Jamais mon ouïe n’a été aussi sensible
Jamais mes sens n’ont été aussi crédibles
J’entends tes pas raisonner au loin
Et je vois ta lueur éclairer le long du chemin
Mais je ne comprends plus si c’est vers moi que tu viens
Ou si tes pas te mènent encore et encore plus loin
Tu hésites, fais un pas en arrière puis deux en avant
Tu te précipites, tu ne veux plus perdre de temps
Tu m’habites, avec tes gestes maladroits comme un enfant
Je t’imite, je m’avance puis recule avec des pas pesants
Penses tu que je mérite, tous ce mal être si accablant ?
Pourquoi toutes ces ambiguïtés, ne trouves-tu pas que c’est si pesant ?
Pourquoi tant d’hésitations ? Où est ton courage ? Où est ta bravoure ?
Je ne t’ai pas connu lâche, je t’ai connu plein de belles images, plein d’amour
Je t’ai connu chevalier ardent qui aux nécessiteux venait au secours
Je t’ai connu faucon pèlerin, aigle royal pas un hyène ou un vautour
Renforce tes pas, détermine les courbes et les contours
des formes que tu me dessines, décide nettement de tes pourtours
Jamais mes sens n’ont été aussi crédibles
J’entends tes pas raisonner au loin
Et je vois ta lueur éclairer le long du chemin
Mais je ne comprends plus si c’est vers moi que tu viens
Ou si tes pas te mènent encore et encore plus loin
Tu hésites, fais un pas en arrière puis deux en avant
Tu te précipites, tu ne veux plus perdre de temps
Tu m’habites, avec tes gestes maladroits comme un enfant
Je t’imite, je m’avance puis recule avec des pas pesants
Penses tu que je mérite, tous ce mal être si accablant ?
Pourquoi toutes ces ambiguïtés, ne trouves-tu pas que c’est si pesant ?
Pourquoi tant d’hésitations ? Où est ton courage ? Où est ta bravoure ?
Je ne t’ai pas connu lâche, je t’ai connu plein de belles images, plein d’amour
Je t’ai connu chevalier ardent qui aux nécessiteux venait au secours
Je t’ai connu faucon pèlerin, aigle royal pas un hyène ou un vautour
Renforce tes pas, détermine les courbes et les contours
des formes que tu me dessines, décide nettement de tes pourtours
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