Cupidon un beau soir
A planté en mon cœur
Une flèche
D’amour
Je n’ose penser au jour
Où il viendra la chercher
Arracher mon coeur
Serait ce le désespoir
Le soir la nuit l’obscurité
Les ténèbres ?
Cette flèche d’amour
Est peut être enrobé de cyanure
Et chaque jour diffuse un poison insoupçonné
Qui un beau jour viendra m’arracher
Le cœur ?
Je ne pense qu’au bonheur
A la joie de t’aimer
Et de ne respirer
Que pour l’être si beau et si tendre
Que tu es
Pourquoi penser au malheur
quand on est si plein de bonheur ?
Entendre battre mon coeur
comme une douce chanson
Est tellement bon
Pourquoi penser aux épines
Alors que je ne vois
Que l’éclat de la rose
Et à son parfum enivrant
Cette fragrance qui me transporte
Au paradis ?
Pourquoi penser chagrin
Alors que je me sens si bien ?
Pourquoi penser à l’obscurité
quand on l’a pour mieux s’aimer
Ombre diaphane de nos corps
qui se rejoignent
Avec tant de volupté
Pourquoi penser à je t’haine
alors que je t’aime
n’est jamais assez conjugué
Je m’en moque !
Lorsque cupidon viendra chercher sa flèche
Je lui dirais non !
Même si tu l’arraches
mon cœur est à mon aimé
Pour l’éternité et même un peu plus...
De toutes les façons
Celui que j’aime est en moi à jamais.
Désolée, tu n’avais qu’à ne pas me la lancer...
morjane
27/05/04
A planté en mon cœur
Une flèche
D’amour
Je n’ose penser au jour
Où il viendra la chercher
Arracher mon coeur
Serait ce le désespoir
Le soir la nuit l’obscurité
Les ténèbres ?
Cette flèche d’amour
Est peut être enrobé de cyanure
Et chaque jour diffuse un poison insoupçonné
Qui un beau jour viendra m’arracher
Le cœur ?
Je ne pense qu’au bonheur
A la joie de t’aimer
Et de ne respirer
Que pour l’être si beau et si tendre
Que tu es
Pourquoi penser au malheur
quand on est si plein de bonheur ?
Entendre battre mon coeur
comme une douce chanson
Est tellement bon
Pourquoi penser aux épines
Alors que je ne vois
Que l’éclat de la rose
Et à son parfum enivrant
Cette fragrance qui me transporte
Au paradis ?
Pourquoi penser chagrin
Alors que je me sens si bien ?
Pourquoi penser à l’obscurité
quand on l’a pour mieux s’aimer
Ombre diaphane de nos corps
qui se rejoignent
Avec tant de volupté
Pourquoi penser à je t’haine
alors que je t’aime
n’est jamais assez conjugué
Je m’en moque !
Lorsque cupidon viendra chercher sa flèche
Je lui dirais non !
Même si tu l’arraches
mon cœur est à mon aimé
Pour l’éternité et même un peu plus...
De toutes les façons
Celui que j’aime est en moi à jamais.
Désolée, tu n’avais qu’à ne pas me la lancer...
morjane
27/05/04
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