Le vent de l’oubli
Elle est assise face à une magnifique mer émeraude
Son regard scrute l’horizon, ses pensées s’évadent au loin
Une angoisse sourde, presque insoutenable la taraude
Si elle sombrait dans le vent de l’oubli ? Ce serait sa fin
Elle sent le souffle de vents étésiens sur sa peau
La peur latente que le temps emporte sur son sillage ce bonheur glorieux
Qui étanche la soif de son âme comme la pureté de l’eau
Et s’il ne restait que l’écume des jours sur leurs pas jadis heureux ?
La symphonie des couleurs de ce havre de paix
Lui rappelle foultitude de promesses de joie
Le souvenir ancré des étrennes d’un amour indélébile à jamais
La couvrant de la douceur incomparable d’un manteau de soie
L’ombre de l’éphémère plane, enténèbre ses beaux jours
L’obsession angoissante que nul n’est exempt d’une éventuelle finitude
La met dans l’état d’un cheval fourbu à tenter de sauver son amour
Où la sapience et le caractère sapide lui inspirent tant de quiétude
Et puis subrepticement, dans son esprit les idées noires s’effacent
Elle a toujours envie de croire au caractère immarcescible et immuable
De l’amour dont l’immanence est remarquable par sa grâce
Elle nourrit de belles espérances, car elle a foi en cet amour viable
Pourquoi se laisser assaillir par le doute
Quand elle exulte quotidiennement dans ce sentiment imposant par sa majesté
Si délicieusement bercée par cette présence que la destinée a placé sur sa route
Dans laquelle elle éprouve un bien-être extrême, comme dans les bras de Morphée
Qu’importe qu’il dure une heure, un jour, un an
L’important n’est-il pas de le vivre au présent
D’en cueillir avec force et délicatesse chaque instant
Puisqu’au fond de soi il est ancré jusqu’à la fin des temps
Elle est assise face à une magnifique mer émeraude
Son regard scrute l’horizon, ses pensées s’évadent au loin
Une angoisse sourde, presque insoutenable la taraude
Si elle sombrait dans le vent de l’oubli ? Ce serait sa fin
Elle sent le souffle de vents étésiens sur sa peau
La peur latente que le temps emporte sur son sillage ce bonheur glorieux
Qui étanche la soif de son âme comme la pureté de l’eau
Et s’il ne restait que l’écume des jours sur leurs pas jadis heureux ?
La symphonie des couleurs de ce havre de paix
Lui rappelle foultitude de promesses de joie
Le souvenir ancré des étrennes d’un amour indélébile à jamais
La couvrant de la douceur incomparable d’un manteau de soie
L’ombre de l’éphémère plane, enténèbre ses beaux jours
L’obsession angoissante que nul n’est exempt d’une éventuelle finitude
La met dans l’état d’un cheval fourbu à tenter de sauver son amour
Où la sapience et le caractère sapide lui inspirent tant de quiétude
Et puis subrepticement, dans son esprit les idées noires s’effacent
Elle a toujours envie de croire au caractère immarcescible et immuable
De l’amour dont l’immanence est remarquable par sa grâce
Elle nourrit de belles espérances, car elle a foi en cet amour viable
Pourquoi se laisser assaillir par le doute
Quand elle exulte quotidiennement dans ce sentiment imposant par sa majesté
Si délicieusement bercée par cette présence que la destinée a placé sur sa route
Dans laquelle elle éprouve un bien-être extrême, comme dans les bras de Morphée
Qu’importe qu’il dure une heure, un jour, un an
L’important n’est-il pas de le vivre au présent
D’en cueillir avec force et délicatesse chaque instant
Puisqu’au fond de soi il est ancré jusqu’à la fin des temps

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