Le ciel couvre la campagne tandis qu'ils se reposent
Le labeur, la chaleur sur la paille ils s'allongent
Lovés l'un contre l'autre, ils tendaient vers l'osmose
Rien qui vaille qu'on les gronde car la fatigue les ronge
Les champs semblaient moelleux à l'homme et à la femme
Acceuillant dans leurs bras, ses deux corps si fourbus
Ils se laissérent tenter, à soulager leurs âmes
Otant leurs vieux sabots mais demeurant vêtus
On dirait des montagnes, mais accrochées au sol!
Des couleurs estivales,un charriot dans le pré
Et Margueritte qui paisse d'un air si enchanteur!
Sans doute était-ce l'été , mais point de parasol!
La lumière chancellante, tourmentait les fermiers
Mais enfin ils trouvèrent, le repos, la douceur!
7/08/2004
Le labeur, la chaleur sur la paille ils s'allongent
Lovés l'un contre l'autre, ils tendaient vers l'osmose
Rien qui vaille qu'on les gronde car la fatigue les ronge
Les champs semblaient moelleux à l'homme et à la femme
Acceuillant dans leurs bras, ses deux corps si fourbus
Ils se laissérent tenter, à soulager leurs âmes
Otant leurs vieux sabots mais demeurant vêtus
On dirait des montagnes, mais accrochées au sol!
Des couleurs estivales,un charriot dans le pré
Et Margueritte qui paisse d'un air si enchanteur!
Sans doute était-ce l'été , mais point de parasol!
La lumière chancellante, tourmentait les fermiers
Mais enfin ils trouvèrent, le repos, la douceur!
7/08/2004
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