A la croisée des chemins, le regard porté vers le lointain
Là sur le portail de l’éternité je pose ma malle
Qu’il fait bon de sentir la chaleur,
Et écouter battre les ailes de l’ange
Assise sur le banc je me met a songer.
Les murs viennent se lézarder, une faille se forme.
Je me jette dans cette entraille.
Miroir obscur de ma pensée je viens juste te chercher.
Par delà les ombres et l’obscurité qui se met à s’éclipser
Un rayon de soleil se fraye un chemin.
Lampe magique qui me conduit vers une douce rivière.
Un oiseau le regard apeuré se met soudain à siffloter
Quel est donc ce son mélodieux qui ne peut que me charmer ?
Sur le bord de la rivière les oiseaux viennent se baigner,
Un chat de passage se lèche les babines devant ce festin de Roy…
Insensibles aux dangers les oiseaux viennent en chantant.
Ils sifflent ce refrain qui me plait tant
L’ode de la liberté sans qui nous ne sommes rien
A la recherche de mon coeur
Je suis suspendu a cette douceur.
Le temps se pose sur moi comme une ombre chinoise
Et j’avance sans chercher à comprendre, je me sens si bien.
Mes yeux sont plongés dans les méandres de ma nuit.
Je scrute mon âme et je sais que je t’appartiens.
Dans l’eau de mes songes je me suis endormie.
Le ciel est ma vie le sel de ma vie.
Tu es là dans mes pas et je viens vers toi
Guidé par le courrant de mes pensées.
Une bise légère me caresse et me pousse vers toi.
Je n’ai peur de rien car tu es mon chemin.
morjane
30/04/04
Là sur le portail de l’éternité je pose ma malle
Qu’il fait bon de sentir la chaleur,
Et écouter battre les ailes de l’ange
Assise sur le banc je me met a songer.
Les murs viennent se lézarder, une faille se forme.
Je me jette dans cette entraille.
Miroir obscur de ma pensée je viens juste te chercher.
Par delà les ombres et l’obscurité qui se met à s’éclipser
Un rayon de soleil se fraye un chemin.
Lampe magique qui me conduit vers une douce rivière.
Un oiseau le regard apeuré se met soudain à siffloter
Quel est donc ce son mélodieux qui ne peut que me charmer ?
Sur le bord de la rivière les oiseaux viennent se baigner,
Un chat de passage se lèche les babines devant ce festin de Roy…
Insensibles aux dangers les oiseaux viennent en chantant.
Ils sifflent ce refrain qui me plait tant
L’ode de la liberté sans qui nous ne sommes rien
A la recherche de mon coeur
Je suis suspendu a cette douceur.
Le temps se pose sur moi comme une ombre chinoise
Et j’avance sans chercher à comprendre, je me sens si bien.
Mes yeux sont plongés dans les méandres de ma nuit.
Je scrute mon âme et je sais que je t’appartiens.
Dans l’eau de mes songes je me suis endormie.
Le ciel est ma vie le sel de ma vie.
Tu es là dans mes pas et je viens vers toi
Guidé par le courrant de mes pensées.
Une bise légère me caresse et me pousse vers toi.
Je n’ai peur de rien car tu es mon chemin.
morjane
30/04/04
Commentaire