Je viens de découvrir sur le site du Cabaret sauvage la présentation de Kamel, comme quoi certaines n'ont peut être pas tort :
Kamel Igman
Kamel Igman appartient à cette nouvelle génération de chanteurs kabyles qui, au milieu des années 80, s’est tournée vers une thématique moins militante mais soucieuse du social, musicalement plus ouverte sur d’autres styles (Marocain , « alaoui » bédouin, flamenco) et rythmiquement plus musclée.
En 1984, il rencontre le poète Moh Cherbi qui le présente au patron du label « Kabyle Folk » lui fait enregistrer sa première cassette. Le succès est immédiat et il sera amplifié deux ans plus tard par son titre de référence « Arac Iaâzugen », interprété en duo avec Azwaw Oussadi. Depuis, le play boy de la chanson kabyle aligne les airs populaires au tempo très enlevé à l’image de son tube « El Visa ».
Kamel Igman
Kamel Igman appartient à cette nouvelle génération de chanteurs kabyles qui, au milieu des années 80, s’est tournée vers une thématique moins militante mais soucieuse du social, musicalement plus ouverte sur d’autres styles (Marocain , « alaoui » bédouin, flamenco) et rythmiquement plus musclée.
En 1984, il rencontre le poète Moh Cherbi qui le présente au patron du label « Kabyle Folk » lui fait enregistrer sa première cassette. Le succès est immédiat et il sera amplifié deux ans plus tard par son titre de référence « Arac Iaâzugen », interprété en duo avec Azwaw Oussadi. Depuis, le play boy de la chanson kabyle aligne les airs populaires au tempo très enlevé à l’image de son tube « El Visa ».
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