Le goût de l’éphémère
Instant fugitif qui permet
De toucher l’autre rive
Un instant d’éternité
Qui ne va plus me quitter
Oserais je un jour oublier
Ce qui fut la terre ?
Ses grands chênes ses oliviers
Sous lesquels tu m’as enlacés ?
Oserais je un instant ne plus songer
Que ma vie était le néant
Que mes ailes étaient emprisonnées
Tétanisées et brisées ?
Penserais je aux océans
Où mes larmes ruisselaient sans cesse ?
J’entends toujours ce bruit assourdissant
Du corail que l’on arrache
Et puis passe l’instant
Et s’efface peu à peu les tourments
Les vagues qui s’acharnent à présent
Restent brisé sans effet.
Instant éphémère qui fige l’éternité
En un espoir
Un regret de ce temps gâché
Sans te voir
La douceur de t’aimer
S’est niché en moi à jamais
Ta tendresse est si belle
Que rien ne pourra l’effacer
01/05/04
Instant fugitif qui permet
De toucher l’autre rive
Un instant d’éternité
Qui ne va plus me quitter
Oserais je un jour oublier
Ce qui fut la terre ?
Ses grands chênes ses oliviers
Sous lesquels tu m’as enlacés ?
Oserais je un instant ne plus songer
Que ma vie était le néant
Que mes ailes étaient emprisonnées
Tétanisées et brisées ?
Penserais je aux océans
Où mes larmes ruisselaient sans cesse ?
J’entends toujours ce bruit assourdissant
Du corail que l’on arrache
Et puis passe l’instant
Et s’efface peu à peu les tourments
Les vagues qui s’acharnent à présent
Restent brisé sans effet.
Instant éphémère qui fige l’éternité
En un espoir
Un regret de ce temps gâché
Sans te voir
La douceur de t’aimer
S’est niché en moi à jamais
Ta tendresse est si belle
Que rien ne pourra l’effacer
01/05/04
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