Au détour d’un champ le vent susurre
A son passage, les feuilles, les arbres se courbent
De sa fraicheur il surgit d'un ciel bleu azur
Dès lors tes pensées deviennent fourbes…
Ainsi tu t’enivres d’une douce fragrance
Au détour d’Un effluve si doux de printemps
Qui bouleverse subitement tous tes sens
Semblant ainsi figer le temps
Puis Surgit soudain une rafale qui te surprit
Se glissant sous ta robe légèrement décolletée
Caressant avec fraicheur tes courbes jusque-là endolories
Faisant ainsi de toi un être émerveillé
Tel le phénix, ton cœur, ton corps ,ton âme renaissent
Tu t’abandonnes à des songes jusque la oubliés
Tandis que ton souffle et ton cœur s’accélèrent avec ivresse
Tu te prends à rêver à La douceur d’un baiser
A présent tu sais que lorsque Le vent murmure
Quand d’une robe tu es vêtue simplement
Alors cela te procure de si douces brulures
Que tu t’abandonnes tout naturellement
Par Mehdi le 28 mai 2011
A son passage, les feuilles, les arbres se courbent
De sa fraicheur il surgit d'un ciel bleu azur
Dès lors tes pensées deviennent fourbes…
Ainsi tu t’enivres d’une douce fragrance
Au détour d’Un effluve si doux de printemps
Qui bouleverse subitement tous tes sens
Semblant ainsi figer le temps
Puis Surgit soudain une rafale qui te surprit
Se glissant sous ta robe légèrement décolletée
Caressant avec fraicheur tes courbes jusque-là endolories
Faisant ainsi de toi un être émerveillé
Tel le phénix, ton cœur, ton corps ,ton âme renaissent
Tu t’abandonnes à des songes jusque la oubliés
Tandis que ton souffle et ton cœur s’accélèrent avec ivresse
Tu te prends à rêver à La douceur d’un baiser
A présent tu sais que lorsque Le vent murmure
Quand d’une robe tu es vêtue simplement
Alors cela te procure de si douces brulures
Que tu t’abandonnes tout naturellement
Par Mehdi le 28 mai 2011
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