comme une eau si calme
qu'on pouvais carresser
ta donnée son ame
sans que tu l'ai demander
et jamais ne te réclame
quelque chose a donner

comme le ciel et la terre
mariers sans mystère
le soleil était là temoin
de ce qu'adviendra demain

de cette union sacrée
des enfants subirent le nauffrage
laissés au bord du rivage
criants de leurs coeurs d'etres sacrifiés
pleurant resistant quand fut l'orage

de cette eau trouble empoisonnée
n'aquit un fleuve déchainé
emportant dans son tourbillon
comme par une làme de fond
du plus profont de son être jaillie
une écûme ravageuse
détruisant tous sur son passage
ne pensant plus a leurs ages
et de cette vie malheureuse
d'un ciel noir comme le néant
hantée habitée par ses rêves
montraient comme sur un écran géand
que le chemin là, s'achève

les enfants comme des fous
attendant en vain l'espoir
d'un vent soufflant des mots si flous
qu'il ne pouvait couvrir leurs desespoir
essayant de comprendre pourquoi
revant guettant un mirage*
mais d'un rire narquoi
le vent vient de tourner la page

Pouvoir y retourner
sans avoir a s'endormir
pouvoir s'y promener
sans jamais en partir
pouvoir recommencer
sans erreur d'en soufrir !!

Samya55