F., Dieu a ceint ton corps de la beauté du printemps. Il a planté dans mon coeur le vertige velu du poète.
Il y a une Raison à tout. Azazga a consacré les "Noces" dans le frimas de décembre.
F., à l'âge de la seconde parenthèse ai-je le droit de dire ton nom...
A capella, je mène ainsi mes attentes dans une douce violence jusqu'au trépas.
Il y a une Raison à tout. Azazga a consacré les "Noces" dans le frimas de décembre.
F., à l'âge de la seconde parenthèse ai-je le droit de dire ton nom...
A capella, je mène ainsi mes attentes dans une douce violence jusqu'au trépas.
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