieu » (Coran 62 :10) ?!


    Partant pour un voyage commercial, un homme vint un jour voir Ibrahim ibn al-Ad-ham (un pieux prédécesseur réputé pour sa sagesse et sa piété). Après quelques jours, il rentra de son voyage plus vite que prévu. Le voyant, Ibrahim ibn al-Ad-ham lui dit : « Pourquoi es-tu rentré si vite ? ». L’homme répondit : « J’ai vu en chemin quelque chose d’étonnant ». « Qu’as-tu vu ? » dit Ibn al-Ad-ham. Il dit : « J’ai vu un oiseau blessé, paralysé des pattes. Je me suis dit alors : Qui pourvoit à la nourriture de cet oiseau ? Je restai l’observer pendant un temps, c’est alors qu’un autre oiseau arriva en lui apportant de la nourriture et se mit à le nourrir. Je me dis alors que Celui qui a garanti la nourriture de cet oiseau blessé et paralysé est à même de me nourrir ! Ibn al-Ad-ham lui alors : « Pourquoi te contenterais-tu d’être l’oiseau blessé et paralysé plutôt que l’autre ?! »


    Lorsque Dieu voulu sauver Noé, que la Paix soit sur lui, ainsi que ceux qui crurent en lui, Il leur ordonna la construction d’une arche, alors qu’Il pouvait tout à fait les sauver en se passant de l’arche. En vérité, Dieu a voulu leur enseigner le sens du « tawakkoul », à savoir, fournir l’effort nécessaire, puis s’en remettre à Dieu.


    Quand Marie enfanta ‘Issa, que la Paix soit sur lui, sous un palmier, Dieu lui dit : « Et secoue vers toi le tronc du palmier, il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mures » (Coran 19 :25). Pourquoi Dieu lui aurait-Il demandé une telle chose alors qu’elle est si faible après l’accouchement ; une chose que même un homme fort ne pourrait réaliser. Il voulait par là nous enseigner le sens du « tawakkoul » ; fais un effort ; fais ce que tu peux ; puis implore l’aide de Dieu !


    Ainsi, il incombe au musulman de déployer tous ses efforts, c’est alors qu’il remettra son affaire à Dieu. Lorsque Moïse, que la Paix soit sur lui, arriva avec son peuple à la mer rouge, il fut face à la mer, dos à l’ennemi. Voyant Pharaon et ses soldats, les compagnons de Moïse dirent : « Nous allons être rejoints » (Coran 26 :61). Plaçant toute sa confiance en Dieu et s’en remettant complètement à Lui, Moïse fit preuve de « tawakkoul » et dit : « Jamais, car j’ai avec moi mon Seigneur qui va me guider » (Coran 26 :62).


    Le sens du « tawakkoul » se manifeste clairement lors de l’émigration du Prophète (saws) à Médine. Il déploya tous ses efforts de planification et d’organisation. En dépit de toutes ses précautions minutieuses, les idolâtres ne cessèrent de le chercher jusqu’à parvenir à la grotte où il se cachait en compagnie de Abou Bakr (rad). Ils étaient si proches qu’Abou Bakr dit au Prophète (saws) : « Si l’un d’eux baissait la tête, il pourrait nous voir ». Le Prophète (saws) répondit en toute sérénité : « Abou Bakr ! Que penses-tu de deux dont Dieu est le troisième ! N’ai pas peur, Dieu est avec nous ».


    Ainsi, lorsque l’effort humain nécessaire arrive à ses limites, l’attention divine intervient ; c’est là le sens du « tawakkoul ».


    https://www.havredesavoir.fr/le-tawa...moncef-zenati/


    وَيَرْزُقْهُ مِنْ حَيْثُ لَا يَحْتَسِبُ وَمَن يَتَوَكَّلْ عَلَى اللَّهِ فَهُوَ حَسْبُهُ إِنَّ اللَّهَ بَالِغُ أَمْرِهِ قَدْ جَعَلَ اللَّهُ لِكُلِّ شَيْءٍ قَدْراً65.3
    إِنَّمَا الْمُؤْمِنُونَ الَّذِينَ إِذَا ذُكِرَ اللّهُ وَجِلَتْ قُلُوبُهُمْ وَإِذَا تُلِيَتْ عَلَيْهِمْ آيَاتُهُ زَادَتْهُمْ إِيمَاناً وَعَلَى رَبِّهِمْ يَتَوَكَّلُونَ 8.2)




    وَمَالَنَا أَلاَّ نَتَوَكَّلَ عَلَى اللّهِ وَقَدْ هَدَانَا سُبُلَنَا وَلَنَصْبِرَنَّ عَلَى مَا آذَيْتُمُونَا وَعَلَى اللّهِ فَلْيَتَوَكَّلِ الْمُتَوَكِّلُونَ 14.12














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    • #3
      le mot confiance athika'' n'existe pas je crois dans le coran mais plutot le tawakoule..
      car les rapport entre Dieu et l'etre humain sont de l'ordre pas de confidence mais de travail. letre humain est un 3abde un ésclave sencé executé des taches selon les ordres de son Maitre..

      c'est pourquoi le terme tawakoule est utilisé lorsque un esclave va entamer un travail de bienfaisance il se retourne vers Dieu demande assistance et commence la tache..

      la confiance suppose un lien rapproché ou recevoir une parole direct d'une tache..ce rapport de confiance est réservé uniquement je crois pour les prophètes..car la tache d'un prophète n'est pas personnelle mais elle vient d'en haut..Comme sidna Moussa, il aurait avoir confiance en Dieu car sinon il va plonger dans le mort face au Pharaon et ces armés..Dieu lui avait montré sa puissance en rasant une montagne ..après cette expérience sidna Moussa 3alayhi essalame est réveillé avec une confiance en soit jamais senti bien qu'il était de forte corpulence un géant ..le Pharaon et ses armés leurs apparaissaient comme des mouches, si vraiment il leur a donné de l'importance ces des chats qui vont sautés sur un arbre ..le temps que passe le Lycaon
      miayou miyawou miyamou

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      • #4
        (19) مَن كَانَ يُرِيدُ حَرْثَ الْآخِرَةِ نَزِدْ لَهُ فِي حَرْثِهِ ۖ وَمَن كَانَ يُرِيدُ حَرْثَ الدُّنْيَا نُؤْتِهِ مِنْهَا وَمَا لَهُ فِي الْآخِرَةِ مِن نَّصِيبٍ (20)
        ce verset résume les rapport entre Dieu est ces esclaves..
        tu entames un travail de bien pour entrer au paradis et Dieu est la pour te soutenir..le rapport est un rapport de taches pas de proximité..tu ne peux considéré Dieu comme un proche un ami par exemple..
        les domaines de taches sont vastes et varié prend une tache a ta mesure et vas y et on te soutiendra

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        • #5
          le mot confiance athika'' n'existe pas je crois dans le coran mais plutot le tawakoule..

          Exact .

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          • #6
            .le Pharaon et ses armés leurs apparaissaient comme des mouches, si vraiment il leur a donné de l'importance ces des chats qui vont sautés sur un arbre ..le temps que passe le Lycaon

            Ici je n'ai pas très bien compris cette métaphore ? Elle ne figure ni dans le Coran ni dans le livre de Moise .

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            • #7
              je l'ai écris comme ça sans composition, c'est une description des états de guerre de troupe. lorsque un loup comme hitler entre dans une ville tout le monde saute dans les hauteurs et se placent dans les balcons...
              Moise était surement dans un triple état Admiration Peur et Crainte ET AMOUR PATERNEL car c'est le pharaon qui l'a élevé donc faire un combat avec son propre pére n’était pas possible, c'est un handicape dans une stratégie de guerre..
              un pharaon était admiré pour les constructions, mais était craint pour sa violence ..mais une fois que Moise a vue autre chose, toute cette admiration est parti dans l'air..

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