Dans un beau pot de terre j’ai planté ton souvenir…
Il était comme toi, fort et doux et si tendre…
Il était si heureux d’enfin pouvoir grandir,
Il était mon secret que nul ne pouvait prendre…
Et puis les années passent…il devint comme moi,
Plus serein, plus lointain, il s’entourait de brumes…
La mémoire est souvent victime de ses émois,
Pour qu’elle vive en nos cœurs, il faut prendre la plume…
Dans un beau pot de terre j’ai planté ton souvenir…
Il devint argenté, comme mes longs cheveux…
Mais j’entendrai toujours ton merveilleux sourire,
Je sentirai sans fin la caresse de tes yeux…
Tu me manques, Papa…
Il était comme toi, fort et doux et si tendre…
Il était si heureux d’enfin pouvoir grandir,
Il était mon secret que nul ne pouvait prendre…
Et puis les années passent…il devint comme moi,
Plus serein, plus lointain, il s’entourait de brumes…
La mémoire est souvent victime de ses émois,
Pour qu’elle vive en nos cœurs, il faut prendre la plume…
Dans un beau pot de terre j’ai planté ton souvenir…
Il devint argenté, comme mes longs cheveux…
Mais j’entendrai toujours ton merveilleux sourire,
Je sentirai sans fin la caresse de tes yeux…
Tu me manques, Papa…
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