Ce premier jour de ramadhan sans toi…
Comme l’année dernière, en ce premier jour de carême
L’endroit par où le soleil s’est levé est resté le même
A son coucher, comme toujours, il n’y a rien eu de changé
Mais toi tu n’es plus ici, à la table de notre salle à manger.
Comme l’an dernier, en cette première rupture de jeûne
Nous étions tous présents, y compris les plus jeunes
Mais aucun n’a osé s’approcher au moment du souper
De la chaise qu’au même instant il y a un an, tu occupais.
La porte que je regardais, espérant candidement ton arrivée
Semblait me répéter que la mort t’a pour toujours, enlevé.
Et c’est là que malgré moi, j’ai compris que tous ces mets
N’auront plus jamais la même saveur qu’avant, désormais.
J’ai fermé les yeux un moment et j’ai revu ce que tu m’as appris
Et combien de fois en rentrant du labeur, dans tes bras tu m’as pris
Toutes ces valeurs et vertus que tu m’as de tout temps, inculquées
Comment te rendre tout cela, la mort t’a un peu trop tôt, confisqué.
Ce jour, et comme moi, tous tes enfants ont eu la même pensée
Levant les mains vers le ciel et dans notre tristesse, enfoncés
Nous Prions le seigneur en ce jour de piété, oubliant le repas
Qu’il t’accepte dans son vaste paradis, toi, l’inoubliable papa.
Comme l’année dernière, en ce premier jour de carême
L’endroit par où le soleil s’est levé est resté le même
A son coucher, comme toujours, il n’y a rien eu de changé
Mais toi tu n’es plus ici, à la table de notre salle à manger.
Comme l’an dernier, en cette première rupture de jeûne
Nous étions tous présents, y compris les plus jeunes
Mais aucun n’a osé s’approcher au moment du souper
De la chaise qu’au même instant il y a un an, tu occupais.
La porte que je regardais, espérant candidement ton arrivée
Semblait me répéter que la mort t’a pour toujours, enlevé.
Et c’est là que malgré moi, j’ai compris que tous ces mets
N’auront plus jamais la même saveur qu’avant, désormais.
J’ai fermé les yeux un moment et j’ai revu ce que tu m’as appris
Et combien de fois en rentrant du labeur, dans tes bras tu m’as pris
Toutes ces valeurs et vertus que tu m’as de tout temps, inculquées
Comment te rendre tout cela, la mort t’a un peu trop tôt, confisqué.
Ce jour, et comme moi, tous tes enfants ont eu la même pensée
Levant les mains vers le ciel et dans notre tristesse, enfoncés
Nous Prions le seigneur en ce jour de piété, oubliant le repas
Qu’il t’accepte dans son vaste paradis, toi, l’inoubliable papa.
Commentaire