Un parfum d'éternité
De temps immémorial, l’amour reste le primat de l’existence
Les coeurs épris versent des flots de panégyriques sur l’étoile de leur renaissance
Vouant un culte sans pareil, sans bornes, a l’être qui a empire sur eux
Tant l’ivresse des plaisirs à ses côtés les laisse sans voix
Pour l’élu(e), l’on mettrait flamberge au vent
Pour sauvegarder l’amour immuable qui nous transporte au firmament
C’est à perdre haleine, que l’on garde jalousement
Notre microcosme amoureux, empreint d’innocuité, couleur de diamant
Notre monde, dénué de toute souillure devient un véritable havre de paix
Prélude à kyrielle de tendresses et d’amour qui ne tariront jamais
Suscitant la puissance et la vigueur d’un sentiment impérissable, inépuisable
Gravé dans les plus infimes parties de notre être, de façon mémorable
Voltige au-delà de nos rêves, étincelants de prestiges
Jouvence irréductible, d’un amour qui nous donne le vertige
Paisibles sont nos heures riches en intensité sur les bancs de corail
Que nous hument avec délice, réfugiés dans notre sérail
Les lèvres esquissent un sourire radieux
Lorsque nous promenons nos pas, le long des lagons bleus
Un éclair de malice brille dans nos yeux
Bruissement de feuilles, rien ne pourraient nous rendre plus heureux
A l’heure où les générations futures se promèneront sur les vestiges de notre passé
Elles découvriront un sentiment d’amour d’envergure, sans salissure, au parfum d’éternité
De temps immémorial, l’amour reste le primat de l’existence
Les coeurs épris versent des flots de panégyriques sur l’étoile de leur renaissance
Vouant un culte sans pareil, sans bornes, a l’être qui a empire sur eux
Tant l’ivresse des plaisirs à ses côtés les laisse sans voix
Pour l’élu(e), l’on mettrait flamberge au vent
Pour sauvegarder l’amour immuable qui nous transporte au firmament
C’est à perdre haleine, que l’on garde jalousement
Notre microcosme amoureux, empreint d’innocuité, couleur de diamant
Notre monde, dénué de toute souillure devient un véritable havre de paix
Prélude à kyrielle de tendresses et d’amour qui ne tariront jamais
Suscitant la puissance et la vigueur d’un sentiment impérissable, inépuisable
Gravé dans les plus infimes parties de notre être, de façon mémorable
Voltige au-delà de nos rêves, étincelants de prestiges
Jouvence irréductible, d’un amour qui nous donne le vertige
Paisibles sont nos heures riches en intensité sur les bancs de corail
Que nous hument avec délice, réfugiés dans notre sérail
Les lèvres esquissent un sourire radieux
Lorsque nous promenons nos pas, le long des lagons bleus
Un éclair de malice brille dans nos yeux
Bruissement de feuilles, rien ne pourraient nous rendre plus heureux
A l’heure où les générations futures se promèneront sur les vestiges de notre passé
Elles découvriront un sentiment d’amour d’envergure, sans salissure, au parfum d’éternité
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