Elle, mais je l’aime.
Mon âme me cause bien des colères,
Il refuse de jouir de la belle saison d’automne
Se prolonger dans les bonheurs des jours désirés.
Ton envie s’est affublée, et le mensonge
Parfume les roses de tes nuits,
On dirait qu’elle s’est déguisée
Pour une fête galante,
Dans le palais de tes rêves éveillés
Au moment où,
Ton corps s’escrimer dans le temps,
Et l’amour s’ancrer dans ton âme flottant.
Les jours agacent tes l’aubes d’été étoilées,
En orage de sentiments qui anéantissent les traits
De ton visage blué, comme une anémone,
Une fleur qui admire emporter par les vents,
Et qui s’ouvre au soupir des cœurs sauvages.
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