Sur le chemin de la vie ni début ni fin
J’envahis éternellement ton cœur crépusculaire.
Je me serre les épaulés dans mes bras
En imaginant que je la serre contre moi.
J’ai devancé mes pas.
Le cœur dans les yeux
J’ai devancé mes pas
Ecoutant pérorer le silence
Sur cette légende introuvable
Le dément rire d’un ruisseau espiègle
M’a susurré gentiment à l’oreille
De vérifier le creux de mon lit .
Un grand souffle s’y trouve
Qui m’a séché les larmes..
Sur la mer en navire je cherche
La trouvaille de mes rêves…
Dans ce vaste univers mystérieux
Les étoiles m’accompagnent heureusement..
Au fond du firmament je suis allé
J’ai trouvé ma belle étoile endormie..
Sur son visage un charme de la vigne s’est divisé
Me plait, me tue quand je dirige vers elle..
Dans la nuit, je l’entends partout
Cette voix s’exalter sur l’archet
Où la poésie fait son nid
Ce souffle des vents amoureux
Né du soupir d’un ange
Qui s’en va vers le rivage
Où bivouaquent les amours
Il suffit juste d’écouter
Le soir où la mer se tait…
J’envahis éternellement ton cœur crépusculaire.
Je me serre les épaulés dans mes bras
En imaginant que je la serre contre moi.
J’ai devancé mes pas.
Le cœur dans les yeux
J’ai devancé mes pas
Ecoutant pérorer le silence
Sur cette légende introuvable
Le dément rire d’un ruisseau espiègle
M’a susurré gentiment à l’oreille
De vérifier le creux de mon lit .
Un grand souffle s’y trouve
Qui m’a séché les larmes..
Sur la mer en navire je cherche
La trouvaille de mes rêves…
Dans ce vaste univers mystérieux
Les étoiles m’accompagnent heureusement..
Au fond du firmament je suis allé
J’ai trouvé ma belle étoile endormie..
Sur son visage un charme de la vigne s’est divisé
Me plait, me tue quand je dirige vers elle..
Dans la nuit, je l’entends partout
Cette voix s’exalter sur l’archet
Où la poésie fait son nid
Ce souffle des vents amoureux
Né du soupir d’un ange
Qui s’en va vers le rivage
Où bivouaquent les amours
Il suffit juste d’écouter
Le soir où la mer se tait…
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