Divagations
Il arrive que ma nostalgie
Prenne de l'ampleur
A tes murmures, à tes sens, à ton grand cœur..
Il arrive que je me noie dans ma solitude
D'une façon foudroyante
Qui me fait perdre la raison
Et fait que la tristesse s'arroge de ma clairvoyance ;
Mes battements deviennent ma prison
Et les flammes de ton absence.
Deviennent le lit de mon éveil..
***
Il arrive qu'un poème m'abandonne
Aux brumes
Alors je désert mes carnets et ma plume
Et je tombe dans un état bizarre..
Cette sensation de dispersion dans le néant !
Le temps devient un horrible cauchemar
Et l'instant de mes douleurs
Se répand dans ma conscience
Et s'éternise dans ma mémoire...!
Je n'ai aucune pensée concluante
Sur cette mort encombrante
Sauf que je vie dans mes écrits,
Lorsque mes jours font les feuilles
Et ton amour fait la plume..
***
Il m'arrive de jouer le courtisant
Aux éloges abondants
Peu être pour survivre
Face à moi-même !
C'est en jouant ce rôle que je me délivre..
Lorsque j'annonce ma défaite
Dans cette guerre
Où je tente de dépasser tous les revers..
Dans cette virée à la concorde
Entre mes mots fatidiques
Et la femme mosaïque que tu es !
***
Par fois j'écris à la mémoire
De mon bonheur avec toi,
De nos chagrins de quelques fois
Et d'autres a l'oublie...
Il m'arrive même d'écrire
Motivé par l'humain,
Par ces incendies tatoués sur
Mon front...
Ce manque de toi...
***
Il m'arrive de rédiger dans un langage larmoyant
Ou bien dévastateur
Et divertir, dans le nu de notre cortège,
Des poèmes au rythme de tes sourcils
Et par les feux de ma passion
Retracer ton visage
Lorsque mes maux font le dédale
Et le vers me vient expatrié
Pour le convertir à ma perte
Dans le large de tes yeux.. !!
***
Prenne de l'ampleur
A tes murmures, à tes sens, à ton grand cœur..
Il arrive que je me noie dans ma solitude
D'une façon foudroyante
Qui me fait perdre la raison
Et fait que la tristesse s'arroge de ma clairvoyance ;
Mes battements deviennent ma prison
Et les flammes de ton absence.
Deviennent le lit de mon éveil..
***
Il arrive qu'un poème m'abandonne
Aux brumes
Alors je désert mes carnets et ma plume
Et je tombe dans un état bizarre..
Cette sensation de dispersion dans le néant !
Le temps devient un horrible cauchemar
Et l'instant de mes douleurs
Se répand dans ma conscience
Et s'éternise dans ma mémoire...!
Je n'ai aucune pensée concluante
Sur cette mort encombrante
Sauf que je vie dans mes écrits,
Lorsque mes jours font les feuilles
Et ton amour fait la plume..
***
Il m'arrive de jouer le courtisant
Aux éloges abondants
Peu être pour survivre
Face à moi-même !
C'est en jouant ce rôle que je me délivre..
Lorsque j'annonce ma défaite
Dans cette guerre
Où je tente de dépasser tous les revers..
Dans cette virée à la concorde
Entre mes mots fatidiques
Et la femme mosaïque que tu es !
***
Par fois j'écris à la mémoire
De mon bonheur avec toi,
De nos chagrins de quelques fois
Et d'autres a l'oublie...
Il m'arrive même d'écrire
Motivé par l'humain,
Par ces incendies tatoués sur
Mon front...
Ce manque de toi...
***
Il m'arrive de rédiger dans un langage larmoyant
Ou bien dévastateur
Et divertir, dans le nu de notre cortège,
Des poèmes au rythme de tes sourcils
Et par les feux de ma passion
Retracer ton visage
Lorsque mes maux font le dédale
Et le vers me vient expatrié
Pour le convertir à ma perte
Dans le large de tes yeux.. !!
***
Il m'arrive de venir comme ça
Sans rendez-vous…
Dans l'espoir de faire la fête
Sur le rose de tes Joues
Juste le temps de mettre la tête
À l'encontre de tes genoux
Et pleurer.. Pleurer jusqu'au sang
Avant de passer à la pendule du temps…
Déchirer mes paysages arides
Bien garnir l'horizon vide
Et prendre un toast avec toi
Oh ! … Rien que nous deux
À l'occasion de mon martyre.
Sans rendez-vous…
Dans l'espoir de faire la fête
Sur le rose de tes Joues
Juste le temps de mettre la tête
À l'encontre de tes genoux
Et pleurer.. Pleurer jusqu'au sang
Avant de passer à la pendule du temps…
Déchirer mes paysages arides
Bien garnir l'horizon vide
Et prendre un toast avec toi
Oh ! … Rien que nous deux
À l'occasion de mon martyre.
Commentaire