A travers les rivages et dans la nuit de l’océan
Accroché à une barge mon cœur s’en va en dérivant
Les flots du courrant m’éloignent
Insidieusement de ce monde de fou
Qui se détruit tout le temps
Accroché à une épave je m’enfuis prestement
Je veux quitter ce monde un court instant
Oublier la haine et les tourments
Oublier la vie qui s’enfuit injustement
Par delà les frontières du temps
Je me réfugie dans tes bras comme une enfant
Tu caresses mes cheveux en me souriant
Je revois la lumière, je renais un instant
Tant d’images d’éclairs de pleurs et de cris
Tant d’innocentes vies qui se sont enfuient
Tant de haine sur cette terre de poussière
Et pourquoi donc ces guerres
Pourquoi ces enfants arrachés à la vie ?
Et le monde continue de tourner
Et chacun doit poursuivre sa route
Mais comment avancer en pensant à ces gens
Ces familles détruites sacrifiés immolés
Comme des pions, suprême trahison.
Le calvaire enduré dans ce tonnerre d’acier
Ces corps calcinés ces bébés innocents
Et l’odeur de brulés et ces corps jetés
Enterrés vite fait.
Que mes larmes vous accompagnent
Que ma peine soulage la haine
Reposez en Paix pour l’Eternité…
morjane
06/09/04
Accroché à une barge mon cœur s’en va en dérivant
Les flots du courrant m’éloignent
Insidieusement de ce monde de fou
Qui se détruit tout le temps
Accroché à une épave je m’enfuis prestement
Je veux quitter ce monde un court instant
Oublier la haine et les tourments
Oublier la vie qui s’enfuit injustement
Par delà les frontières du temps
Je me réfugie dans tes bras comme une enfant
Tu caresses mes cheveux en me souriant
Je revois la lumière, je renais un instant
Tant d’images d’éclairs de pleurs et de cris
Tant d’innocentes vies qui se sont enfuient
Tant de haine sur cette terre de poussière
Et pourquoi donc ces guerres
Pourquoi ces enfants arrachés à la vie ?
Et le monde continue de tourner
Et chacun doit poursuivre sa route
Mais comment avancer en pensant à ces gens
Ces familles détruites sacrifiés immolés
Comme des pions, suprême trahison.
Le calvaire enduré dans ce tonnerre d’acier
Ces corps calcinés ces bébés innocents
Et l’odeur de brulés et ces corps jetés
Enterrés vite fait.
Que mes larmes vous accompagnent
Que ma peine soulage la haine
Reposez en Paix pour l’Eternité…
morjane
06/09/04
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