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une touche de melancolie...
La vie ne se mêle de ce qu’on peut ressentir, qu’il en soit mauvais ou bon;
La vie m’est autoritaire, hargneuse, malmenante, me pousse et me défend,
Me défend de réagir spontanément et m’oblige à pousser un cri violent,
Que personne ne pourra entendre, un cri absurde, énigmatique, bon sang;
C’est un cri de misérable bégayant, qui n’articule guère ses mots sans marquer un instant;
Un arrêt systématique, essentiel, aberrant;
Un cri sans écho, sans durée, et sans valeur, un cri bruyant;
Qui fracasse le calme de mon esprit, de mon humeur, et durablement,
Les chasse partout, même dans leur propre notion;
En croyant; que ce cri là est fantomatique!
Néanmoins; c’est un cri de survie même s’il est sourd;
C’est un cri de mort même s’il est silencieux;
C’est un cri de pitié même s’il est orgueilleux;
C’est un cri de supplice même s’il est joyeux;
C’est un cri de détresse même s’il est engageant;
Car… c’est un dernier soupir; car on ne peut rien faire s’il est déjà expiré;
Et on ne peut l’arrêter, s’il est déjà déclenché;
Car il prend pour origine un foyer de remaniement lointain et étendu;
Pour que ce cri persistera éternellement, sans qu’il soit un jour ou autre supprimé… sans le soulager?
La vie m’est autoritaire, hargneuse, malmenante, me pousse et me défend,
Me défend de réagir spontanément et m’oblige à pousser un cri violent,
Que personne ne pourra entendre, un cri absurde, énigmatique, bon sang;
C’est un cri de misérable bégayant, qui n’articule guère ses mots sans marquer un instant;
Un arrêt systématique, essentiel, aberrant;
Un cri sans écho, sans durée, et sans valeur, un cri bruyant;
Qui fracasse le calme de mon esprit, de mon humeur, et durablement,
Les chasse partout, même dans leur propre notion;
En croyant; que ce cri là est fantomatique!
Néanmoins; c’est un cri de survie même s’il est sourd;
C’est un cri de mort même s’il est silencieux;
C’est un cri de pitié même s’il est orgueilleux;
C’est un cri de supplice même s’il est joyeux;
C’est un cri de détresse même s’il est engageant;
Car… c’est un dernier soupir; car on ne peut rien faire s’il est déjà expiré;
Et on ne peut l’arrêter, s’il est déjà déclenché;
Car il prend pour origine un foyer de remaniement lointain et étendu;
Pour que ce cri persistera éternellement, sans qu’il soit un jour ou autre supprimé… sans le soulager?
dire que je suis plutot pecimiste
t que je n'osais partager... heureusement que ça plait a autrui
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