À ma mère, à ma patrie
Le sang des roses
Des larmes se versent sur les ailes d'une fleur
Verte, blanche, rouge et noir
La terre, la paix par le sang
La vie, la nuit dans le sang
Et des milliers de roses se répandent sur les cercueils
Sur les épaules des hommes
Qui se déversent dans les ruelles
L’aube s’achève sur une étoile
Comme le jour se lève sous un rayon de soleil
Un autre soleil, qui inonde les cœurs
Sous l’ombre des oliviers des hommes attendent
Sous les armes des âmes attendent
Les étoiles et les oiseaux de la paix
La terre, la vie par le sang des roses
Dans ma main la rose se fane comme le jour
D’une chaleur, emportant au zénith les âmes perdues
Qui cherchent des corps sous les décombres
Qui cherchent des ombres dans les ombres
Une larme coule sous un voile noir
Qui cache un visage et une mémoire
Une larme verse sur les ailes d'une rose fragile
Faible, mince, légère, sainte et paisible
Entre les dois tendres d'une petite créature
D’une main dormante à la fleur d’âge
Qui dorme, qui dorme, qui dorme
Fatigué dans ses rêves, elle sème encore et encore
D’autres rêves et d’autres rêves
Et des milliers de roses se hissent autour d'une foule
Portant un cercueil comme un seul homme
Comme si l’on portait une nouvelle croix dans les rues
De la ville sainte lointaine
Loin comme le levé du jour
Loin comme les rêves d'un vendeur de rêves
Qui fait des rayons enflammés du miel
Qui se déverse sur les cœurs des hommes assoiffés
Soiffe d’eau, soiffe de parole, de liberté
Des hommes sous un arbre portant son ombre
Qui fait ombre sur leur vie
Attende le visiteur
Et les oiseaux entre les étoiles jaillissent
S'éclatent comme des milliers de confettis
Tranchantes comme des milliers d’épées
Les ailes de ma rose s’inclinent
Et le jour endurcit son temps
Le soleil envoi ses feux entre les nuages
Au loin avec les esprits qui voyagent
Des âmes perdues
Cherchent leurs corps sous les décombres
....
P0str@
Le sang des roses
Des larmes se versent sur les ailes d'une fleur
Verte, blanche, rouge et noir
La terre, la paix par le sang
La vie, la nuit dans le sang
Et des milliers de roses se répandent sur les cercueils
Sur les épaules des hommes
Qui se déversent dans les ruelles
L’aube s’achève sur une étoile
Comme le jour se lève sous un rayon de soleil
Un autre soleil, qui inonde les cœurs
Sous l’ombre des oliviers des hommes attendent
Sous les armes des âmes attendent
Les étoiles et les oiseaux de la paix
La terre, la vie par le sang des roses
Dans ma main la rose se fane comme le jour
D’une chaleur, emportant au zénith les âmes perdues
Qui cherchent des corps sous les décombres
Qui cherchent des ombres dans les ombres
Une larme coule sous un voile noir
Qui cache un visage et une mémoire
Une larme verse sur les ailes d'une rose fragile
Faible, mince, légère, sainte et paisible
Entre les dois tendres d'une petite créature
D’une main dormante à la fleur d’âge
Qui dorme, qui dorme, qui dorme
Fatigué dans ses rêves, elle sème encore et encore
D’autres rêves et d’autres rêves
Et des milliers de roses se hissent autour d'une foule
Portant un cercueil comme un seul homme
Comme si l’on portait une nouvelle croix dans les rues
De la ville sainte lointaine
Loin comme le levé du jour
Loin comme les rêves d'un vendeur de rêves
Qui fait des rayons enflammés du miel
Qui se déverse sur les cœurs des hommes assoiffés
Soiffe d’eau, soiffe de parole, de liberté
Des hommes sous un arbre portant son ombre
Qui fait ombre sur leur vie
Attende le visiteur
Et les oiseaux entre les étoiles jaillissent
S'éclatent comme des milliers de confettis
Tranchantes comme des milliers d’épées
Les ailes de ma rose s’inclinent
Et le jour endurcit son temps
Le soleil envoi ses feux entre les nuages
Au loin avec les esprits qui voyagent
Des âmes perdues
Cherchent leurs corps sous les décombres
....
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