J’ai peur de demain, je tressaille..
J’ai peur de ce sourire malsain, je frissonne..
Cet amour mystère qui me tourmente
Embrase le corps et l’âme. …..
Sur l’arène de ma vie
Je regarde passer mes jours.
Vêtue des couleurs de l'envie,
Je rêve encore à mes amours….
Malgré que devant mes yeux tu es disparue
Dans mon coeur tu es encore vivante
Ce que tu m’as laisse je ne peut le supporter..
Ton visage jamais je l’oublier
Malgré que le temps le sombre
Avec toi je suis égayé
Et maintenant je suis triste et tracasser …
Les jours passent et le cœur est anhydre
Ma foie est déchirée en morceau et
Chaque partie à une lettre de ton nom.
Je ne peux pas aimer comme je t’ai aimé…
Un poème pour rêver
Ne plus réfléchir,
Je veux t'imaginer…..
Tu as caressé le tronc lisse
Auquel tu t’étais adossée
Après une longue marche
Dans la forêt complice de tes rêves…..
L’arbre a déployé sur le ciel
Ses immenses ramures
Peuplées d’un feuillage
Luisant et frémissant…..
Elles ont fait taire
Le murmure bruyant
Des oiseaux bavards
Et leurs ombres fugitives
Ont envahi le chemin forestier.
De mon cœur...
Pleine de mots tendres et légers
Comme pour accompagner
Un nouveau chant d’amour….
Au non de la rose je ferai une overdose de cannabis..
J’ai peur de ce sourire malsain, je frissonne..
Cet amour mystère qui me tourmente
Embrase le corps et l’âme. …..
Sur l’arène de ma vie
Je regarde passer mes jours.
Vêtue des couleurs de l'envie,
Je rêve encore à mes amours….
Malgré que devant mes yeux tu es disparue
Dans mon coeur tu es encore vivante
Ce que tu m’as laisse je ne peut le supporter..
Ton visage jamais je l’oublier
Malgré que le temps le sombre
Avec toi je suis égayé
Et maintenant je suis triste et tracasser …
Les jours passent et le cœur est anhydre
Ma foie est déchirée en morceau et
Chaque partie à une lettre de ton nom.
Je ne peux pas aimer comme je t’ai aimé…
Un poème pour rêver
Ne plus réfléchir,
Je veux t'imaginer…..
Tu as caressé le tronc lisse
Auquel tu t’étais adossée
Après une longue marche
Dans la forêt complice de tes rêves…..
L’arbre a déployé sur le ciel
Ses immenses ramures
Peuplées d’un feuillage
Luisant et frémissant…..
Elles ont fait taire
Le murmure bruyant
Des oiseaux bavards
Et leurs ombres fugitives
Ont envahi le chemin forestier.
De mon cœur...
Pleine de mots tendres et légers
Comme pour accompagner
Un nouveau chant d’amour….
Au non de la rose je ferai une overdose de cannabis..
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