Le sous-sol de la Peur
``Un froissement sec retentit,
puis la lumière s’assombri
car la peur creusait sournoisement son nid``
Le crépuscule enténébré s’approchait à grand pas,
Puis l’aube de l’espoir s’osa,
Mais pas le jour, puisque ce dernier resta caché derrière la sombre paroi,
Celle des gens obstinés à demeurer aux abois;
Hommes et femmes se réfugièrent dans leur chez eux isolé,
L’allégeance inéluctable dans leurs yeux éplorés,
La mansuétude ineffable de leurs rêves oubliés,
Et la mélancolie silencieuse dans leurs souffrances décriées.
Alors quand la nuit d’encre revint,
Il n’y avait aucun être pour pousser la lumière,
Il n’y avait que la peur pour fouler les prières,
Dès lors la langueur du courage les poussait au fond d’un ravin.
Bien sûr cette Peur manipulée était aussi utilisée
Par ceux qui savaient aussi la créer,
Ceux-là qui buvaient la sueur du dominé,
Ceux-là qui se nourrissaient des gens naïf de leur lâcheté,
Cela afin d’enfermer les étoiles derrière
les nuages gris et lourds du désespoir organisé…
Maintenant,
Les maisons du cœur étaient tous fermées hermétiquement,
Mais malgré cette mauvaise volonté appliquée trop facilement,
La poussière de la Peur entrait inexorablement;
Pas à pas,
Tellement fine qu’elle ne se croyait pas,
Pourtant elle s’écrit,
Elle se déposait sur les épaules des pauvres gens meurtris,
Meurtri par la frayeur d’être punis,
Tapis de par leur amertume déconsidérer de ne pas
combattre pour libérer leur être soumis.
Bien sûr la boulimie du pouvoir hantait leur chair
Mais rien n’est bien clair
Lorsque l’amour et la lumière ne vont pas de paire.
``Un froissement sec retentit,
puis la lumière s’assombri
car la peur creusait sournoisement son nid``
Le crépuscule enténébré s’approchait à grand pas,
Puis l’aube de l’espoir s’osa,
Mais pas le jour, puisque ce dernier resta caché derrière la sombre paroi,
Celle des gens obstinés à demeurer aux abois;
Hommes et femmes se réfugièrent dans leur chez eux isolé,
L’allégeance inéluctable dans leurs yeux éplorés,
La mansuétude ineffable de leurs rêves oubliés,
Et la mélancolie silencieuse dans leurs souffrances décriées.
Alors quand la nuit d’encre revint,
Il n’y avait aucun être pour pousser la lumière,
Il n’y avait que la peur pour fouler les prières,
Dès lors la langueur du courage les poussait au fond d’un ravin.
Bien sûr cette Peur manipulée était aussi utilisée
Par ceux qui savaient aussi la créer,
Ceux-là qui buvaient la sueur du dominé,
Ceux-là qui se nourrissaient des gens naïf de leur lâcheté,
Cela afin d’enfermer les étoiles derrière
les nuages gris et lourds du désespoir organisé…
Maintenant,
Les maisons du cœur étaient tous fermées hermétiquement,
Mais malgré cette mauvaise volonté appliquée trop facilement,
La poussière de la Peur entrait inexorablement;
Pas à pas,
Tellement fine qu’elle ne se croyait pas,
Pourtant elle s’écrit,
Elle se déposait sur les épaules des pauvres gens meurtris,
Meurtri par la frayeur d’être punis,
Tapis de par leur amertume déconsidérer de ne pas
combattre pour libérer leur être soumis.
Bien sûr la boulimie du pouvoir hantait leur chair
Mais rien n’est bien clair
Lorsque l’amour et la lumière ne vont pas de paire.
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